Quizz cinéma

Film 1 - Image 2 (6 pts)


Cette seringue fichée dans une épaule connue marque un tournant pour les protagonistes de ce film.

Rappel : proposition en mp obligatoire

Bonne réponse de snaky qui marque le premier sur cette série : 6pts

edit matinal:
6 pts également pour infrared : le duel avec snaky recommence

c2302t a reconnu l'actrice, comme infrared, mais pas le film. Barbe-Noire est encore pas très chaud (je ne parle pas de son état fiévreux...)

Film 1 - Image 3 (4 pts)


Bien sûr, elle est un peu amochée ici, mais sans cela Shakespeare aurait pu tomber amoureux de cette actrice.

Rappel : proposition en mp obligatoire

Bonnes réponses de Barbe-Noire (4pts) et de c2302t, mais en deux temps, (2pts).

Film 1 - Image 4 (2pts)


L'actrice a un prénom qui fait penser à la naissance, et un nom qui fait penser à la loi sur la contraception. Malgré cela, elle a assez grandi pour jouer dans un film avec Depardieu pour lequel il a reçu un Golden Globe. Quant à l'acteur, en président US, il sait manier le manche à balai pour lutter contre les extraterrestres.

Quant à l'actrice du 3, Shakespeare n'était pas le seul à en tomber amoureux. Tony Stark également...

Rappel : proposition en mp obligatoire

Bonne réponse de Hervé Paul, qui marque 2pts

Maintenant que je sais qui l'actrice en 3, je ne la reconnais toujours pas   sur cette photo ! Elle est quand même parfois tombée sur des scénaristes assez sadiques  ...............  
Bon, à part çà, j'ai plutôt bien récupéré de ma bronchite . Dire que j'ai retrouvé la forme serait un bien grand mot, mais je suis redevenu "opérationnel" . Mon jeudi ( demain, enfin aujourd'hui quand vous lirez ces lignes ) et mon samedi sont blindés ( j'étais sur le point d'annuler mon planning si je n'avais pas récupéré ), mais sur vendredi et dimanche, je devrais pouvoir boucler la synthèse d' Anna karenine !

PS : un petit HS que je ne sais pas où placer : Avec les achats récents que j'ai faits suite à la chute de mon dernier crédit  , pour la 1ère fois depuis des lustres, ma wishlist est descendue à 10 titres   !!!
Je crois même que ça n'était jamais arrivé depuis quasiment 20 ans ! Je parle uniquement des titres édités, et non de ceux en attente d'éditions ( comme "Frontière chinoise", "A la recherche de Mr Goodbar", "Dr Françoise Gailland" et autres "Gouffre aux chimères"  ..........  CF. topic ad-hoc ) .
Il ne me reste plus dessus que :

 - Le clan des irréductibles ( dernière édition, avec Paul Newman et Henry Fonda )
 - Mandingo , ( avec James Mason et Susan George )
 - Le fils de Frankenstein ( avec Basil Rathbone et Boris Karloff )
 - Un hold-up extraordinaire ( avec Shirley McLaine et Michael Caine )
 - La dernière fanfare ( avec Spencer Tracy et Dianne Foster ) : TRÈS CHER
 - Mylène Farmer live 2019 ( réputation d'être sa plus grande prestation scénique ) : TRÈS CHER
 - La vipère, ( avec Bette Davis )
 - Little Odessa
 - Top Gun : Maverick ( pour ces deux-là, y'aura des promos, inévitablement )
 - Les lettres de mon moulin, de Marcel Pagnol

Bon, on en trouve toujours d'autres ( la preuve, "The mortal storm", indiqué par Zardi, et dégotté en Espagne par Hervé Paul , sans compter les futures sorties ( "Avatar 2" par exemple, incontournable )
Aucun n'est jamais passé en promo, restant au prix d'origine ou carrément en nette augmentation .
Et il pourrait toujours y avoir quelques upgrades par-ci par-là, au gré des listings ( j'adorerais un bon BR de "On achève bien les chevaux" par exemple, mon DVD étant pourrave   ) .
Mais c'est bien la 1ère fois que je descends aussi bas  en nombre de titres sur Wishlist .
Faut dire que je met plus à jour depuis longtemps avec LAL : mes rayons sont trop pleins   !

Film 1 - Image 5 (1pt)



On a ici une très grande actrice (1,80m) que l'on peut reconnaitre les yeux grands fermés, et un acteur qui, dans un de ses rôles, a mené un raid historique sur Tokyo quelques mois après Pearl Harbor.

Rappel : proposition en mp obligatoire

Barbe-Noire a écrit:Maintenant que je sais qui l'actrice en 3, je ne la reconnais toujours pas   sur cette photo ! Elle est quand même parfois tombée sur des scénaristes assez sadiques  ...............  
Bon, à part çà, j'ai plutôt bien récupéré de ma bronchite . Dire que j'ai retrouvé la forme serait un bien grand mot, mais je suis redevenu "opérationnel" . Mon jeudi ( demain, enfin aujourd'hui quand vous lirez ces lignes ) et mon samedi sont blindés ( j'étais sur le point d'annuler mon planning si je n'avais pas récupéré ), mais sur vendredi et dimanche, je devrais pouvoir boucler la synthèse d' Anna karenine !

PS : un petit HS que je ne sais pas où placer : Avec les achats récents que j'ai faits suite à la chute de mon dernier crédit  , pour la 1ère fois depuis des lustres, ma wishlist est descendue à 10 titres   !!!
Je crois même que ça n'était jamais arrivé depuis quasiment 20 ans ! Je parle uniquement des titres édités, et non de ceux en attente d'éditions ( comme "Frontière chinoise", "A la recherche de Mr Goodbar", "Dr Françoise Gailland" et autres "Gouffre aux chimères"  ..........  CF. topic ad-hoc ) .
Il ne me reste plus dessus que :

 - Le clan des irréductibles ( dernière édition, avec Paul Newman et Henry Fonda )
 - Mandingo , ( avec James Mason et Susan George )
 - Le fils de Frankenstein ( avec Basil Rathbone et Boris Karloff )
 - Un hold-up extraordinaire ( avec Shirley McLaine et Michael Caine )
 - La dernière fanfare ( avec Spencer Tracy et Dianne Foster ) : TRÈS CHER
 - Mylène Farmer live 2019 ( réputation d'être sa plus grande prestation scénique ) : TRÈS CHER
 - La vipère, ( avec Bette Davis )
 - Little Odessa
 - Top Gun : Maverick ( pour ces deux-là, y'aura des promos, inévitablement )
 - Les lettres de mon moulin, de Marcel Pagnol

Bon, on en trouve toujours d'autres ( la preuve, "The mortal storm", indiqué par Zardi, et dégotté en Espagne par Hervé Paul , sans compter les futures sorties ( "Avatar 2" par exemple, incontournable )
Aucun n'est jamais passé en promo, restant au prix d'origine ou carrément en nette augmentation .
Et il pourrait toujours y avoir quelques upgrades par-ci par-là, au gré des listings ( j'adorerais un bon BR de "On achève bien les chevaux" par exemple, mon DVD étant pourrave   ) .
Mais c'est bien la 1ère fois que je descends aussi bas  en nombre de titres sur Wishlist .
Faut dire que je met plus à jour depuis longtemps avec LAL : mes rayons sont trop pleins   !

Le clan des irréductibles et un hold UP extraordinaire (à 12€ pendant les soldes)sont chez éléphant film
https://fr.shopping.rakuten.com/mfp/5565423/le-clan-des-irreductibles?pid=1844741934.
https://fr.shopping.rakuten.com/offer/buy/3707712266/un-hold-up-extraordinaire-combo-blu-ray-dvd.html
A vérifier aux prochaines soldes.

surfeur51 a écrit:Film 1 - Image 5 (1pt)

Bonne réponse de Old School

Film 1 - Malice(critique reprise d'un DVD à la loupe)



Andy et Tracy forment un couple qui fonctionne parfaitement bien, ils ont tout pour être heureux. Seule ombre au tableau, un assassin violeur terrorise la ville où ils habitent. Souffrant de violentes douleurs, Tracy doit être opérée et le couple fait appel à leur voisin, Jed Hill, un chirurgien surdoué. Mais l'intervention est compliquée et Andy accepte que sa femme soit rendue stérile pour qu'elle puisse vivre. Mais dès sa sortie Tracy rend son mari et Jed responsables de sa situation, et elle attaque l'hôpital en justice...



"Malice" se présente comme un thriller à tiroir, en fait l'histoire d'une machination sur fond de meurtres en série en milieu scolaire. Harold Becker a reçu pour "Malice" le prix du meilleur réalisateur du film policier de Cognac en 1994, et le film y a reçu le Prix du Public. Pour apprécier ce genre de petit film, il faut s'attacher plus au jeu des acteurs et à l'astuce du scénario qu'à la vraisemblance de l'intrigue ou à d'éventuels effets spectaculaires. En effet, tout l'intérêt de "Malice" réside dans les retournements de situation, nombreux au cours du film, le plus étonnant, totalement imprévisible, ayant lieu dans les toutes dernières secondes précédant le générique. Les personnages principaux apparaissent tour à tour en victimes ou suspects avant que le dénouement final ne révèle le vrai visage de chacun.

Pour que la sauce prenne, il faut également des acteurs capables d'un jeu varié, rendant leur personnage tour à tour sympathique ou antipathique, inspirant la pitié ou l'horreur. Et là Harold Becker a parfaitement réussi son coup en rassemblant Nicole Kidman (Tracy, le personnage central de l'histoire), Bill Pullman (Andy) et Alec Baldwin (Jed Hill). Nicole Kidman y trouve son premier rôle à multiples facettes, tour à tour charmante, émouvante, inquiétante, après des prestations concernant des personnages assez stéréotypés comme dans "Jour de Tonnerre", "Billy Bathgate" ou "Horizons lointains". Jusque là considérée comme une actrice assez ordinaire malgré l'excellent "Calme blanc", elle montre dans "Malice" une qualité de jeu préfigurant la carrière exceptionnelle qu'on lui connaît aujourd'hui. Bill Pullman est, comme à son habitude, sobre et juste, le caractère ambigu de son personnage dans la première partie du film étant un des ressorts essentiels du suspense initial. Enfin Alec Balwin est remarquable en praticien sûr de lui et égocentrique, bien que l'on se doute rapidement qu'il joue un rôle important dans ce qui se trame en coulisses. La scène où il déclare devant des juges qu'il est dieu illustre particulièrement bien ses talents de comédien. On notera au niveau des seconds rôles une excellente Ann Bancroft qui incarne la mère de Tracy, alcoolique, dans une des meilleures scènes du film, et l'apparition d'une toute jeune Gwyneth Paltrow en victime du tueur en série.

Le scénario de Aaron Sorkin et Jonas McCord, sombre et à l'ambiance hitchcockienne, est également très élaboré, et si l'on est lancé très vite sur la piste du violeur sadique qui assassine les étudiantes, on réalise rapidement que ce n'est qu'une toute partie de l'intrigue, même si elle a une importance capitale dans le dénouement final. L'ambiance est par moment oppressante, le rythme vif, le suspense maintenu jusqu'au bout de sorte que l'on reste scotché à l'écran jusqu'au générique final. On regrettera néanmoins que le dénouement soit un peu trop conventionnel, mais il est heureusement sauvé par le rebondissement des toutes dernières secondes du film. De plus, ce thriller se laisse revoir avec plaisir, même si l'on en connaît la fin, la deuxième vision permettant d'apprécier de nombreux petits détails non perceptibles lorsque l'on a pas toutes les données en main.

Ma note : 8/10


Les images,
- 1ère image, un malade en situation critique va être sauvé par le chirurgien Jed Hill joué par Alec Baldwin
- 2ème image, la seringue plantée dans le dos de Tracy (Nicole Kidman) va précipiter le dénouement
- 3ème image, une étudiante assassinée, jouée par la jeune Gwynett Paltrow, qui sera aimée par Shakespeare dans "Shakespeare in Love" et par Tony Stark dans les films Marvel
- 4ème image, Bebe Neuwirth, qui a joué dans "Green Card" un film ayant valu un Golden Globe à Depardieu, et Bill Pullman, président US dans "Independance Day"
- 5ème image, Nicole Kidman qui a joué dans "Eyes Wide Shut", et Alec Baldwin qui a joué le colonel Doolittle dans "Pearl Harbor"



en bonus, la reprise du DVD à la loupe de "Shakespeare in Love" évoqué lors de la photo de Gwyneth Paltrow :



En l'été 1593, le jeune poète William Shakespeare, criblé de dette et harcelé par son commanditaire Henslowe, promet de lui livrer bientôt une nouvelle pièce, "Roméo et Ethel, la fille du pirate", une comédie dont il ne possède en fait que le titre…



Fiction historique romantique, "Shakespeare in Love" raconte comment le jeune poète anglais fut amené à écrire sa pièce de théâtre "Roméo et Juliette" après être tombé amoureux de la jolie Viola de Lesseps. Plus que l'histoire d'un amour, c'est surtout de la naissance d'un chef d'œuvre que traite le film, sachant que le scénario de Marc Norman et Tom Stoppard n'a pas de base historique réelle. Réalisée par John Madden, un metteur en scène de théâtre, cette comédie dramatique fait néanmoins revivre l'époque, la fin du XVI siècle en Angleterre, et bénéficie de décors et costumes absolument somptueux. Récoltant sept oscars sur treize nominations, ce film connut un juste succès, d'autant plus qu'il se démarque assez nettement des productions hollywoodiennes de la fin des années 90.

Will Shakespeare (Joseph Fiennes) est plutôt en mal d'inspiration alors que son commanditaire Philip Henslowe (Geoffrey Rush), lui-même en recherche d'argent, exige de lui une nouvelle pièce. Ayant la vague idée d'une comédie dont le héros serait un certain Roméo, Will, en parallèle à l'écriture de sa pièce, se met à rechercher des comédiens pour celle-ci. De son côté, la jeune lady Viola de Lesseps (Gwyneth Paltrow, lumineuse) est une admiratrice des œuvres précédentes du jeune dramaturge, et rêve elle-même de devenir actrice malgré l'interdiction faite aux femmes de monter sur les planches. Déguisée en garçon, elle va postuler pour le rôle de Roméo, Shakespeare tombant immédiatement sous le charme du jeune "garçon" dont il ne va pas tarder à découvrir la vraie nature. Si leurs amours sont contrariées par la perspective du mariage arrangé par la reine Elisabeth (Judi Dench, majestueuse comme il se doit) de Viola avec le riche Lord Wessex (Colin Firth), ils vont toutefois fournir à Will l'inspiration nécessaire à l'écriture de sa pièce qui devient, pour la circonstance, un drame, "Roméo et Juliette". Enfin le dénouement ouvre astucieusement sur l'écriture par Shakespeare d'une nouvelle pièce, "La nuit des rois".

Au delà de l'histoire sentimentale entre les deux tourtereaux, le scénario s'attache à montrer le mécanisme de l'écriture d'une pièce, bien loin du seul travail d'un auteur face à un page blanche. L'interaction avec les comédiens, l'inspiration des écrits d'autres auteurs et les contraintes commerciales (il faut attirer les spectateurs) influent sans cesse sur la progression de la pièce. Les aspects économiques de l'activité théâtrale sont aussi assez développés, et ancrent le film dans la réalité, la reconstitution historique, réussie sinon parfaitement fidèle, accentuant encore cet effet. Si le script du film est entièrement fictionnel, il utilise cependant de nombreuses références aux textes de Shakespeare, et met en scène quelques scènes des plus connues de "Roméo et Juliette". Il s'inspire aussi de faits réels (l'assassinat de Christopher Marlowe, le dramaturge rival de Shakespeare, et l'observation du travail de Shakespeare par le tout jeune John Webster, autre auteur de théâtre de l'époque), mais les déforme pour mieux coller à l'histoire écrite pour le film. De même les rapports entre la reine Elisabeth et le théâtre illustrent à la fois le caractère autoritaire de la monarque et l'élan qu'elle a pu apporter en tant que mécène dans le développement des arts de son époque.

Le rythme du film est assez enlevé, avec même un peu d'action et de suspense, et les deux heures passent sans ennui même si quelques passages auraient pu être un peu raccourcis. La photographie est léchée, avec de beaux décors (le théâtre reconstitué) et de riches costumes d'époque. Le scénario bénéficie de dialogues intelligents, avec de la fraîcheur et de la légèreté, d'une intrigue assez astucieuse, et aussi, bien sûr, de la qualité des comédiens, le tout véhiculant beaucoup d'émotion. Il y a une grande alchimie entre Fiennes et Paltrow, et leur couple fait naturellement le pendant de celui de la pièce en cours d'écriture, avec là aussi l'histoire d'un amour impossible. Pour les seconds rôles, on peut rajouter à la liste de ceux déjà cités, tous excellents, Ben Affleck, assez inspiré dans le rôle de Ned Alleyn, un acteur ami de Will, et Tom Wilkinson, en usurier. Au total on obtient un film attachant, beaucoup plus intéressant que son titre peu accrocheur, et de consonance très littéraire, ne pouvait le laisser craindre.

Ma note : 8,5/10

Film 2 - Image 1 (9pts)



Rappel : proposition en mp obligatoire