Dernier film vu au cinéma
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Re: Dernier film vu au cinéma

Je n'étais plus retourné en salle


Clairement, maintenant, et certainement ad-vitam-eternam, le cinéma pour moi, c'est quasi uniquement sur mon OLED 140 cm ( ou le futur écran quand celui-là rendra l'âme


Mais il peut subsister quelques très rares exceptions, et "Avatar 2, la voie de l'eau" en fait partie : mais en 4D X ( à Disney village ), c'est à dire film en 3D avec fauteuil qui s'agite (style Futuroscope), projection de gouttelettes lors des scènes marines, et courant d'air dans les mollets ou près des oreilles quand les armes fusent et que ça charcle sec ( façon de parler




Je ne crois pas que je me déplacerais encore pour le polar ou la comédie de l'année, si bons soient-ils !
Je savoure toujours en vidéo des vieux films en N & B


Et là, le cahier des charges est ô combien rempli

Alors oui, le scénario ( selon l'expression consacrée ) peut tenir sur un timbre-poste, mais, déjà, complexité n'a jamais été forcément synonyme de qualité, tout comme simplicité ne l'est pas forcément non plus de ringardise

En plus, le savoir-faire ( inutile je pense de détailler la filmo de James Cameron ??? ) couplé aux moyens financiers démentiels, ça donne du très bon blockbuster



Cameron ne sera jamais Bergman, tout comme Spielberg n'a jamais été Agnès Varda et Georges Lucas Jean-Luc Godard ! Et s'ils nous ont donné les films que l'on sait, c'est aussi qu'ils ont su faire ce qu'il fallait en début de carrière pour trouver ensuite les mannes pécuniaires indispensables à leurs ambitions de "cinoche" populaire à très grand spectacle ! C'est pas toujours si facile que çà ( L. Besson et son "Valérian"

Mon but ici n'est pas de raconter l'histoire ( je pense que la grande majorité des forumeurs le verront, en salle ou en 4K ), ni de stupidement voler au secours du succès ( le film devrait battre les records en place ) mais juste de remercier Cameron d'être un des derniers qui peut encore motiver les pantouflards de mon espèce ( qu'on ait plus de 5000 galettes comme bibi ou qu'on soit abonné à diverses plate-formes de streaming ) à se déplacer en salle ( même en hiver et par temps pourrave ), à plus de 20 balles la place ( on m'a invité, OK

Je retournerai certainement en salle dans un an .............. pour "Avatar 3" ! D'ici là .....

9,5/10 ............... uniquement puisqu'il paraît que la perfection n'est pas de ce monde




Barbe-Noire- Messages : 2555
Date d'inscription : 07/11/2019
Age : 67
Localisation : Seine et Marne ( et toujours "à la croisée des chemins" )
Re: Dernier film vu au cinéma
Bon alors au risque d'être encore le mouton noir de la bande, je vous avouerai que je n'ai pas apprécié ce second volet d'Avatar.
Je ne suis pas suffisamment technicien pour apprécier le procédé du HFR rendant les images plus fluides dans les scènes d'action mais j'avoue que la façon dont l'eau ruisselle sur les corps sortant de la mer est vraiment époustouflante. Donc sur la technique y a zéro débat, c'est plus que top. La 3D est maîtrisée et non invasive i.e elle sert à avoir une magnifique profondeur de champ sans nous polluer avec des objets à 2 cm de nos mirettes...
Alors pourquoi me suis-je ennuyé ? Le premier truc qui me vient à l'esprit c'est un scénario qui ne raconte pas grand chose ou qui redit assez benoitement ce que nous avons déjà vu : en fait Jake Sully était déjà Toruk Makto (c'est à dire le Daron de tous les clans) et là il faut à nouveau qu'il gagne le respect, qu'il arrive à domestiquer des bestioles etc... ça ne vous rappelle pas quelque chose ? Pas compris pourquoi Cameron refait cela ?
On rajoute par-dessus tout ça le concours de gamins qui s'amusent à savoir "qui a la plus grande" (avec toute la "cruauté" que peuvent avoir parfois les ados), les bestioles sous-marines qui sont assez moches (le gros cétacé mélange de tortue, baleine etc est laid comme tout) et tout un bestiaire qui me laisse à penser que c'est moins onirique quelque part que la découverte de la forêt tant dans sa flore que dans ses animaux que nous avions dans le premier volet.
On rajoute quelques personnages inutiles (notamment le gamin, fils de...), certains enfants navii etc.. et tout cela me laisse espérer que ce volume 2 est juste un épisode de transition dans le cadre d'une "oeuvre" Avatar sur plusieurs volumes.
Reste quand même la première scène d'attaque du film très western et très aboutie ainsi qu'un personnage qui sera la clé des volets à venir qui lui tient sa promesse mais tout cela fait que ces trois heures m'ont paru excessivement longues et que le message écologique si présent dans le premier opus est assez absent dans ce second volet.
Et enfin je ne retiens de ce film aucune image choc : dans le premier avatar il y a un plan d'un "cheval" qui brûle tout en galopant qui pour moi fut un choc à la fois de beauté et d'horreur. Dans ce second volet on ne retrouve pas ce souffle épique et c'est bien dommage...
Le premier Avatar était grandiose car la technique était époustouflante et servait le discours et demeurait au service de l'histoire. Et l'on s'aperçoit dans ce second volet qu'une technique, aussi aboutie soit-elle, aussi maitrisée soit-elle, ne saura sauver un scénario pour trop simpliste et ennuyeux.
Note finale : 6/10
Je ne suis pas suffisamment technicien pour apprécier le procédé du HFR rendant les images plus fluides dans les scènes d'action mais j'avoue que la façon dont l'eau ruisselle sur les corps sortant de la mer est vraiment époustouflante. Donc sur la technique y a zéro débat, c'est plus que top. La 3D est maîtrisée et non invasive i.e elle sert à avoir une magnifique profondeur de champ sans nous polluer avec des objets à 2 cm de nos mirettes...
Alors pourquoi me suis-je ennuyé ? Le premier truc qui me vient à l'esprit c'est un scénario qui ne raconte pas grand chose ou qui redit assez benoitement ce que nous avons déjà vu : en fait Jake Sully était déjà Toruk Makto (c'est à dire le Daron de tous les clans) et là il faut à nouveau qu'il gagne le respect, qu'il arrive à domestiquer des bestioles etc... ça ne vous rappelle pas quelque chose ? Pas compris pourquoi Cameron refait cela ?
On rajoute par-dessus tout ça le concours de gamins qui s'amusent à savoir "qui a la plus grande" (avec toute la "cruauté" que peuvent avoir parfois les ados), les bestioles sous-marines qui sont assez moches (le gros cétacé mélange de tortue, baleine etc est laid comme tout) et tout un bestiaire qui me laisse à penser que c'est moins onirique quelque part que la découverte de la forêt tant dans sa flore que dans ses animaux que nous avions dans le premier volet.
On rajoute quelques personnages inutiles (notamment le gamin, fils de...), certains enfants navii etc.. et tout cela me laisse espérer que ce volume 2 est juste un épisode de transition dans le cadre d'une "oeuvre" Avatar sur plusieurs volumes.
Reste quand même la première scène d'attaque du film très western et très aboutie ainsi qu'un personnage qui sera la clé des volets à venir qui lui tient sa promesse mais tout cela fait que ces trois heures m'ont paru excessivement longues et que le message écologique si présent dans le premier opus est assez absent dans ce second volet.
Et enfin je ne retiens de ce film aucune image choc : dans le premier avatar il y a un plan d'un "cheval" qui brûle tout en galopant qui pour moi fut un choc à la fois de beauté et d'horreur. Dans ce second volet on ne retrouve pas ce souffle épique et c'est bien dommage...
Le premier Avatar était grandiose car la technique était époustouflante et servait le discours et demeurait au service de l'histoire. Et l'on s'aperçoit dans ce second volet qu'une technique, aussi aboutie soit-elle, aussi maitrisée soit-elle, ne saura sauver un scénario pour trop simpliste et ennuyeux.
Note finale : 6/10
Hotkiller- Messages : 23
Date d'inscription : 08/11/2019
Old_School aime ce message
Re: Dernier film vu au cinéma
BABYLON
Résumé
Etats unis – côte ouest. Fin des années 20, début des années 30.
Le cinéma se transforme, passant du bricolage à l’industrie. Manni, jeune mexicain est le témoin de celle-ci avec cette envie irrépressible de prendre part à « quelque chose de grand ». Il sera surtout le témoin de la montée des marches et de la descente aux enfers des protagonistes de ce qui allait devenir le 7ème art.
Note : 6/10
Avis artistique
Il est toujours assez difficile de retranscrire les mœurs d’une époque révolue, qui plus est lorsque les témoins de celle-ci ne sont plus et donc, à défaut, il convient pour le spectateur d’adopter le point de vue du réalisateur.
Fort de ses deux succès les plus connus (Whiplash et La La Land), Damien Chazelle s’attaque à nous conter la fin d’un cinéma qui en était à ses balbutiements, empêtré qu’il était dans ce son muet, et nous propulser un an avant le chanteur de Jazz pour assister en témoins vivants de ce que l’apport du parlant allait non seulement enrichir mais aussi détruire et briser en termes de vie et de destins.
3 personnages principaux serviront de fil rouge : Manni (Diego Calva), jeune mexicain qui tente de travailler tant bien que mal dans ce business, Jack Conrad (Brad Pitt), star du cinéma muet, et Nelly LaRoy (Margot Robbie), fille paumée, addict à toutes formes de drogues mais qui se veut movie-star.
Avec un casting pareil devant et derrière la camera on se dit qu’on va avoir du lourd….on ne sera pas déçu on va avoir du lourd qui va désastreusement se transformer en trop lourd…et indigeste.
Scène d’ouverture : la présentation des protagonistes de l’histoire se fait dans le cadre d’une soirée organisée par un de ces mogulls du ciné et là déjà Chazelle se plante.
Il prend le parti pris d’une photo assez sombre, peu glam, limite sale. Rien à voir avec l’univers du glamour. So be it c’est son parti pris. Et je veux bien que cette scène soit un curieux maelstrom, savant mélange du clip de Relax de Frankie Goes To Hollywood, de la Caravane de l’Etrange, du Freaks de Tod Browning et le spectateur découvre éberlué les excès d’un monde de drogués, de queutards infinis où tout est aux antipodes de ce que le cinéma est supposé offrir aux spectateurs.
Je veux bien aussi que cette scène soit le point de départ des changements de destins pour nos personnages, mais bon sang, pourquoi 30mn ? 10mn auraient largement été suffisantes plutôt que cette surenchère dans la laideur des corps, la fange et la vulgarité. Rappelez-vous le plan séquence d’ouverture de Boogie Nights, y avait pas mieux pour présenter l’industrie joyeuse et insouciante du porno des late 70’s, mais dans le cas présent, le réal nous fait perdre clairement notre temps.
Et malheureusement cette surenchère dans les scènes inutiles (je ne les ai plus comptées au bout d’un moment) va durer trois heures. Et c’est vraiment dommage car le mec a vraiment du talent, mais il coupe régulièrement son film de scènes vulgaires (au propre comme au figuré) tout en cassant le rythme du film : scène ou Manni va à la recherche d’une caméra, scène de la swimming-pool chez Brad Pitt, scène du serpent dans le désert, scène des bas-fonds de LA (avec Tobey MacGuire) et j’en oublie et au final on a un film décousu alors que d’autres scènes sont véritablement brillantes : scène de la larme avec Margot Robbie, scène des essais du parlant (quoique trop longue), scène extraordinaire de Brad Pitt avec une journaliste et scène finale.
Résultat des courses : Damien Chazelle nous sert un film ambivalent, voire bipolaire et au final on a beaucoup de mal à s’attacher non seulement aux personnages mais aussi et surtout à l’histoire. Il veut nous conter l’histoire du cinéma tel qu’il la ressent, en peignant la vie des années 20 et ses excès mais n’est pas conteur du chaos qui veut. Pour sa rédemption il fera aussi une allusion à tous ces personnages en marge de cette industrie naissante tels que les musiciens black, les asiatiques qui s’occupaient des intertitres, mais la part est insuffisamment belle à ces stéréotypes qui ont assuré le succès des Thalberg et autres Jack Warner…dommage !
Au final, l’homme qui pouvait prétendre être le premier réalisateur mémorable de ce 21eme siècle (oscar à 32 ans tout de même) dépassé qu’il était par ses 80 millions de dollars de budget nous sert une soupe assez peu digeste et ni les quelques plans séquence disséminés dans le film ni la présence des comédiens, ni la partition musicale (qui est très bonne d’ailleurs) ne sauvent la cohérence du récit, de l’histoire et où seule la scène finale pourra témoigner de cet amour qu’il porte au cinéma.
Côté comédiens, RAS, c’est très carré et mention particulière pour Margot Robbie qui porte littéralement le film avec ce personnage de junkie rêvant de paillettes et de glamour qu’elle restitue particulièrement bien. Avec Amsterdam c’est son meilleur film en tant qu’actrice et on aura du mal à lui pardonner d’aller faire un tour avec sa bagnole rose cet été et son boyfriend de Ken… Mais bon c’est le cinéma, faut bien que la machine à cash fonctionne…
Mal vendu, bande annonce incompréhensible, titre enigmatique (pour le commun des mortels s’entend), affiche nullissime, pas étonnant que le film ait été un four aux states (13 millions de dollars de recettes pour le moment de mémoire), mais on pouvait prédire à ce film un chaleureux accueil en France tant le public français qui fréquente les salles se fout un peu de tout ça. Hier soir la salle était pleine, silence pesant et soupirs en sortie….
Pour paraphraser Bill Deraime « Babylon…ça déconne ! »
Résumé
Etats unis – côte ouest. Fin des années 20, début des années 30.
Le cinéma se transforme, passant du bricolage à l’industrie. Manni, jeune mexicain est le témoin de celle-ci avec cette envie irrépressible de prendre part à « quelque chose de grand ». Il sera surtout le témoin de la montée des marches et de la descente aux enfers des protagonistes de ce qui allait devenir le 7ème art.
Note : 6/10
Avis artistique
Il est toujours assez difficile de retranscrire les mœurs d’une époque révolue, qui plus est lorsque les témoins de celle-ci ne sont plus et donc, à défaut, il convient pour le spectateur d’adopter le point de vue du réalisateur.
Fort de ses deux succès les plus connus (Whiplash et La La Land), Damien Chazelle s’attaque à nous conter la fin d’un cinéma qui en était à ses balbutiements, empêtré qu’il était dans ce son muet, et nous propulser un an avant le chanteur de Jazz pour assister en témoins vivants de ce que l’apport du parlant allait non seulement enrichir mais aussi détruire et briser en termes de vie et de destins.
3 personnages principaux serviront de fil rouge : Manni (Diego Calva), jeune mexicain qui tente de travailler tant bien que mal dans ce business, Jack Conrad (Brad Pitt), star du cinéma muet, et Nelly LaRoy (Margot Robbie), fille paumée, addict à toutes formes de drogues mais qui se veut movie-star.
Avec un casting pareil devant et derrière la camera on se dit qu’on va avoir du lourd….on ne sera pas déçu on va avoir du lourd qui va désastreusement se transformer en trop lourd…et indigeste.
Scène d’ouverture : la présentation des protagonistes de l’histoire se fait dans le cadre d’une soirée organisée par un de ces mogulls du ciné et là déjà Chazelle se plante.
Il prend le parti pris d’une photo assez sombre, peu glam, limite sale. Rien à voir avec l’univers du glamour. So be it c’est son parti pris. Et je veux bien que cette scène soit un curieux maelstrom, savant mélange du clip de Relax de Frankie Goes To Hollywood, de la Caravane de l’Etrange, du Freaks de Tod Browning et le spectateur découvre éberlué les excès d’un monde de drogués, de queutards infinis où tout est aux antipodes de ce que le cinéma est supposé offrir aux spectateurs.
Je veux bien aussi que cette scène soit le point de départ des changements de destins pour nos personnages, mais bon sang, pourquoi 30mn ? 10mn auraient largement été suffisantes plutôt que cette surenchère dans la laideur des corps, la fange et la vulgarité. Rappelez-vous le plan séquence d’ouverture de Boogie Nights, y avait pas mieux pour présenter l’industrie joyeuse et insouciante du porno des late 70’s, mais dans le cas présent, le réal nous fait perdre clairement notre temps.
Et malheureusement cette surenchère dans les scènes inutiles (je ne les ai plus comptées au bout d’un moment) va durer trois heures. Et c’est vraiment dommage car le mec a vraiment du talent, mais il coupe régulièrement son film de scènes vulgaires (au propre comme au figuré) tout en cassant le rythme du film : scène ou Manni va à la recherche d’une caméra, scène de la swimming-pool chez Brad Pitt, scène du serpent dans le désert, scène des bas-fonds de LA (avec Tobey MacGuire) et j’en oublie et au final on a un film décousu alors que d’autres scènes sont véritablement brillantes : scène de la larme avec Margot Robbie, scène des essais du parlant (quoique trop longue), scène extraordinaire de Brad Pitt avec une journaliste et scène finale.
Résultat des courses : Damien Chazelle nous sert un film ambivalent, voire bipolaire et au final on a beaucoup de mal à s’attacher non seulement aux personnages mais aussi et surtout à l’histoire. Il veut nous conter l’histoire du cinéma tel qu’il la ressent, en peignant la vie des années 20 et ses excès mais n’est pas conteur du chaos qui veut. Pour sa rédemption il fera aussi une allusion à tous ces personnages en marge de cette industrie naissante tels que les musiciens black, les asiatiques qui s’occupaient des intertitres, mais la part est insuffisamment belle à ces stéréotypes qui ont assuré le succès des Thalberg et autres Jack Warner…dommage !
Au final, l’homme qui pouvait prétendre être le premier réalisateur mémorable de ce 21eme siècle (oscar à 32 ans tout de même) dépassé qu’il était par ses 80 millions de dollars de budget nous sert une soupe assez peu digeste et ni les quelques plans séquence disséminés dans le film ni la présence des comédiens, ni la partition musicale (qui est très bonne d’ailleurs) ne sauvent la cohérence du récit, de l’histoire et où seule la scène finale pourra témoigner de cet amour qu’il porte au cinéma.
Côté comédiens, RAS, c’est très carré et mention particulière pour Margot Robbie qui porte littéralement le film avec ce personnage de junkie rêvant de paillettes et de glamour qu’elle restitue particulièrement bien. Avec Amsterdam c’est son meilleur film en tant qu’actrice et on aura du mal à lui pardonner d’aller faire un tour avec sa bagnole rose cet été et son boyfriend de Ken… Mais bon c’est le cinéma, faut bien que la machine à cash fonctionne…
Mal vendu, bande annonce incompréhensible, titre enigmatique (pour le commun des mortels s’entend), affiche nullissime, pas étonnant que le film ait été un four aux states (13 millions de dollars de recettes pour le moment de mémoire), mais on pouvait prédire à ce film un chaleureux accueil en France tant le public français qui fréquente les salles se fout un peu de tout ça. Hier soir la salle était pleine, silence pesant et soupirs en sortie….
Pour paraphraser Bill Deraime « Babylon…ça déconne ! »
Hotkiller- Messages : 23
Date d'inscription : 08/11/2019
surfeur51 et HERVE PAUL aiment ce message
Re: Dernier film vu au cinéma
Avatar, la voie de l'eau - 9/10 - 4K - 3D - Dolby cinema - HFR.
Comme toujours avec James Cameron, on ne s'ennuie pas, même si c'est très loooooooong. La bataille finale s'étire, s'étire, à la fin on ne sait plus trop où sont les personnages...
Ce qui m'a le plus gêné, c'est certains aspects évacués vite fait (la fille de la scientifique morte dans le premier opus, le militaire qui est le militaire mort dans le premier opus mais pas vraiment et il a un fils...)
Cela dit le spectacle est là, décors, bestiaire, même si pour moi il n'y a (forcément) pas le même effet wahou que dans le premier.
Côté technique (vous me connaissez...) 3D anecdotique alors que le premier opus avait lance la vague du procédé, HFR ? Je n'ai pas plus vu l'amélioration que dans les autres films avec ce procédé... Son d'enfer (Atmos) couleurs très bonnes (moins que dans le premier revu en novembre).
PS : Je vais moins au cinéma : mon 1er film 2023. Je ferai sans doute l'impasse sur Babylon... et je n'ai pas repris de carte d'abonnement... Un peu l'effet Amazon video...
Comme toujours avec James Cameron, on ne s'ennuie pas, même si c'est très loooooooong. La bataille finale s'étire, s'étire, à la fin on ne sait plus trop où sont les personnages...
Ce qui m'a le plus gêné, c'est certains aspects évacués vite fait (la fille de la scientifique morte dans le premier opus, le militaire qui est le militaire mort dans le premier opus mais pas vraiment et il a un fils...)
Cela dit le spectacle est là, décors, bestiaire, même si pour moi il n'y a (forcément) pas le même effet wahou que dans le premier.
Côté technique (vous me connaissez...) 3D anecdotique alors que le premier opus avait lance la vague du procédé, HFR ? Je n'ai pas plus vu l'amélioration que dans les autres films avec ce procédé... Son d'enfer (Atmos) couleurs très bonnes (moins que dans le premier revu en novembre).
PS : Je vais moins au cinéma : mon 1er film 2023. Je ferai sans doute l'impasse sur Babylon... et je n'ai pas repris de carte d'abonnement... Un peu l'effet Amazon video...
alamo- Messages : 656
Date d'inscription : 07/11/2019
Age : 70
Localisation : Meudon
Re: Dernier film vu au cinéma
Pathaan de Siddharth Anan : 8,5/10
Quel spectacle que ce Pathaan. On en a pour notre argent.
Ça n'arrête jamais et même après la fin, on nous en remet une louche. C'est naïf, c'est très généreux et c'est exactement la raison de ce mélange qui donne du plaisir.
Vivement la suite de l'univers Spy
Quel spectacle que ce Pathaan. On en a pour notre argent.
Ça n'arrête jamais et même après la fin, on nous en remet une louche. C'est naïf, c'est très généreux et c'est exactement la raison de ce mélange qui donne du plaisir.
Vivement la suite de l'univers Spy
c2302t- Messages : 486
Date d'inscription : 10/11/2019
Age : 49
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