Dernier film visionné
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Re: Dernier film visionné
+1 Je suis OK avec le 9/10. Un film extraordinaire (aux deux sens du terme...)
alamo- Messages : 766
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Re: Dernier film visionné
Et maintenant on va où ? (2011) de Nadine Labaki - 8/10

Synopsis : Un petit village du Liban est partagé depuis des années entre chrétiens et musulmans. L’harmonie est préservée grâce à la tolérance et la complicité des femmes. Alors que la guerre éclate à Beyrouth, les hommes voient monter en eux leur esprit belliqueux et absurde. Les femmes qui pleurent depuis trop longtemps de nombreux morts, utilisent tous les stratagèmes possibles pour conserver cette paix au sein du village.
Un film atypique qui choisit de traiter des sujets graves en comédie. Imaginez Don Camillo et Peppone remplacés par les femmes du village et on aura une petite idée de l'esprit de ce métrage. La réalisatrice libanaise croque quelques portraits très drôles avec des scènes musicales réussies et même si on n'est jamais loin de la caricature, on prend plaisir à regarder cette farce qui met à mal le machisme et cette volonté d'en découdre avec celui qui n'est pas de notre camp. La fin du film est une petite merveille d'ingéniosité. Pas sûr que ce film plaise à tout le monde.
C'est le premier film que je vois de cette réalisatrice et je vais essayer de voir son précédent film Caramel.

Synopsis : Un petit village du Liban est partagé depuis des années entre chrétiens et musulmans. L’harmonie est préservée grâce à la tolérance et la complicité des femmes. Alors que la guerre éclate à Beyrouth, les hommes voient monter en eux leur esprit belliqueux et absurde. Les femmes qui pleurent depuis trop longtemps de nombreux morts, utilisent tous les stratagèmes possibles pour conserver cette paix au sein du village.
Un film atypique qui choisit de traiter des sujets graves en comédie. Imaginez Don Camillo et Peppone remplacés par les femmes du village et on aura une petite idée de l'esprit de ce métrage. La réalisatrice libanaise croque quelques portraits très drôles avec des scènes musicales réussies et même si on n'est jamais loin de la caricature, on prend plaisir à regarder cette farce qui met à mal le machisme et cette volonté d'en découdre avec celui qui n'est pas de notre camp. La fin du film est une petite merveille d'ingéniosité. Pas sûr que ce film plaise à tout le monde.
C'est le premier film que je vois de cette réalisatrice et je vais essayer de voir son précédent film Caramel.
zardi- Messages : 1670
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Re: Dernier film visionné
Le thème / Tema (1979) de Gleb Panfilov - 7,5/10

Synopsis : Un écrivain célèbre en mal d’inspiration vient se ressourcer dans une petite bourgade enneigée.
Pas facile de faire un film en URSS. Il a fallu attendre la Perestroïka pour que ce film puisse être projeté car bloqué par la censure pendant huit ans. Surprise ! Il gagne l'ours d'or au festival de Berlin ex aequo avec Platoon probablement une décision politique pour encourager la Glasnost. Non pas que ce soit un mauvais film mais de là à le mettre au niveau du film d'Oliver Stone c'est vraiment exagéré.
Quelle que soit l'image il y a toujours des paroles, des dialogues ou le monologue en voix off du personnage principal (Mikhail Ulyanov) qui, en fait, incarne tous les défauts du système contrairement à la jeune femme (Inna Tchourikova) qui défend des idées de liberté. Un film très pessimiste où il ne semble y avoir aucun espoir dans l'avenir mais qui traduit aussi le profond attachement à la patrie (l'âme russe). Finalement ce n'est pas si étonnant que ça que ce film ait été censuré.

Synopsis : Un écrivain célèbre en mal d’inspiration vient se ressourcer dans une petite bourgade enneigée.
Pas facile de faire un film en URSS. Il a fallu attendre la Perestroïka pour que ce film puisse être projeté car bloqué par la censure pendant huit ans. Surprise ! Il gagne l'ours d'or au festival de Berlin ex aequo avec Platoon probablement une décision politique pour encourager la Glasnost. Non pas que ce soit un mauvais film mais de là à le mettre au niveau du film d'Oliver Stone c'est vraiment exagéré.
Quelle que soit l'image il y a toujours des paroles, des dialogues ou le monologue en voix off du personnage principal (Mikhail Ulyanov) qui, en fait, incarne tous les défauts du système contrairement à la jeune femme (Inna Tchourikova) qui défend des idées de liberté. Un film très pessimiste où il ne semble y avoir aucun espoir dans l'avenir mais qui traduit aussi le profond attachement à la patrie (l'âme russe). Finalement ce n'est pas si étonnant que ça que ce film ait été censuré.
zardi- Messages : 1670
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Re: Dernier film visionné
Boire et déboires / Blind date (1987) de Blake Edwards - 6,5/10

Synopsis : Pour assister à un dîner d’affaires, un jeune cadre sérieux doit absolument être accompagné. Son frère lui trouve une très jolie fille. Le problème : une seule goutte d’alcool la transforme en fofolle prête à toutes les audaces et à tous les scandales…
On est loin des comédies loufoques de Blake Edwards. Bruce Willis et Kim Basinger sont séduisants mais ils n'arrivent pas à la cheville de Peter Sellers. La première demi-heure est plutôt réussie avec Kim Basinger qui est déchaînée mais on se lasse vite des gags à répétition qui s'enchaînent assez mal et qui sont trop lourds. On s'ennuie presque ferme dans la scène du mariage à la fin du film.

Synopsis : Pour assister à un dîner d’affaires, un jeune cadre sérieux doit absolument être accompagné. Son frère lui trouve une très jolie fille. Le problème : une seule goutte d’alcool la transforme en fofolle prête à toutes les audaces et à tous les scandales…
On est loin des comédies loufoques de Blake Edwards. Bruce Willis et Kim Basinger sont séduisants mais ils n'arrivent pas à la cheville de Peter Sellers. La première demi-heure est plutôt réussie avec Kim Basinger qui est déchaînée mais on se lasse vite des gags à répétition qui s'enchaînent assez mal et qui sont trop lourds. On s'ennuie presque ferme dans la scène du mariage à la fin du film.
zardi- Messages : 1670
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Re: Dernier film visionné
L'homme de nulle part / Jubal (1956) de Delmer Daves - 8/10

Synopsis : Jubal Troop est recueilli blessé par un fermier Shep Horgan qui l’engage avec lui. Les charmes de l’inconnu ne laissent pas indifférente la femme de Shep, Mae Horgan. Ce qui rend fou de rage Pinky, l’amant de Mae…
Un beau western complexe qui en fait est un drame psychologique aux accents shakespeariens. Les personnages sont approfondis et bien interprétés. Rod Steiger est excellent dans le rôle du traitre rempli de haine, Ernest Borgnine et Glenn Ford confirment leur réputation. La révélation est Valerie French qui fait une belle composition dans ce rôle de femme fatale. Belle utilisation du scope dans des paysages magnifiques mis en valeur par la musique de David Raksin. A travers les dialogues on retrouve la patte humaniste du réalisateur.

Synopsis : Jubal Troop est recueilli blessé par un fermier Shep Horgan qui l’engage avec lui. Les charmes de l’inconnu ne laissent pas indifférente la femme de Shep, Mae Horgan. Ce qui rend fou de rage Pinky, l’amant de Mae…
Un beau western complexe qui en fait est un drame psychologique aux accents shakespeariens. Les personnages sont approfondis et bien interprétés. Rod Steiger est excellent dans le rôle du traitre rempli de haine, Ernest Borgnine et Glenn Ford confirment leur réputation. La révélation est Valerie French qui fait une belle composition dans ce rôle de femme fatale. Belle utilisation du scope dans des paysages magnifiques mis en valeur par la musique de David Raksin. A travers les dialogues on retrouve la patte humaniste du réalisateur.
zardi- Messages : 1670
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Re: Dernier film visionné
zardi a écrit:Boire et déboires / Blind date (1987) de Blake Edwards - 6,5/10
Synopsis : Pour assister à un dîner d’affaires, un jeune cadre sérieux doit absolument être accompagné. Son frère lui trouve une très jolie fille. Le problème : une seule goutte d’alcool la transforme en fofolle prête à toutes les audaces et à tous les scandales…
On est loin des comédies loufoques de Blake Edwards. Bruce Willis et Kim Basinger sont séduisants mais ils n'arrivent pas à la cheville de Peter Sellers. La première demi-heure est plutôt réussie avec Kim Basinger qui est déchaînée mais on se lasse vite des gags à répétition qui s'enchaînent assez mal et qui sont trop lourds. On s'ennuie presque ferme dans la scène du mariage à la fin du film.
J'avoue que je ne m'en souviens plus trop. Je l'avais loué en vidéo-club sur VHS, bien avant l'arrivée du DVD, mais si l'intrigue m'est passablement sortie de la tête, j'ai souvenir que j'avais trouvé le film très moyen ( Blake Edwards avait déjà perdu la patte, comme Jerry Lewis en fin de carrière








Barbe-Noire- Messages : 3040
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Re: Dernier film visionné
Les démons de la liberté / Brute force (1947) de Jules Dassin - 8/10

Synopsis : La prison de Westgate est sous la coupe du tyrannique gardien-chef, le capitaine Munsey. Le détenu Joe Collins ne rêve que de s’échapper pour rejoindre la femme qu’il aime, qui ignore sa détention. Les détenus, excédés par le sadisme et les brimades de Munsey vont aider Collins dans son entreprise. La révolte gronde…
Un film très dur pour l'époque sur le milieu carcéral. Libéré de la tutelle de Louis B Mayer grâce au producteur Mark Hellinger, Jules Dassin réalise enfin un film personnel d'après un scénario écrit par Richard Brooks. La seule concession qu'il a du faire vient malheureusement alourdir inutilement l'histoire avec quatre flashback où chaque prisonnier revoit la femme à l'origine de son incarcération. L'interprétation est exceptionnelle avec Burt Lancaster (révélé dans le film précédent, Les tueurs) qui impose sa silhouette athlétique et son charisme et Hume Cronyn étonnant de sadisme et de vilenie. Charles Bickford, Sir lancelot ou Jeff Corey brillent dans les seconds rôles. La mise en scène est efficace et met en place un climat qui se dégrade pour aboutir à la révolte finale, spectaculaire et dominée par la composition puissante de Miklós Rózsa. Un film qui aura un impact considérable à sa sortie et provoquera des réformes du système pénitentiaire.

Synopsis : La prison de Westgate est sous la coupe du tyrannique gardien-chef, le capitaine Munsey. Le détenu Joe Collins ne rêve que de s’échapper pour rejoindre la femme qu’il aime, qui ignore sa détention. Les détenus, excédés par le sadisme et les brimades de Munsey vont aider Collins dans son entreprise. La révolte gronde…
Un film très dur pour l'époque sur le milieu carcéral. Libéré de la tutelle de Louis B Mayer grâce au producteur Mark Hellinger, Jules Dassin réalise enfin un film personnel d'après un scénario écrit par Richard Brooks. La seule concession qu'il a du faire vient malheureusement alourdir inutilement l'histoire avec quatre flashback où chaque prisonnier revoit la femme à l'origine de son incarcération. L'interprétation est exceptionnelle avec Burt Lancaster (révélé dans le film précédent, Les tueurs) qui impose sa silhouette athlétique et son charisme et Hume Cronyn étonnant de sadisme et de vilenie. Charles Bickford, Sir lancelot ou Jeff Corey brillent dans les seconds rôles. La mise en scène est efficace et met en place un climat qui se dégrade pour aboutir à la révolte finale, spectaculaire et dominée par la composition puissante de Miklós Rózsa. Un film qui aura un impact considérable à sa sortie et provoquera des réformes du système pénitentiaire.
zardi- Messages : 1670
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Re: Dernier film visionné
moi hier soir > la Mort sera si douce (After dark, my sweet) en Blu-Ray
particulier comme film, mais ce regarde

particulier comme film, mais ce regarde

Re: Dernier film visionné
Mank de David Fincher : 8/10
Voici un film qui ne plaira pas à tout le monde, car Fincher se refuse à faire du sensationnalisme, voire de la grandiloquence, vers lequel le sujet(la genèse de citizen Kane)et le personnage d'Herman Mankievicz dit Mank(un original excellemment joué par Gary Oldman) se dirigeait plus naturellement.
Malgré toutes les qualités artistiques du film(photo magnifique, mise en scène inspirée (pléonasme), galerie de personnages connus et pas forcément flatteur(Louis b. Mayer et Irving Thalberg en prennent pour leur grade, mais bizarrement pas Hearts qui inspira fortement le personnage joué par Welles).
Le film est une plongée dans ce qui deviendra l'âge d'or d'Hollywood, mais par le petit bout de la lorgnette, à travers le regard du Mank, donc décalé, imbibé, et plein de cet humour sarcastique et de dérision qui le caractérisait.
Un film d'une belle intelligence que n'aurait pas renier la famille Mankievicz.
Voici un film qui ne plaira pas à tout le monde, car Fincher se refuse à faire du sensationnalisme, voire de la grandiloquence, vers lequel le sujet(la genèse de citizen Kane)et le personnage d'Herman Mankievicz dit Mank(un original excellemment joué par Gary Oldman) se dirigeait plus naturellement.
Malgré toutes les qualités artistiques du film(photo magnifique, mise en scène inspirée (pléonasme), galerie de personnages connus et pas forcément flatteur(Louis b. Mayer et Irving Thalberg en prennent pour leur grade, mais bizarrement pas Hearts qui inspira fortement le personnage joué par Welles).
Le film est une plongée dans ce qui deviendra l'âge d'or d'Hollywood, mais par le petit bout de la lorgnette, à travers le regard du Mank, donc décalé, imbibé, et plein de cet humour sarcastique et de dérision qui le caractérisait.
Un film d'une belle intelligence que n'aurait pas renier la famille Mankievicz.
c2302t- Messages : 694
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zardi aime ce message
Re: Dernier film visionné
Le médaillon / The locket (1946) de John Brahm - 7/10

Synopsis : A la veille de son mariage avec la ravissante Nancy, le millionnaire John Willis reçoit la visite d’un psychanalyste, le docteur Blair. Celui-ci vient le mettre en garde contre Nancy à qui il a été marié et lui raconte sa vie avec elle… A plusieurs reprises, et ce en présence de Clyde, un peintre lui aussi fiancé et séparé d’avec Nancy dans des circonstances dramatiques, des bijoux avaient bizarrement disparus. Mais la jeune femme est irresponsable car tout simplement atteinte de kleptomanie.
Après le succès de La maison du Dr Edwardes, la psychanalyse est à la mode et ce film en est un parfait exemple. On suit à travers des flashback emboîtés le parcours d'une névrosée qui va semer le drame à travers ses relations. Pas de fausse note dans l'interprétation où brillent Robert Mitchum au début de sa célébrité, Laraine Day et Brian Aherne. Beauté des décors, photographie sophistiquée (Nicholas Musuraca) et mise en scène soignée, mais il manque une réelle tension pour que ce soit un grand film comme les œuvres précédentes du même réalisateur.

Synopsis : A la veille de son mariage avec la ravissante Nancy, le millionnaire John Willis reçoit la visite d’un psychanalyste, le docteur Blair. Celui-ci vient le mettre en garde contre Nancy à qui il a été marié et lui raconte sa vie avec elle… A plusieurs reprises, et ce en présence de Clyde, un peintre lui aussi fiancé et séparé d’avec Nancy dans des circonstances dramatiques, des bijoux avaient bizarrement disparus. Mais la jeune femme est irresponsable car tout simplement atteinte de kleptomanie.
Après le succès de La maison du Dr Edwardes, la psychanalyse est à la mode et ce film en est un parfait exemple. On suit à travers des flashback emboîtés le parcours d'une névrosée qui va semer le drame à travers ses relations. Pas de fausse note dans l'interprétation où brillent Robert Mitchum au début de sa célébrité, Laraine Day et Brian Aherne. Beauté des décors, photographie sophistiquée (Nicholas Musuraca) et mise en scène soignée, mais il manque une réelle tension pour que ce soit un grand film comme les œuvres précédentes du même réalisateur.
zardi- Messages : 1670
Date d'inscription : 07/11/2019
Localisation : 06
Re: Dernier film visionné
hier soir en Blu-Ray et en édition Digibook de chez "Wild Side Video"
Pas accroché du tout au film, un Bronson très moyen et en plus le film à mal vieilli
de plus le film Blu-Ray avec restauration soit disant, mais l'image pas terrible et le son (en version Française) encore moins
juste la packaging Digibook qui sort du lot
aller, mit en vente rapidement
1.5/5 et encore suis brave

Pas accroché du tout au film, un Bronson très moyen et en plus le film à mal vieilli
de plus le film Blu-Ray avec restauration soit disant, mais l'image pas terrible et le son (en version Française) encore moins
juste la packaging Digibook qui sort du lot
aller, mit en vente rapidement
1.5/5 et encore suis brave

Re: Dernier film visionné
L'odeur de la mandarine (2015) de Gilles Legrand - 7/10

Synopsis : Eté 1918. La guerre fait rage pour quelques mois encore, mais pour Charles et Angèle, elle est déjà finie. Lui, officier de cavalerie, y a laissé une jambe. Elle, son infirmière à domicile, vient de perdre au front son grand amour, le père de sa petite fille.
Unis par le besoin de se reconstruire, ils nouent une complicité joyeuse qui les ramène à la vie. Sur l’insistance de Charles, Angèle accepte un mariage de raison. Il leur faudra entrer en guerre, contre eux-mêmes et contre l’autre avant d’accepter l’évidence de la passion qui les lie malgré eux…
Le film est porté par deux acteurs magnifiques. Olivier Gourmet, toujours juste, a des accents de J.P. Marielle dans un rôle pas facile à assumer et Georgia Scalliet, rayonnante de naturel et de vivacité, est une belle découverte. La photo de Yves Angelo exploite au mieux les scènes d'extérieur. Le scénario est bien écrit avec des personnages intéressants et des dialogues plein d'esprit. Cela devrait donner un film passionnant pourtant on a du mal à s'impliquer peut-être parce qu'il y a un trop grand décalage entre l'époque et les caractères des personnages ou parce que le film est trop démonstratif mais je n'ai pas totalement adhéré.

Synopsis : Eté 1918. La guerre fait rage pour quelques mois encore, mais pour Charles et Angèle, elle est déjà finie. Lui, officier de cavalerie, y a laissé une jambe. Elle, son infirmière à domicile, vient de perdre au front son grand amour, le père de sa petite fille.
Unis par le besoin de se reconstruire, ils nouent une complicité joyeuse qui les ramène à la vie. Sur l’insistance de Charles, Angèle accepte un mariage de raison. Il leur faudra entrer en guerre, contre eux-mêmes et contre l’autre avant d’accepter l’évidence de la passion qui les lie malgré eux…
Le film est porté par deux acteurs magnifiques. Olivier Gourmet, toujours juste, a des accents de J.P. Marielle dans un rôle pas facile à assumer et Georgia Scalliet, rayonnante de naturel et de vivacité, est une belle découverte. La photo de Yves Angelo exploite au mieux les scènes d'extérieur. Le scénario est bien écrit avec des personnages intéressants et des dialogues plein d'esprit. Cela devrait donner un film passionnant pourtant on a du mal à s'impliquer peut-être parce qu'il y a un trop grand décalage entre l'époque et les caractères des personnages ou parce que le film est trop démonstratif mais je n'ai pas totalement adhéré.
Dernière édition par zardi le Jeu 15 Juil - 21:21, édité 1 fois
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