Quizz cinéma

Une tentative de c2302t sur l'extrait 2 mais à côté .
Le visage féminin le plus découvert ( très peu connu  ) sur l'extrait précédent a fait beaucoup de doublage de grandes stars féminines du cinéma U.S. , étant même basiquement la doubleuse attitrée de l'une d'entre elles !

Extrait 3 :



Y'a un peu d'aristocratie par ici  !

P.S.  : j'ai étoffé un peu la synthèse de "La nuit des généraux" page précédente .

Ça se décante, mais je m'y attendais.
Soit par identification, soit par les indices, 5 bonnes réponses : dans l'ordre de réception, Sonon, Surfeur, c2302t, Snaky et Infrared , soit les 5 premiers du classement .
4 points pour eux !

Vu la notoriété des acteurs qui apparaissent sur la photo, je ne crois pas qu'il soit nécessaire de fournir des indices supplémentaires ( et puis après le réveillon, j'ai la flemme de chercher quoi dire   ) !

Extrait 4 :

Pas de réponses sur la 4   : j'en déduis que ceux qui n'ont pas répondu avant ne sont pas venus voir la photo ( bon, avec le réveillon et le jour de l'an, z'avaient sans doute d'autres occupations      ), car même non vu, les 3 acteurs sont très connus ( et les deux à gauche se sont retrouvés plus tard dans "Le dîner de cons"   ) !

Extrait N°5 :



Plus facile, c'est difficile ! L'acteur en chemise rouge aurait dû être primitivement Patrick Dewaere   ............

Je viens de faire un petit tour sur le topic. Bravo pour ta synthèse pour le film de Litvak.

zardi a écrit:Je viens de faire un petit tour sur le topic. Bravo pour ta synthèse pour le film de Litvak.

Bouclage du quizz N° 11 :



Seuls 5 joueurs ont participé, tous ayant trouvé sur l'extrait 3, avec Charlotte de Turckheim ( personnage assis ) .
Malgré les présences en 4 de Francis Huster, Jacques Villeret et Charles Gérard, puis en 5 d'Evelyne Bouix, Marcel Cerdan Jr, Jean-Claude Brialy et Charles Aznavour, il n'y a pas eu d'autres réponses   !
J'aurais peut-être dû respecter la trêve des confiseurs ............... !?
Status quo au classement, les 5 premiers marquant le même nombre de points  ( 4 ) .
De fait, Infrared ne peut plus être rejoint pour la 1ère place .
Les 4ème et 5ème ( Sonon et c2302t ) ne devraient pas bouger . Par contre, Surfeur et Snaky sont très proches l'un de l'autre pour la seconde place, avec un avantage de 3 points pour Surfeur . Tout va se jouer sur les deux premières photos, probablement   !
Il me reste donc un film à quizzer ( qui n'est pas prêt ), et ensuite, si quelqu'un veut reprendre le flambeau ................  ??
Je reviendrai certainement aux affaires dans quelques temps, mais pour l'heure, avec la naissance de mon petit-fils dans quelques jours, et plusieurs choses à reprendre que j'ai pour l'instant mis en stand-by, je vais passer la main après le 12ème flm . Bien sûr, j'irai au bout des synthèses, pour lesquelles j'ai pris du retard  sur le rythme de croisière ( je devrais en être à la 10, et je n'ai terminé que les 8 premières ) !
Pour la continuité du jeu, aux bonnes volontés de se manifester .................

Barbe-Noire a écrit:Pour la continuité du jeu, aux bonnes volontés de se manifester .................

Je peux reprendre une série dès que tu auras fini tes synthèses. Les miennes seront nettement moins fouillées...

Durant la période de transition, les fidèles de ce quizz qui n'ont pas encore établi leur top 20 "Films d'espionnage", peuvent peut-être en profiter..

J'y songe... Mais pas mal de (petits) problèmes qui expliquent aussi ma non participation au dernier quizz, je n'aurai trouvé que sur le 4ème photo, vu le film il y a longtemps...
(Plus un problème de mot de passe sur le site... (de ma faute)

Sauf imprévu, j'ai toute ma journée libre demain ( enfin ce mardi   ) . Je compte donc rédiger la synthèse du quizz N°9 ( La maison assassinée ), et terminer les préparatifs du N°12, pour le lancer demain soir .
Après, c'est la naissance de mon petit-fils qui jouera probablement sur mon temps dispo, mais comme je n'aurai hélas pas le droit    d'aller voir ma fille et le chérubin en maternité à cause de ce covid de m.... ( seul le papa sera autorisé ), je devrais logiquement trouver aussi le temps de m'occuper de la N° 10 ( le "8 et demi" de Fellini ) dans la semaine .

A part çà, content de voir qu'Alamo et Asiafan comptent envoyer leurs tops "espionnage" respectifs . Avec çà, on ne devrait pas être loin des 10 listes   ?

SYNTHÈSE du quizz N° 9 : LA MAISON ASSASSINÉE .

 

  Jaquette du DVD  ............................................................. et Affiche du film  .

Réalisé par Georges Lautner, sorti en 1988, avec Patrick Bruel ( on ne présente pas j'imagine  ?? ), Anne Brochet ( "Cyrano de Bergerac" de Rappeneau, "La rafle" ), Yann Collette ( "Le bossu", version De Broca, "La journée de la jupe" ), Agnès Blanchot ( peu connue, ce film est pour elle le plus renommé ), Martine Sarcey ( "Le voleur" de L. Malle, "Un éléphant, ça trompe énormément", mais surtout grosse carrière télé ), Christian Barbier ( "L'armée des ombres", "La Horse", "L'homme du Picardie" à la télé ) et Maria Mériko ( "Les mystères de Paris", "Le bar de la fourche", mais grande carrière à la télé et au théâtre ) .
On peut y ajouter les acteurs des personnages importants de l'histoire mais ayant à mon sens moins de notoriété, tels Roger Jendly, Jean-Pierre Sentier, André Rouyer et Claude Evrard ( qui faisait partie du duo comique de scène "Avron et Evrard" , avec Philippe Avron, de 1960 à 1975 ) .

1896  !  Dans un mas provençal ( pléonasme   ) servant d'auberge, arrive un soir un jeune compagnon du tour de France, sollicitant le gîte et le couvert pour la nuit. L'ambiance est lourde, inamicale et poisseuse .
Bientôt, le voyageur ( que l'on reverra bien plus tard dans l'histoire ) étant parti dormir dans l'écurie ( on a presque l'impression de se retrouver dans l'Historique auberge de Peyrebeille de la pourtant véridique légende de l'auberge rouge ), le maître de maison se rend compte que l'on rôde autour de chez lui . Peu de temps après, un individu entre et ressort du mas, épié lui-même par 3 autres hommes cachés dehors .
Le lendemain, les villageois sont regroupés devant l'habitation, quand les gendarmes ressortent des lieux avec un bébé dans les bras : tous les autres habitants sont morts égorgés, baignant dans leur sang !
On apprendra plus tard que trois étrangers ( de Bosnie-Herzégovine ) ont été reconnus coupables par la justice et guillotinés .
Fin de l'histoire  ??  Oh que non !
1920  !  Un jeune homme de 24 ans, ex-soldat survivant de la grande guerre, arrive dans le village . C'est Séraphin Monge ( Patrick Bruel ), le bébé rescapé du massacre, qui avait été placé en tant qu'orphelin chez les sœurs de la charité, et qu'on a envoyé à la guerre à l'âge de 18 ans . Tout le monde le tenait pour disparu sur les champs de bataille, et son nom figure même sur le monument aux morts du village .
Mais Séraphin est bien vivant, et son retour sur un lieu de naissance encore imprégné de croyances campagnardes, d'obscurantisme et même de sorcellerie, va susciter autant d'inquiétude et de peur chez les anciens que de convoitise chez les jeunes filles du village privées de potentiels galants par la guerre :


Le retour du soldat Monge dans son village de naissance !

Son nom est alors effacé du monument aux morts, et le notaire lui donne ce qui reste de son héritage, dont la maison considérée comme maudite par la population locale, que personne n'a voulu racheter et encore moins habiter.
Parmi les "vieux" du coin, seul le cantonnier Brigue ( Christian Barbier ), avec lequel il va travailler, lui montre de la sympathie . C'est par lui qu'il apprend une partie de la vérité sur sa naissance, et ce que l'on croit savoir du drame atroce de 1896, même si l'on se doute que Brigue ne dit pas tout . Séraphin entreprend alors de démolir cette maison maudite pierre par pierre, symbole des crimes qui y ont été commis .


Quand séraphin détruit la maison maudite à la masse !

Mais ce faisant, il découvre un coffret bien caché rempli de pièces d'or  ..................  et de papiers plus que compromettants lui faisant percevoir l'histoire sous un autre jour : les étrangers guillotinés n'ont probablement rien à voir avec les meurtres, alors que des villageois aujourd'hui notables des lieux avaient tout intérêt à voir disparaître son père, Félicien Monge !
Persuadé d'avoir identifié les vrais coupables, il décide de se venger  .............. sauf que quelqu'un anticipe ses actions et tue pour lui les hommes jadis compromis dans ces meurtres .
Considéré soit comme coupable de ces morts par certains, ou à minima comme apportant la mort de sa seule présence par d'autres, il est rejeté comme un pestiféré, sauf des jeunes filles amoureuses de lui  ( Rose - Agnès Blanchot -, la fille du meunier Didon Pujol, Marie - Anne Brochet -, la fille des boulangers Célestat et Clorinde Dormeur ) mais aussi du fils de Gaspard Dupin ( Claude Evrard ) - l'homme le plus riche du village - , le jeune Patrice Dupin ( Yann Collette ), "gueule cassée" ( comme on les appelait alors ) de la guerre, qui, lui-même rejeté de par son handicap physique, a pris Séraphin en amitié, et dont la sœur Charmaine ( Ingrid Held ) se montre également plus que pressante avec le jeune Monge .


Séraphin, ici avec Patrice Dupin ( Yann Collette ), survivant comme lui de la "Grande Guerre", et un des très rares amis qu'il a pu trouver dans le village .

Les morts violentes se succédant les unes aux autres, l'atmosphère des lieux s'alourdit de plus en plus, amplifiée par le comportement trouble du "sorcier" local dont presque tout le monde a peur, le "Zorme" ( Roger Jendly ).


"Le Zorme" ( Roger Jendly, vu dans "Espion lève-toi" d'Yves Boisset, ou "Ripoux contre ripoux" de Claude Zidi ) .

Au milieu de tous ces secrets et ces non-dits, au centre de ces meurtres de 1896 et du présent, quelle vérité - la seule, l'unique, l'écrasante - Séraphin va t'il finir par apprendre enfin sur ce qui s'est réellement passé 24 ans plus tôt ?
Il faudra encore un mort pour çà !

Georges Lautner, le réalisateur ( qui nous a quitté en 2013 ), est plus renommé pour ses comédies policières ( dont le cultissime "Les tontons flingueurs"  , mais aussi des "bébels" : "Flic ou voyou", "Le professionnel" ), voire ses polars "sérieux" ( tels ceux avec Delon : "Les seins de glace" et "Mort d'un pourri" ) que par d'autres films plus méconnus, dont fait partie cette "Maison assassinée"  pourtant très bien fichue .
Certes, Lautner est bien plus considéré comme un "faiseur" que comme un créateur ( à mon sens à juste titre ), mais cela ne devrait pas être pris comme péjoratif, car il a signé de nombreux films populaires ( de ceux qu'on  a trop souvent couvert du vocable un tantinet méprisant de "film du samedi soir", en oubliant que ce sont ceux-là qui remplissent le plus les salles !! ), avec un large panel d'acteurs majeurs du cinéma français ( J. Gabin,  P. Meurisse, M. Serrault, M. Darc, L. Ventura, Miou-Miou ..... en plus des précités Delon et Belmondo) ! Un palmarès plus qu'enviable s'il en est, même si bien sûr il y eut des ratés ( "le guignolo" , "La cage aux folles 3" .... ), comme pour tout metteur en scène .


Georges Lautner .

Niveau acteur, on ne sent pas Bruel toujours très à l'aise dans le personnage, se montrant à mon sens assez inégal selon les scènes, sans doute encore un peu "jeunôt" bien que ce soit son 12ème film . Probablement un petit manque de maturité qu'il va vite trouver au cours des années 90, mais c'était aussi la 1ère fois qu'il était censé porter un film sur ses épaules, surtout pour un contexte particulièrement dramatique !
Le second rôle le plus important est tenu par Yann Collette ( Patrice Dupin, en photo 4 ) qui n'a pas eu besoin de maquillage pour être une "gueule cassée" dans le film, son visage réellement marqué étant la conséquence d'une tumeur qui a failli l'emporter à l'âge de 16 ans . Aujourd'hui, il est déjà apparu dans plus de 25 films ( "L'amour braque" de Zulawski, le "Prêt-à-porter" d'Altman que Surfeur nous avait quizzé il y a quelques temps, "Le bossu" de Philippe de Broca, ou "La journée de la jupe" avec Isabelle Adjani ) .


Y. Collette ici à côté de Fabrice Lucchini dans "Le bossu", incarnant le personnage de Peyrolles .

Le rôle féminin principal est tenu par Anne Brochet ( photo 5 , avec P. Bruel et C. Barbier ), qui en était ici à son quatrième film, mais qui va véritablement acquérir sa notoriété en interprétant deux ans plus tard le personnage de Roxanne dans le "Cyrano"  de J. P. Rappeneau aux côtés de Gérard Depardieu et Vincent Pérez . Ceci étant, on ne peut pas dire qu'elle ait depuis tenu une place vraiment prépondérante dans le panel des actrices françaises, apparaissant principalement dans des métrages aux audiences assez limitées, sauf sans doute pour "La rafle", mais avec un rôle de moindre importance dans le casting .


Anne Brochet, ici dans le très austère "Tous les matins du monde" d'Alain Corneau, avec jean-Pierre Marielle .

Christian Barbier ( décédé en 2009 ), le cantonnier, s'est fait remarquer au cinéma en étant "le bison" dans le superbe "L'armée des ombres"   de Melville, et le gendre de J. Gabin dans "La Horse", mais est apparu dans presque 40 films . Ceci dit, pour les habitués-télé de ma génération, il restera surtout le batelier Joseph Durtol dans le feuilleton qui avait cartonné sur le petit écran à la fin des sixties, "L'homme du Picardie" :



Quant à Martine Sarcey ( photo 3, avec Maria Meriko ), sa filmographie ( avec quand même des titres fort sympathiques tels "Le voleur" de Louis Malle avec Belmondo, le savoureux "Un éléphant ça trompe énormément" d'Yves Robert, ou l'iconoclaste "Profs" de Patrick Schulmann ) n'est ponctuée que de seconds rôles dans lesquels ne l'auront remarquée que ceux qui ont suivi sa populaire carrière télévisuelle avec de nombreuses dramatiques et séries, le point d'orgue étant en 1973 le personnage de Jeanne Fortier dans "La porteuse de pain" ( rôle tenu par Suzanne Flon  dans la version cinéma en 1963 ), qui eut un immense succès lors de sa diffusion sur le petit écran .


Martine Sarcey, dans "La porteuse de pain", en 1973 ( une des premières productions télé en couleur, quand il n' y avait que 3 chaînes ) .

Elle a aussi été un des piliers du doublage, étant la voix la plus régulière d'Audrey Hepburn ( dans "My fair lady", "Seule dans la nuit" ..... etc ), de Julie Andrews ( voix parlée de "La mélodie du bonheur", la voix chantée étant de Mathé Altéry, pour un des films que j'ai le plus vu dans ma vie, pas loin d'une dizaine de fois  ), Joanne Woodward  ( Mme Paul Newman )........ et de beaucoup d'autres ( Maggie Smith, Shirley McLaine, Vanessa Redgrave ... ) .
Mais, comme pour son métier d'actrice , son doublage le plus célèbre restera sans doute celui d'une prestation télé dans la très populaire série "Ma sorcière bien-aimée", où elle a prêté sa voix à Elizabeth Montgomery alias Samantha Stevens, de 1964 à 1972 .

Enfin, Maria Meriko est sans doute la moins connue sur ce forum, mais elle a toujours eu la réputation d'être une immense tragédienne, et ce que j'en ai vu dans cette "Maison assassinée" ( où, pour moi, elle domine en interprétation les autres acteurs ), et en personnifiant une remarquable Catherine de Médicis dans la mini-série Historique "La dame de Monsoreau"  ( sans compter des apparitions dans "La caméra explore le temps" et bien d'autres dramatiques encore ) entérine ce talent de façon évidente . Comme partout, il y a hélas de très grands talents restés trop méconnus du grand public  !

Les photos et indices :
 - Photo 1 : un cadavre décomposé au fond du puits, qui révèle bien des choses à Séraphin Monge, surtout avec ce qu'il va trouver à côté des ossements. Scène marquante pouvant donner 9 points pour qui avait vu le film.
 - Photo 2 : les obsèques de Didon Pujol ( André Rouyer ), le meunier du village, mort violemment dans des circonstances tragiques .
 - Photo 3 : Martine Sarcey ( la boulangère, Clorinde Dormeur ) et Maria Meriko, dite "la tricanote", la mémoire du village, celle qui sait tout, et qui va envoyer Séraphin jusqu'au puits !
................. Je croyais naïvement  qu'elles pouvaient être reconnues de plusieurs d'entre vous .  C'est pourquoi je n'avais donné que des compléments d'informations sur leurs carrières, sans être trop précis .
 - Photo 4 : Yann Collette, (Patrice Dupin ), visage très identifiable pour qui l'a vu au moins dans un film ou deux . J'apporte des infos supplémentaires sur Martine Sarcey, pour confirmer vos éventuelles recherches .
 - Photo 5 : Christian Barbier, Anne Brochet et Patrick Bruel, vers les débuts du film, quand Séraphin tente de se faire admettre par la population locale peu après son retour . Avec des infos très précises sur les 2 premiers .

Sur ce quizz,  9 points pour Infrared,  6 pour Sonon,  4 pour Surfeur et Snaky,  2 pour c2302t et Yannickv,  et 1 pour Alamo .
Je redonnerai le classement général sur la prochaine synthèse du quizz N° 10 ( le Fellini ), que d'ailleurs vous avez déjà sur le post du bouclage  .

Bon, encore un "imprévu" ce mercredi, mais pas tant que çà puisque mon petit-fils est né   dans l'après-midi ! Il se prénomme Léo ( savais pas jusqu'à la naissance ), pèse 3,7 kgs et mesure 51 cm !
Du coup, j'ai passé beaucoup de temps sur mon smartphone à taper la discute et écrire des sms .
Et donc, pas trouvé le temps de venir sur le forum dans la journée   !
Au moins, j'ai pu finir  cette nuit la synthèse de "La maison assassinée", que vous trouverez ci-dessus ! Mais pas pu trouver le temps de bosser sur le suivant  et dernier de cette série !
Ça va vite venir, surtout que je n'ai pas le droit d'aller à la maternité voir ma fille et mon petit-fils   en raison du covid !!!
Donc bientôt, quizz N°12 et synthèse N° 10 . Merci pour votre patience   !

Barbe-Noire a écrit:Bon, encore un "imprévu" ce mercredi, mais pas tant que çà puisque mon petit-fils est né   dans l'après-midi ! Il se prénomme Léo ( savais pas jusqu'à la naissance ), pèse 3,7 kgs et mesure 51 cm ! 

Félicitations  A quelques jours près vous auriez eu la même date d'anniversaire