Quizz cinéma
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Re: Quizz cinéma
Bonne nouvelle, félicitations à la maman.

alamo- Messages : 766
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Re: Quizz cinéma
Un beau bébéBarbe-Noire a écrit: Léo ..3,7 kgs .. 51 cm

surfeur51- Messages : 1833
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Re: Quizz cinéma
Félicitations à toute la famille 

infrared- Messages : 397
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Re: Quizz cinéma
Merci à tous, je transmettrai aux heureux parents !
J'avais un peu l'esprit ailleurs pour me concentrer en totalité sur une synthèse ( surtout pour un film que je n'ai pas vu, le " 8 1/2 " de Fellini
), mais j'ai pu terminer la préparation du dernier quizz de cette série :
Film 12 , extrait 1 : ( possible à trouver pour ceux qui l'ont vu )

Bonne chance !



J'avais un peu l'esprit ailleurs pour me concentrer en totalité sur une synthèse ( surtout pour un film que je n'ai pas vu, le " 8 1/2 " de Fellini

Film 12 , extrait 1 : ( possible à trouver pour ceux qui l'ont vu )

Bonne chance !
Barbe-Noire- Messages : 3040
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Re: Quizz cinéma
Deux propositions, de Snaky et d'Infrared, les deux à côté .
A signaler que l'actrice en 1 est certes peu connue, mais n'est pas pour autant une simple figurante . On ne peut pas dire que sa filmo soit pléthorique, mais elle comporte quelques titres marquants !
Film 12, extrait 2 :

3 personnages importants du film . Bien sûr, en 2, je n'allais pas les montrer de face, ............ ni de près !
Le plus jeune des deux acteurs de dos est récemment décédé, et on en a parlé dans le topic "ils nous ont quitté" .
A signaler que l'actrice en 1 est certes peu connue, mais n'est pas pour autant une simple figurante . On ne peut pas dire que sa filmo soit pléthorique, mais elle comporte quelques titres marquants !
Film 12, extrait 2 :

3 personnages importants du film . Bien sûr, en 2, je n'allais pas les montrer de face, ............ ni de près !
Le plus jeune des deux acteurs de dos est récemment décédé, et on en a parlé dans le topic "ils nous ont quitté" .
Barbe-Noire- Messages : 3040
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Re: Quizz cinéma
Une tentative de c2302t sur l'extrait 2, à côté également .
Ce film a été multi-oscarisé !
Film 12 , extrait 3 :

Vraiment dommage que le "reflet"
soit masqué par une photo
, car la dame ( en tout petit devant la maison sur l'extrait 2 ) est hyper-connue !
Je l'ai déjà fait apparaître en maillot de bain très suggestif dans un autre quizz !
Je compte m'attaquer à la synthèse de " 8 1/2 " sur ce dimanche !
Ce film a été multi-oscarisé !
Film 12 , extrait 3 :

Vraiment dommage que le "reflet"


Je l'ai déjà fait apparaître en maillot de bain très suggestif dans un autre quizz !
Je compte m'attaquer à la synthèse de " 8 1/2 " sur ce dimanche !
Barbe-Noire- Messages : 3040
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Age : 67
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Re: Quizz cinéma
Bonnes réponses de Snaky, Surfeur et c2302t sur cet extrait 3. A côté pour Alamo.
Le trio de tête est fixé : Infrared en 1, Surfeur en 2, Snaky en 3. Bravo aux 3 !!!
Le trio de tête est fixé : Infrared en 1, Surfeur en 2, Snaky en 3. Bravo aux 3 !!!
Barbe-Noire- Messages : 3040
Date d'inscription : 07/11/2019
Age : 67
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Re: Quizz cinéma
Bon, entre le biathlon, le foot, le téléphone, la sieste
et deux émissions télé, j'ai super-glandé aujourd'hui et je ne me suis pas attaqué à la synthèse prévue
!
Demain ( ce lundi ), à part sans doute l'indispensable sieste
, y'aura rien de tout çà . Ça devrait donc le faire pour le Fellini
!
En attendant, 4ème bonne réponse sur l'extrait 3 - sans grande surprise - d'Infrared !
Extrait 4 :

L'acteur de dos à droite de l'extrait 3, qui nous a quitté en mars 2021. Si les 2 femmes du film (photos 1 et 3) ont reçu les oscars d'interprétation féminines, lui et l'acteur principal ont été nominés pour l'interprétation masculine sans les obtenir !
Edit : puisque cela ne changera rien au classement, qui est désormais figé, et à l'occasion de mon anniversaire
, plutôt que de donner un indice supplémentaire qui rebuterait les "non chercheurs", je précise plus simplement que l'acteur ci-dessus est George Segal ! J'ajoute que plus haut, l'utilisation du mot "reflet" ( entre guillemets
pour attirer l'attention ) n'était pas là par hasard quant à l'identification de l'actrice devant son miroir
!


Demain ( ce lundi ), à part sans doute l'indispensable sieste


En attendant, 4ème bonne réponse sur l'extrait 3 - sans grande surprise - d'Infrared !
Extrait 4 :

L'acteur de dos à droite de l'extrait 3, qui nous a quitté en mars 2021. Si les 2 femmes du film (photos 1 et 3) ont reçu les oscars d'interprétation féminines, lui et l'acteur principal ont été nominés pour l'interprétation masculine sans les obtenir !
Edit : puisque cela ne changera rien au classement, qui est désormais figé, et à l'occasion de mon anniversaire



Barbe-Noire- Messages : 3040
Date d'inscription : 07/11/2019
Age : 67
Localisation : Seine et Marne ( et toujours "à la croisée des chemins" )
Re: Quizz cinéma
SYNTHÈSE du Quizz N° 10 : " 8 1/2 " , de Federico Fellini .

... Jaquette de DVD ................................................................................ Et une des nombreuses affiches du film .
Mon choix - sur cette série - d'un film hors de mes radars personnels
, comme précédemment "Contes de la lune vague après la pluie" de Mizoguchi, "L'enfant sauvage" de Truffaut, ou "Le septième sceau" de Bergman !!
Comme à chaque fois, je m'attelle donc à rédiger une synthèse pour un film que je n'ai pas vu, ou si peu : les dix premières minutes
( mais dont j'ai amplement entendu parler ) .
Je vais donc être quasi contraint d'utiliser des éléments qui ne seront pas de ma plume, ou plus exactement de mon clavier, ce dont je vous présente par avance mes excuses !
Sur les années 50, Fellini a réalisé des films que l'on peut qualifier de facture classique, tels " I Vitelloni " ( les gros veaux, ou les inutiles ), " La strada "
, " Les nuits de Cabiria ", " La dolce Vita " ou " Il bidone " ( pas vu celui-ci ) .

"I Vitelloni" ( 1953 ) avec Alberto Sordi......................."La strada" (1954) avec A. Quinn et G. Masina ............................"La dolce Vita" (1960), avec M. Mastrioanni et A. Ekberg .
A compter des années 60, sa "patte" va prendre un tournant qu'il ne quittera quasiment plus pour se tourner vers des métrages beaucoup plus personnalisés, navigant entre l'abstraction, la démesure, l'outrance et le symbolisme ( enfin, c'est comme çà que j'ai perçu la chose, mais d'autres auront peut-être des interprétations différentes ) .
Et le premier d'entre eux a été ce " 8 1/2 ", en 1963, qui en a dérouté beaucoup ( dont les hyper-cartésiens dans mon genre
), mais pour lequel les critiques ont dans leur grande majorité crié au génie .
Ce film a obtenu de nombreuses récompenses, dont l'Oscar du meilleur film étranger en 1964 . Voici la liste complète des distinctions qu'il a remportées :
De fait, j'avais commencé un visionnage sur une diffusion télé : je me souviens d'une silhouette survolant un immense embouteillage dans le silence le plus total, puis d'images absconses et hermétiques à mes fort modestes capacités (trop pragmatiques) de perceptions personnelles . Bref, j'ai vite abandonné, comme pour du Rohmer ou du Bresson . Mais ceci ne veut pas dire que j'en conteste les idées novatrices ni les qualités formelles .
Simplement, cela dépasse mes facultés de réceptivité, dont j'ai pourtant essayé il fut un temps de repousser les limites, mais sans jamais y parvenir
!
J'ai depuis renoncé, et laissé çà aux cinéphiles purs et durs, bien plus à même d'en ressentir les vertus plus ou moins cachées qui s'en détachent !

Quelques visions du cinéaste : aux spécialistes de Fellini d'en expliquer les significations ........................ s'il y en a ( j'imagine que oui )
!!!
Voici quelques avis piochés ici et là sur le web :
Jamais comme ici Fellini n'a été aussi haut dans le langage cinématographique, la fantaisie et la force d'expression. Mais ces beautés inouïes sont perdues dans un film sans colonne dorsale narrative (…) . Prises une à une, les choses sont intéressantes, même belles, et parfois très belles. Toutefois, l'ensemble, manquant d'une certaine unité dramatique, risque de lasser .
En tant qu'artiste, il n'y a pas de doute qu'avec "Otto e mezzo", Fellini a fait un pas en avant. Dans le domaine du succès, ce fut un pas en arrière. C'est un film absolument cérébral, un luxe effréné aux frontières de la présomption qu'un grand artiste s'est payé aux dépens d'un producteur aux idées larges.
.......................................................Dino BUZZATI , dans la revue "ARTS" , en mars 1963 .
Bon allez courage !!
Difficile d'attaquer de face une œuvre aussi intense, aussi dense et impressionnante que ce huitième film et demi du grand Federico.
Tout d'abord, je dois avouer qu'il y a déjà quelques années que je n'ai pas revu ce film. Mais il est aussi vrai que je l'ai regardé à de très nombreuses reprises durant mes jeunes années, pour essayer de décrypter ces images en noir et blanc, d'une beauté inouïe et d'un hermétisme excitant ma curiosité . De démêler le fil d'un scénario, dont je compris bien plus tard qu'il n'était qu'un alibi alambiqué pour laisser libre cours à la vision féerique et poétique du cinéaste de Rimini.
Car effectivement on comprend vite que ce Guido Anselmi ( campé par l'un des plus grands acteurs de l'histoire du cinéma : Le sublime Marcello Mastroianni ) n'est autre que Fellini lui-même, et qu'on est parti pour 2h20 d'une mise en abyme gravitant autour du réalisateur, qui aurait donc pu rapidement s'avérer nombriliste et totalement stérile, mais le génie du cinéaste en a décidé autrement.
Ces thèmes que le maître Italien brasse dans le film, et qui semblent si personnels ( qui le sont, d'ailleurs), sont aussi fortement universels et touchent chacun de nous dans nos différences et notre diversité .
Réflexion sur l'Art, sur le processus (complexe et aléatoire) de création, sur le tarissement de la veine artistique. Sur la dépression. Sur l'amitié et les rapports humains. Sur la famille. Sur le sexe.
Un film mêlant divinement réel et imaginaire. Nous laissant flotter, vaporeux, ne sachant où poser le pied. Nous perdant, au fur et à mesure, dans le labyrinthe cérébral de Guido. Entremêlant les souvenirs émouvants de ses parents, ses 5 à 7 avec sa pulpeuse maîtresse et ses fantasmes sexuels débridés où il dresse à coups de fouet les nombreuses femmes qui ont traversées sa vie. ( cf. la photo ci-dessus, et l'affiche en rouge . )
Un film qui de toutes façons ne laisse pas de marbre. On l'adore ou on le déteste. Mais on réagit....
Et puis ce final !!
Ce final où le réalisateur met en scène sa propre vie (au son du thème génial de Nino Rota), où chaque ami, parents, femmes, maîtresses, collègues et connaissances prennent vie et s'articulent comme des pantins sur les ordres d'un réalisateur enfin maître de son destin et de ses désirs. Prouvant ainsi, que la vie, notre vie, n'est qu'un grand cirque, une grande arène où s'ébattent les gens que nous voulons bien y mettre.
Et Fellini nous démontrant, in fine, qu'il nous faudrait être les réalisateurs tout-puissants de nos propres vies !
Puis faire ce qu'il a fait tout au long de sa carrière, un grand, un immense film de sa vie.
..................................................................... SENS CRITIQUE , juin 2013 .
Rien n'est exagéré dans "8 ½", pas même la fin où le metteur en scène est traîné de force au travail. Ce film est celui des metteurs en scène, notre film, et nous devons tous de la reconnaissance à celui qui l'a fait.
Après avoir vu "8 1/2", ma complice Helen Scott qui va m'assister tout au long de "Fahrenheit 451" m'a dit : "Je ne croyais pas que c’était si difficile de faire un film. Réellement quel travail".
.....................................................................FRANÇOIS TRUFFAUT , Janvier 1966 .
A partir de là, est-il seulement possible de résumer ou de fournir un banal synopsis sur ce film ? Ceci est impossible pour moi, et me semble d'ailleurs très improbable pour quiconque, même pour un professionnel de la critique .
Je ne m'y risquerai donc pas, mais je vous livre, pour finir cet aspect de la synthèse, cette réflexion qui me semble assez bien résumer le sentiment que l'on peut avoir sur cette création Fellinienne ( et qui présente aussi l'avantage d'en expliquer le titre ) :
De par son titre, " 8 1/2" est déjà méta-discursif et autobiographique : après six longs-métrages et trois " demi-métrages" – ce qui donne au total sept films et demi – le nouveau projet de Fellini se veut donc le 7½+1, c’est-à-dire le 8½.
Quoi de mieux que de choisir comme titre d’œuvre une référence à sa propre filmographie, quand l’œuvre en question a pour projet de raconter le rapport intime et viscéral qu’entretient le réalisateur avec son art ?
"8 1/2", dès son titre, annonce donc son programme : le film sera une sorte de pause réflexive, de sommet, de point de bascule et de tournant dans la carrière de Fellini, tant d’un point de vue thématique qu’esthétique.
Après des débuts néo-réalistes, puis la consécration de "La dolce vita" – qui annonçait déjà le renouvellement accompli par "8 1/2" –, et avant une seconde partie de carrière plus excentrique, colorée, symboliste, voire surréaliste par moments, Fellini veut faire le point , mais pas uniquement : il nous invite à explorer avec lui les limbes de son esprit, de ses névroses et de ses passions. Le réalisateur italien se livre à son public par la création d’une œuvre-somme, où thématique ( acteurs/personnages ), esthétique, montage et musique atteignent leur apogée pour donner une quasi définition cinématographique du « cinéaste Fellini ». Ses films plus intimes, tels "Amarcord" ou "Fellini Roma" , se chargeront quelques années plus tard de "l’homme Fellini".
À l’heure d’un premier bilan, avant de regarder le passé dans le rétroviseur de la mélancolie, comme il le fera dans "Ginger et Fred" et surtout 'Intervista", Fellini regarde le présent droit dans les yeux.
Tel Mastroianni baissant d’un doigt ses lunettes de soleil vers le bout de son nez, le cinéaste se met à nu – non sans artifices, paradoxalement – pour regarder de plus près son propre rapport au cinéma, interroger ses propres processus créatifs, donner à voir le chaos intérieur auquel tout artiste fait face en accouchant d’une œuvre… et la beauté ineffable qui la seconde !

................................................................. JULES CHAMBRY ( Le mag du ciné ) , octobre 2020 .
Ayant depuis longtemps ( mais bien après, car en 1963, je n'avais que 7 ans
) perçu l'inflexion du metteur en scène Fellini ( qui a voulu tellement personnaliser sa démarche qu'il a carrément placé son nom dans quelques titres : "Fellini Roma", "Le Casanova de Fellini" ) , et après avoir quand même tenté de regarder quelques films ( j'ai aussi craqué bien avant la fin
sur le "Satyricon" ou "La cité des femmes" , que j'avais loué en vidéo-club sur le paléolithique support VHS ) , j'ai donc décidé d'en rester au Fellini première période, celui de "La strada" ( que j'ai quizzé il y a quelques années ) , de "I Vitelloni" ou des "Nuits de Cabiria" ( que j'attends de trouver à prix sympa en DVD ) .

Les délires oniriques de Fellini , dans son "Satyricon" .................................................................................................... et dans son "Casanova", avec Donald Sutherland .
Ne pouvant donc pas déterminer avec précision un quelconque moment précis de la progression scénaristique au niveau des photos ( toutes capturées sur le web, car bien évidemment je n'ai pas le DVD
), je n'ai choisi les extraits que sur la renommée des comédiens :
- En 1 : Eddra Gale ( connais pas ) , originellement chanteuse d'Opéra, qui danse ici sur une plage devant des enfants ( ne me demandez pas pourquoi
), et qui a fait quelques furtives apparitions entre autres dans "Quoi de neuf Pussycat" ( de Clive Donner, avec Peter O'Toole, Peter sellers et Romy Schneider ) et "Le lauréat" ( de Mike Nichols, avec Dustin Hoffman, Anne Bancroft et katharine Ross ) .
- En 2 : Barbara Steele, bien plus connue pour ses nombreuses participations aux films d'horreur gothiques italiens ( les plus connus étant "Le masque du démon" de Mario Bava, "La chambre des tortures" de Roger Corman ou "La sorcière sanglante" d'Antonio Margheriti ) que pour ses incursions chez des cinéastes plus "normaux"
, tels Georges Lautner ( "Le monocle rit jaune", avec Paul Meurisse ), Mario Monicelli ( "L'armée Brancaleone" avec Vittorio Gassman ) , Jonathan Demme ( "5 femmes à abattre" ) ou Louis Malle ( "La petite" , avec Brooke Shields et Susan Sarandon ) . Encore fallait-il l'identifier
!
Zardi l'avait nommément citée
juste avant dans nos échanges sur Vincent Price, ce qui, je dois le reconnaître, m'a bien arrangé
niveau indices !

Barbara Steele, ici dans "Le masque du démon" de Mario Bava, le créateur du giallo, que Dario Argento portera plus tard au sommet du genre ( "Suspiria", "Inferno" ...... etc ) .
- En 3 : une scène de cirque que je suis bien incapable de situer dans le film, mais sur laquelle on voit bien ( en petit ) Marcello Mastroianni qui se penche pour discuter avec le gamin qui ferme la marche .
Je précise sous l'image que le film a été projeté hors compétition à cannes . Vu la réputation "cinéphilique" du métrage à posteriori, et les tendances habituelles de même approche des jurys cannois, on peut penser qu'il aurait été un candidat très sérieux à la palme d'or s'il avait été en compétition !
- En 4 : Anouk Aimée ( le "chabadabada" illustre de "Un homme et une femme", chanté par Nicole Croisille ) et Sandra Milo ( qui interprétait la femme "légère" dans "La jument verte"
de C. Autant-Lara, avec Bourvil et Francis Blanche, pour préciser mon indice ) .

Sandra Milo avec Bourvil, dans "La jument verte" .
- En 5 : bien sûr, les deux acteurs principaux : Claudia cardinale et Marcello Mastroianni ( je cite "Le Guépard" et "Le bel Antonio" pour confirmer l'identification des comédiens ) .
Les cinq premiers du classement ont trouvé la bonne réponse sur la photo 2 de Barbara Steele, tantôt par identification, tantôt par recherches .
Rappel du classement au bout de dix films :
- 1er : Infrared , avec 69 points .
- 2ème : Surfeur, avec 52 points .
- 3ème : Snaky, avec 49 points .
- 4ème : Sonon, avec 35 points .
- 5ème : c2302t, avec 27 points .
- 6ème : Yannickv, avec 17 points .
- 7ème : Alamo, avec 14 points .
- 8ème : Zardi, avec 4 points ( qui n'aura joué que sur un film . Le quizz, c'est pas son truc
)



... Jaquette de DVD ................................................................................ Et une des nombreuses affiches du film .
Mon choix - sur cette série - d'un film hors de mes radars personnels

Comme à chaque fois, je m'attelle donc à rédiger une synthèse pour un film que je n'ai pas vu, ou si peu : les dix premières minutes

Je vais donc être quasi contraint d'utiliser des éléments qui ne seront pas de ma plume, ou plus exactement de mon clavier, ce dont je vous présente par avance mes excuses !
Sur les années 50, Fellini a réalisé des films que l'on peut qualifier de facture classique, tels " I Vitelloni " ( les gros veaux, ou les inutiles ), " La strada "





"I Vitelloni" ( 1953 ) avec Alberto Sordi......................."La strada" (1954) avec A. Quinn et G. Masina ............................"La dolce Vita" (1960), avec M. Mastrioanni et A. Ekberg .
A compter des années 60, sa "patte" va prendre un tournant qu'il ne quittera quasiment plus pour se tourner vers des métrages beaucoup plus personnalisés, navigant entre l'abstraction, la démesure, l'outrance et le symbolisme ( enfin, c'est comme çà que j'ai perçu la chose, mais d'autres auront peut-être des interprétations différentes ) .
Et le premier d'entre eux a été ce " 8 1/2 ", en 1963, qui en a dérouté beaucoup ( dont les hyper-cartésiens dans mon genre

Ce film a obtenu de nombreuses récompenses, dont l'Oscar du meilleur film étranger en 1964 . Voici la liste complète des distinctions qu'il a remportées :
- Rubans d'argent 1963 : meilleur réalisateur, meilleur producteur, meilleur sujet, meilleur scénario, meilleure photographie, meilleure musique, meilleure actrice dans un second rôle (Sandra Milo).
- NYFCC Award 1963 : meilleur film étranger .
- Festival international du film de Moscou 1963 : Grand prix .
- Oscar du cinéma 1964 : meilleur film en langue étrangère, meilleurs costumes dans un film en noir et blanc .
- Bodil 1964 : meilleur film européen .
- Kinema Junpo Award 1966 : meilleur film en langue étrangère et meilleur réalisateur de film en langue étrangère .
- National Board of Review : meilleur film étranger .
De fait, j'avais commencé un visionnage sur une diffusion télé : je me souviens d'une silhouette survolant un immense embouteillage dans le silence le plus total, puis d'images absconses et hermétiques à mes fort modestes capacités (trop pragmatiques) de perceptions personnelles . Bref, j'ai vite abandonné, comme pour du Rohmer ou du Bresson . Mais ceci ne veut pas dire que j'en conteste les idées novatrices ni les qualités formelles .
Simplement, cela dépasse mes facultés de réceptivité, dont j'ai pourtant essayé il fut un temps de repousser les limites, mais sans jamais y parvenir


J'ai depuis renoncé, et laissé çà aux cinéphiles purs et durs, bien plus à même d'en ressentir les vertus plus ou moins cachées qui s'en détachent !


Quelques visions du cinéaste : aux spécialistes de Fellini d'en expliquer les significations ........................ s'il y en a ( j'imagine que oui )



Voici quelques avis piochés ici et là sur le web :
Jamais comme ici Fellini n'a été aussi haut dans le langage cinématographique, la fantaisie et la force d'expression. Mais ces beautés inouïes sont perdues dans un film sans colonne dorsale narrative (…) . Prises une à une, les choses sont intéressantes, même belles, et parfois très belles. Toutefois, l'ensemble, manquant d'une certaine unité dramatique, risque de lasser .
En tant qu'artiste, il n'y a pas de doute qu'avec "Otto e mezzo", Fellini a fait un pas en avant. Dans le domaine du succès, ce fut un pas en arrière. C'est un film absolument cérébral, un luxe effréné aux frontières de la présomption qu'un grand artiste s'est payé aux dépens d'un producteur aux idées larges.
.......................................................Dino BUZZATI , dans la revue "ARTS" , en mars 1963 .
Bon allez courage !!
Difficile d'attaquer de face une œuvre aussi intense, aussi dense et impressionnante que ce huitième film et demi du grand Federico.
Tout d'abord, je dois avouer qu'il y a déjà quelques années que je n'ai pas revu ce film. Mais il est aussi vrai que je l'ai regardé à de très nombreuses reprises durant mes jeunes années, pour essayer de décrypter ces images en noir et blanc, d'une beauté inouïe et d'un hermétisme excitant ma curiosité . De démêler le fil d'un scénario, dont je compris bien plus tard qu'il n'était qu'un alibi alambiqué pour laisser libre cours à la vision féerique et poétique du cinéaste de Rimini.
Car effectivement on comprend vite que ce Guido Anselmi ( campé par l'un des plus grands acteurs de l'histoire du cinéma : Le sublime Marcello Mastroianni ) n'est autre que Fellini lui-même, et qu'on est parti pour 2h20 d'une mise en abyme gravitant autour du réalisateur, qui aurait donc pu rapidement s'avérer nombriliste et totalement stérile, mais le génie du cinéaste en a décidé autrement.
Ces thèmes que le maître Italien brasse dans le film, et qui semblent si personnels ( qui le sont, d'ailleurs), sont aussi fortement universels et touchent chacun de nous dans nos différences et notre diversité .
Réflexion sur l'Art, sur le processus (complexe et aléatoire) de création, sur le tarissement de la veine artistique. Sur la dépression. Sur l'amitié et les rapports humains. Sur la famille. Sur le sexe.
Un film mêlant divinement réel et imaginaire. Nous laissant flotter, vaporeux, ne sachant où poser le pied. Nous perdant, au fur et à mesure, dans le labyrinthe cérébral de Guido. Entremêlant les souvenirs émouvants de ses parents, ses 5 à 7 avec sa pulpeuse maîtresse et ses fantasmes sexuels débridés où il dresse à coups de fouet les nombreuses femmes qui ont traversées sa vie. ( cf. la photo ci-dessus, et l'affiche en rouge . )
Un film qui de toutes façons ne laisse pas de marbre. On l'adore ou on le déteste. Mais on réagit....
Et puis ce final !!
Ce final où le réalisateur met en scène sa propre vie (au son du thème génial de Nino Rota), où chaque ami, parents, femmes, maîtresses, collègues et connaissances prennent vie et s'articulent comme des pantins sur les ordres d'un réalisateur enfin maître de son destin et de ses désirs. Prouvant ainsi, que la vie, notre vie, n'est qu'un grand cirque, une grande arène où s'ébattent les gens que nous voulons bien y mettre.
Et Fellini nous démontrant, in fine, qu'il nous faudrait être les réalisateurs tout-puissants de nos propres vies !
Puis faire ce qu'il a fait tout au long de sa carrière, un grand, un immense film de sa vie.
..................................................................... SENS CRITIQUE , juin 2013 .
Rien n'est exagéré dans "8 ½", pas même la fin où le metteur en scène est traîné de force au travail. Ce film est celui des metteurs en scène, notre film, et nous devons tous de la reconnaissance à celui qui l'a fait.
Après avoir vu "8 1/2", ma complice Helen Scott qui va m'assister tout au long de "Fahrenheit 451" m'a dit : "Je ne croyais pas que c’était si difficile de faire un film. Réellement quel travail".
.....................................................................FRANÇOIS TRUFFAUT , Janvier 1966 .
A partir de là, est-il seulement possible de résumer ou de fournir un banal synopsis sur ce film ? Ceci est impossible pour moi, et me semble d'ailleurs très improbable pour quiconque, même pour un professionnel de la critique .
Je ne m'y risquerai donc pas, mais je vous livre, pour finir cet aspect de la synthèse, cette réflexion qui me semble assez bien résumer le sentiment que l'on peut avoir sur cette création Fellinienne ( et qui présente aussi l'avantage d'en expliquer le titre ) :
De par son titre, " 8 1/2" est déjà méta-discursif et autobiographique : après six longs-métrages et trois " demi-métrages" – ce qui donne au total sept films et demi – le nouveau projet de Fellini se veut donc le 7½+1, c’est-à-dire le 8½.
Quoi de mieux que de choisir comme titre d’œuvre une référence à sa propre filmographie, quand l’œuvre en question a pour projet de raconter le rapport intime et viscéral qu’entretient le réalisateur avec son art ?
"8 1/2", dès son titre, annonce donc son programme : le film sera une sorte de pause réflexive, de sommet, de point de bascule et de tournant dans la carrière de Fellini, tant d’un point de vue thématique qu’esthétique.
Après des débuts néo-réalistes, puis la consécration de "La dolce vita" – qui annonçait déjà le renouvellement accompli par "8 1/2" –, et avant une seconde partie de carrière plus excentrique, colorée, symboliste, voire surréaliste par moments, Fellini veut faire le point , mais pas uniquement : il nous invite à explorer avec lui les limbes de son esprit, de ses névroses et de ses passions. Le réalisateur italien se livre à son public par la création d’une œuvre-somme, où thématique ( acteurs/personnages ), esthétique, montage et musique atteignent leur apogée pour donner une quasi définition cinématographique du « cinéaste Fellini ». Ses films plus intimes, tels "Amarcord" ou "Fellini Roma" , se chargeront quelques années plus tard de "l’homme Fellini".
À l’heure d’un premier bilan, avant de regarder le passé dans le rétroviseur de la mélancolie, comme il le fera dans "Ginger et Fred" et surtout 'Intervista", Fellini regarde le présent droit dans les yeux.
Tel Mastroianni baissant d’un doigt ses lunettes de soleil vers le bout de son nez, le cinéaste se met à nu – non sans artifices, paradoxalement – pour regarder de plus près son propre rapport au cinéma, interroger ses propres processus créatifs, donner à voir le chaos intérieur auquel tout artiste fait face en accouchant d’une œuvre… et la beauté ineffable qui la seconde !

................................................................. JULES CHAMBRY ( Le mag du ciné ) , octobre 2020 .
Ayant depuis longtemps ( mais bien après, car en 1963, je n'avais que 7 ans




Les délires oniriques de Fellini , dans son "Satyricon" .................................................................................................... et dans son "Casanova", avec Donald Sutherland .
Ne pouvant donc pas déterminer avec précision un quelconque moment précis de la progression scénaristique au niveau des photos ( toutes capturées sur le web, car bien évidemment je n'ai pas le DVD

- En 1 : Eddra Gale ( connais pas ) , originellement chanteuse d'Opéra, qui danse ici sur une plage devant des enfants ( ne me demandez pas pourquoi


- En 2 : Barbara Steele, bien plus connue pour ses nombreuses participations aux films d'horreur gothiques italiens ( les plus connus étant "Le masque du démon" de Mario Bava, "La chambre des tortures" de Roger Corman ou "La sorcière sanglante" d'Antonio Margheriti ) que pour ses incursions chez des cinéastes plus "normaux"


Zardi l'avait nommément citée



Barbara Steele, ici dans "Le masque du démon" de Mario Bava, le créateur du giallo, que Dario Argento portera plus tard au sommet du genre ( "Suspiria", "Inferno" ...... etc ) .
- En 3 : une scène de cirque que je suis bien incapable de situer dans le film, mais sur laquelle on voit bien ( en petit ) Marcello Mastroianni qui se penche pour discuter avec le gamin qui ferme la marche .
Je précise sous l'image que le film a été projeté hors compétition à cannes . Vu la réputation "cinéphilique" du métrage à posteriori, et les tendances habituelles de même approche des jurys cannois, on peut penser qu'il aurait été un candidat très sérieux à la palme d'or s'il avait été en compétition !
- En 4 : Anouk Aimée ( le "chabadabada" illustre de "Un homme et une femme", chanté par Nicole Croisille ) et Sandra Milo ( qui interprétait la femme "légère" dans "La jument verte"



Sandra Milo avec Bourvil, dans "La jument verte" .
- En 5 : bien sûr, les deux acteurs principaux : Claudia cardinale et Marcello Mastroianni ( je cite "Le Guépard" et "Le bel Antonio" pour confirmer l'identification des comédiens ) .
Les cinq premiers du classement ont trouvé la bonne réponse sur la photo 2 de Barbara Steele, tantôt par identification, tantôt par recherches .
Rappel du classement au bout de dix films :
- 1er : Infrared , avec 69 points .
- 2ème : Surfeur, avec 52 points .
- 3ème : Snaky, avec 49 points .
- 4ème : Sonon, avec 35 points .
- 5ème : c2302t, avec 27 points .
- 6ème : Yannickv, avec 17 points .
- 7ème : Alamo, avec 14 points .
- 8ème : Zardi, avec 4 points ( qui n'aura joué que sur un film . Le quizz, c'est pas son truc



Dernière édition par Barbe-Noire le Mer 12 Jan - 4:47, édité 2 fois
Barbe-Noire- Messages : 3040
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surfeur51 et phiphi931 aiment ce message
Re: Quizz cinéma
Super beau travailBarbe-Noire a écrit:SYNTHÈSE du Quizz N° 10 : " 8 1/2 " , de Federico Fellini



Sur la vue d'ensemble, on pourrait presque te voir comme un fana inconditionnel de ce film.
Après, en lisant entre les lignes...


surfeur51- Messages : 1833
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phiphi931 aime ce message
Re: Quizz cinéma
Film 12, extrait N°5 , dernière photo de ma série, en attendant un futur retour aux affaires :

Les 4 acteurs déjà montrés sur les extraits précédents ! Et d'ailleurs, il n''y en a pas d'autres dans le film ! J'espère que plus personne n'aura de problème pour identifier la dame en robe noire et le monsieur debout !!
Un d'entre nous n'a pas hésité bien longtemps avant d'acheter le film !!
Je ferai certainement la synthèse N°11 ( Edith et Marcel ) sur la fin de cette semaine . Pour ce N° 12, ce sera plus probablement la semaine prochaine !

Les 4 acteurs déjà montrés sur les extraits précédents ! Et d'ailleurs, il n''y en a pas d'autres dans le film ! J'espère que plus personne n'aura de problème pour identifier la dame en robe noire et le monsieur debout !!
Un d'entre nous n'a pas hésité bien longtemps avant d'acheter le film !!

Je ferai certainement la synthèse N°11 ( Edith et Marcel ) sur la fin de cette semaine . Pour ce N° 12, ce sera plus probablement la semaine prochaine !
Barbe-Noire- Messages : 3040
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Re: Quizz cinéma
Bouclage du quizz N° 12 , et fin de ma série :

Film de Mike NICHOLS , sorti en 1966 , avec Elizabeth Traylor, Richard Burton, George Segal et Sandy Dennis , adapté de la pièce éponyme d'Edward Albee, jouée pour la 1ère fois à Broadway en 1962 .
Liz Taylor y a obtenu le second ( et dernier ) Oscar de sa carrière après celui de" La vénus au vison" en 1961 . Elle n'avait alors que 33 ans, et a dû se vieillir d'une vingtaine d'années pour le rôle .
Sandy Dennis a remporté l'Oscar du meilleur second rôle féminin. R. Burton et G. Segal ont été cités pour les rôles masculins mais ne les ont pas obtenus .
Vu qu'il n'a pas d'autres comédiens dans le film, tout la distribution a donc été nominée !
Le titre vient de la pièce, dans laquelle George chantonne plusieurs fois le "Who's afraid of the big bad wolf" ( Martha aussi dans le film ) tiré du dessin animé court métrage de Disney, "Les 3 petits cochons", sorte de gimmick entre les deux personnages dans leur leur relation amour-haine qui les unit !
Surfeur, Snaky, c2302t et Infrared marquent chacun 4 points pour ce film, et Alamo 1 point .
Sonon, Yannickv et Zardi ne se sont pas manifestés .
Classement final :
1er : Infrared, avec 77 points .
2ème : Surfeur, avec 60 points .
3ème : Snaky, avec 57 points .
4ème : Sonon, avec 39 points .
5ème : c2302t, avec 35 points .
6ème : Yannickv, avec 17 points .
7ème : Alamo, avec 15 points .
8ème : Zardi, avec 4 points .
Je m'attaque à la synthèse N°11 ( Edith et Marcel ) dès que j'en aurai le temps ( entre 4 et 6 heures à prévoir ) .

Film de Mike NICHOLS , sorti en 1966 , avec Elizabeth Traylor, Richard Burton, George Segal et Sandy Dennis , adapté de la pièce éponyme d'Edward Albee, jouée pour la 1ère fois à Broadway en 1962 .
Liz Taylor y a obtenu le second ( et dernier ) Oscar de sa carrière après celui de" La vénus au vison" en 1961 . Elle n'avait alors que 33 ans, et a dû se vieillir d'une vingtaine d'années pour le rôle .
Sandy Dennis a remporté l'Oscar du meilleur second rôle féminin. R. Burton et G. Segal ont été cités pour les rôles masculins mais ne les ont pas obtenus .
Vu qu'il n'a pas d'autres comédiens dans le film, tout la distribution a donc été nominée !
Le titre vient de la pièce, dans laquelle George chantonne plusieurs fois le "Who's afraid of the big bad wolf" ( Martha aussi dans le film ) tiré du dessin animé court métrage de Disney, "Les 3 petits cochons", sorte de gimmick entre les deux personnages dans leur leur relation amour-haine qui les unit !
Surfeur, Snaky, c2302t et Infrared marquent chacun 4 points pour ce film, et Alamo 1 point .
Sonon, Yannickv et Zardi ne se sont pas manifestés .
Classement final :
1er : Infrared, avec 77 points .
2ème : Surfeur, avec 60 points .
3ème : Snaky, avec 57 points .
4ème : Sonon, avec 39 points .
5ème : c2302t, avec 35 points .
6ème : Yannickv, avec 17 points .
7ème : Alamo, avec 15 points .
8ème : Zardi, avec 4 points .
Je m'attaque à la synthèse N°11 ( Edith et Marcel ) dès que j'en aurai le temps ( entre 4 et 6 heures à prévoir ) .
Barbe-Noire- Messages : 3040
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