Dernier film visionné
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Re: Dernier film visionné
J'avais découvert ce film par hasard grace à une bande annonce sur le blu-ray d'un autre film, et je l'ai vraiment apprécié ((8,5/10). Du coup, je l'avais quizzé sur le forum de dvdpascher peu avant que ce site n'annonce sa fermeture à venir (toujours à venir, d'ailleurs...zardi a écrit:L'odeur de la mandarine (2015) de Gilles Legrand - 7/10

J'avais écrit à l'époque "Romance improbable entre deux êtres blessés par la vie et qui se rapprochent à la fois par nécessité et aussi par leur amour des chevaux. Le film vaut par un scénario très féministe et par l'interprétation lumineuse de Giorgia Scalliet, une sociétaire de la Comédie Française qui fait des débuts remarquables au cinéma."
surfeur51- Messages : 1821
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Re: Dernier film visionné
La nef des fous (1965) de Stanley Kramer - 8/10

Synopsis : En 1933, un paquebot allemand quitte le port de Veracruz pour gagner l'Europe et débarquer à Brême. Durant la traversée, passagers et équipage, de classes sociales très différentes, apprennent à se connaître et sympathisent alors qu'en Europe des troubles annoncent la Seconde Guerre mondiale.
Stanley Kramer organise un vrai jeu de massacre. Même si le trait est parfois un peu lourd et les personnages caricaturaux, la satire de la société représentée par ce microcosme présent pendant la traversée fait mouche grâce à des dialogues et des répliques drôles et inventifs. Presque tous les personnages sont à la fois attachants et horripilants mais tous sont bien écrits.
Dans un casting prestigieux, Simone Signoret et Vivien Leigh (dans son dernier rôle) font des compositions mémorables. Pour moi un film très réussi.

Synopsis : En 1933, un paquebot allemand quitte le port de Veracruz pour gagner l'Europe et débarquer à Brême. Durant la traversée, passagers et équipage, de classes sociales très différentes, apprennent à se connaître et sympathisent alors qu'en Europe des troubles annoncent la Seconde Guerre mondiale.
Stanley Kramer organise un vrai jeu de massacre. Même si le trait est parfois un peu lourd et les personnages caricaturaux, la satire de la société représentée par ce microcosme présent pendant la traversée fait mouche grâce à des dialogues et des répliques drôles et inventifs. Presque tous les personnages sont à la fois attachants et horripilants mais tous sont bien écrits.
Dans un casting prestigieux, Simone Signoret et Vivien Leigh (dans son dernier rôle) font des compositions mémorables. Pour moi un film très réussi.
zardi- Messages : 1670
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Re: Dernier film visionné
La maison dans l'ombre / On dangerous ground (1951) de Nicholas Ray - 7,5/10

Synopsis : Après un interrogatoire musclé, un flic violent est envoyé dans le Nord pour se rafraîchir les idées et pour mener l’enquête sur un meurtre. Il rencontre Mary et tombe amoureux d’elle. Mais il s’avère que la fille est la soeur du principal suspect du crime…
Ce film est singulier car il est divisé en deux parties totalement distinctes.
La première demi-heure nous montre le travail de policiers dans une grande ville. Les scènes, nocturnes pour la plupart, sont filmées avec beaucoup de réalisme et préfigurent des films comme Dirty Harry et même Taxi driver. On suit en particulier un flic, Jim Wilson, écoeuré par la société, et qui n'hésite pas à employer des méthodes musclées et répréhensibles pour arrêter des malfaiteurs.
La deuxième partie se situe en pleine nature dans des contrées enneigées où une chasse à l'homme est engagée. Plutôt que de privilégier l'action le réalisateur s'attache à étudier l'évolution du caractère du policier qui est bouleversé par sa rencontre avec une jeune aveugle et qui va tomber sous son charme.
Le charismatique Robert Ryan donne beaucoup de force à son personnage aussi bien dans sa violence que dans sa métamorphose. La belle Ida Lupino est très convaincante en aveugle avec un jeu tout en finesse et retenue.
La musique de Bernard Herrmann accompagne magistralement les scènes de poursuite et donne plus de densité aux échanges entre les deux personnages principaux.
Malgré quelques incohérences scénaristiques (en particulier pour le personnage interprété par Ward Bond) et un happy end réussi mais qui est parachuté (10 minutes de la fin du film ont été coupées par la production), ce film annonce de belle manière les futurs succès de Nicholas Ray.

Synopsis : Après un interrogatoire musclé, un flic violent est envoyé dans le Nord pour se rafraîchir les idées et pour mener l’enquête sur un meurtre. Il rencontre Mary et tombe amoureux d’elle. Mais il s’avère que la fille est la soeur du principal suspect du crime…
Ce film est singulier car il est divisé en deux parties totalement distinctes.
La première demi-heure nous montre le travail de policiers dans une grande ville. Les scènes, nocturnes pour la plupart, sont filmées avec beaucoup de réalisme et préfigurent des films comme Dirty Harry et même Taxi driver. On suit en particulier un flic, Jim Wilson, écoeuré par la société, et qui n'hésite pas à employer des méthodes musclées et répréhensibles pour arrêter des malfaiteurs.
La deuxième partie se situe en pleine nature dans des contrées enneigées où une chasse à l'homme est engagée. Plutôt que de privilégier l'action le réalisateur s'attache à étudier l'évolution du caractère du policier qui est bouleversé par sa rencontre avec une jeune aveugle et qui va tomber sous son charme.
Le charismatique Robert Ryan donne beaucoup de force à son personnage aussi bien dans sa violence que dans sa métamorphose. La belle Ida Lupino est très convaincante en aveugle avec un jeu tout en finesse et retenue.
La musique de Bernard Herrmann accompagne magistralement les scènes de poursuite et donne plus de densité aux échanges entre les deux personnages principaux.
Malgré quelques incohérences scénaristiques (en particulier pour le personnage interprété par Ward Bond) et un happy end réussi mais qui est parachuté (10 minutes de la fin du film ont été coupées par la production), ce film annonce de belle manière les futurs succès de Nicholas Ray.
zardi- Messages : 1670
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Re: Dernier film visionné
hier soir, début de la trilogie des 5 films "Un justicier dans le ville"
Le premier, vraiment bien et aussi à bien vieillie, revue avec plaisir

par contre les suite, j'ai peur que les films ce dégrade petit à petit.
aussi pour cette édition Blu-Ray "SIDONIS" un bon point pour les bonus
Le premier, vraiment bien et aussi à bien vieillie, revue avec plaisir

par contre les suite, j'ai peur que les films ce dégrade petit à petit.
aussi pour cette édition Blu-Ray "SIDONIS" un bon point pour les bonus
Présentation du film par François Guérif (23’16)
Documentaire sur Charles Bronson (39’,42 VOST)
Bande-annonce originale (2’22)
Bande-annonce de la Collection (6'37)
Re: Dernier film visionné
l'andalous a écrit:Hier soir, début de la trilogie des 5 films "Un justicier dans le ville"
Le premier, vraiment bien et aussi à bien vieilli, revu avec plaisir .
Par contre les suites, j'ai peur que les films se dégradent petit à petit.
Le 1er est excellent, et le 2 tient encore très bien la route. Le suivant



Bon, avec Mémé et Yoyo comme on les appelait alors ( Ménahem Golam et Yoram Globus, les patrons de la Cannon, la société de prod ) il fallait impérativement donner dans la surenchère


Je pense par contre que les 4 et 5 sont carrément à oublier !
A part çà, il faudra que tu m'expliques la notion de TRILOGIE ................ à 5 films



Barbe-Noire- Messages : 3023
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Re: Dernier film visionné
oui, vu le 2 hier dans l'aprem et , oui ce laisse regarder encore, mais violent avec des scènes de viol choquante, la censure s'en ai donner à plein cœur , ya qu'a voir les bonus
et hier soir le 3, en effet ça "canarde" dans tout les sens, ont ce croirait dans un film de guerre, ça devient n'importe quoi
aujourd'hui les 2 derniers, mais j'ai peur du résultat
Contre les critiques du film: Un justicier dans la vile 2, zéro tolérance, censure et autres critiques (58’, VOST)
et hier soir le 3, en effet ça "canarde" dans tout les sens, ont ce croirait dans un film de guerre, ça devient n'importe quoi
aujourd'hui les 2 derniers, mais j'ai peur du résultat
Re: Dernier film visionné
Braquage à l'italienne / The italian job (2003) de F. Gary Gray - 5/10

Synopsis : Le plan audacieux et sans défaut, le braquage exécuté de main de maître, la fuite à travers les canaux de Venise nette et sans bavure… Mais la bande hébergeait à son insu un traître : Steve Frezelli abattit froidement son mentor et s’enfuit avec les lingots. Le hold-up du siècle s’achevait dans le sang. Quelques mois plus tard, Charlie retrouve la piste de Frezelli en Californie et persuade Stella, la fille de Bridger, de venger avec lui la mort de son père…
C'est bien filmé, avec un casting énorme mais cela ressemble plus à un film publicitaire pour des voitures mini qu'à un film de braquage. L'humour de pacotille ne fait même pas sourire, le suspense est au vestiaire et aucun poncif n'est épargné. Je préfère de loin l'original.

Synopsis : Le plan audacieux et sans défaut, le braquage exécuté de main de maître, la fuite à travers les canaux de Venise nette et sans bavure… Mais la bande hébergeait à son insu un traître : Steve Frezelli abattit froidement son mentor et s’enfuit avec les lingots. Le hold-up du siècle s’achevait dans le sang. Quelques mois plus tard, Charlie retrouve la piste de Frezelli en Californie et persuade Stella, la fille de Bridger, de venger avec lui la mort de son père…
C'est bien filmé, avec un casting énorme mais cela ressemble plus à un film publicitaire pour des voitures mini qu'à un film de braquage. L'humour de pacotille ne fait même pas sourire, le suspense est au vestiaire et aucun poncif n'est épargné. Je préfère de loin l'original.
zardi- Messages : 1670
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Re: Dernier film visionné
L'étrange incident / The Oxbow incident (1943) de William Wellman - 8/10

Synopsis : 1885, Nevada. Un fermier de la région, Kinkaid, aurait été assassiné, et son bétail volé. En l’absence du shérif mais commandée par son adjoint, une troupe de cow-boys, des brutes épaisses, organise une chasse à l’homme pour retrouver l’assassin. Un vieillard, un Mexicain et un jeune homme sont accusés. Quelques citoyens s’élèvent contre cette arrestation aussi illégale qu’arbitraire…
Un curieux western où il n'y a pas d'action et qui ressemble à une pièce de théâtre si on excepte les séquences de début et de fin. Le sujet traité est le lynchage de trois hommes innocents. D'autres films sur ce thème avaient déjà été produits, en particulier Fury de Fritz Lang mais ce qui est particulier ici c'est que le drame a lieu alors que les lyncheurs ne sont plus surexcités comme au début du film et qu'il y a même un vote pour savoir si la majorité veut ou non l'exécution ce qui fait penser un peu à 12 hommes en colère avec le même protagoniste (Henry Fonda) qui prend la défense des accusés. Le réalisateur prend la peine de détailler les personnalités des principaux acteurs de ce drame qui forment un groupe hétéroclite ce qui rend encore plus tragique l'épisode de l'exécution qui se déroule dans un calme sidérant.
La force du film est surtout dans la scène finale où Henry Fonda lit la lettre écrite par l'un des lynchés avant sa mort devant les bourreaux qui sont submergés par la culpabilité. Un film très fort sans effets tapageurs marqué par les interprétations de Henry Fonda, Dana Andrews et Anthony Quinn.
A noter pour la petite histoire que Darryl F. Zannuck avait donné carte blanche à Wellman, passionné par le sujet, tout en sachant que ce film serait un flop financier. Les producteurs avaient plus de courage à l'époque que de nos jopurs.

Synopsis : 1885, Nevada. Un fermier de la région, Kinkaid, aurait été assassiné, et son bétail volé. En l’absence du shérif mais commandée par son adjoint, une troupe de cow-boys, des brutes épaisses, organise une chasse à l’homme pour retrouver l’assassin. Un vieillard, un Mexicain et un jeune homme sont accusés. Quelques citoyens s’élèvent contre cette arrestation aussi illégale qu’arbitraire…
Un curieux western où il n'y a pas d'action et qui ressemble à une pièce de théâtre si on excepte les séquences de début et de fin. Le sujet traité est le lynchage de trois hommes innocents. D'autres films sur ce thème avaient déjà été produits, en particulier Fury de Fritz Lang mais ce qui est particulier ici c'est que le drame a lieu alors que les lyncheurs ne sont plus surexcités comme au début du film et qu'il y a même un vote pour savoir si la majorité veut ou non l'exécution ce qui fait penser un peu à 12 hommes en colère avec le même protagoniste (Henry Fonda) qui prend la défense des accusés. Le réalisateur prend la peine de détailler les personnalités des principaux acteurs de ce drame qui forment un groupe hétéroclite ce qui rend encore plus tragique l'épisode de l'exécution qui se déroule dans un calme sidérant.
La force du film est surtout dans la scène finale où Henry Fonda lit la lettre écrite par l'un des lynchés avant sa mort devant les bourreaux qui sont submergés par la culpabilité. Un film très fort sans effets tapageurs marqué par les interprétations de Henry Fonda, Dana Andrews et Anthony Quinn.
A noter pour la petite histoire que Darryl F. Zannuck avait donné carte blanche à Wellman, passionné par le sujet, tout en sachant que ce film serait un flop financier. Les producteurs avaient plus de courage à l'époque que de nos jopurs.
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Re: Dernier film visionné
et voilà, hier soir le "4"
Bien moins violent et surtout moins de "viols" que surtout le 2
bon ce laisse regarder
maintenant me reste le "5"
Bien moins violent et surtout moins de "viols" que surtout le 2
bon ce laisse regarder
maintenant me reste le "5"
Re: Dernier film visionné
Un enfant de Calabre / Un ragazzo di Calabria (1987) de Luigi Comencini - 7,5/10 (vu sur ciné+)

1960. À la veille des Jeux de Rome, Mimì, un garçon de Calabre, épris de course à pied, grand admirateur du marathonien éthiopien Abebe Bikila, s'entraîne pour les futurs Jeux de la Jeunesse à Rome. Il se heurte à l'hostilité de son père, soucieux de sa scolarité. Il bénéficie, pourtant, du soutien d'un vieux conducteur d'autocar, Felice, qui a su détecter en lui l'étoffe d'un champion...
Un des derniers films du cinéaste italien qui revient à un de ses thèmes de prédilection, l'enfance. Pendant tout le métrage on suit un garçon, Mimi, confondant de naturel, qui court pieds-nus d'abord dans la nature puis à travers les villages et enfin sur la piste d'athlétisme.
Le sujet de ce mélodrame est bâti sur la vision de l'avenir de Mimi à travers les prismes incarnés par 4 personnages. Son père, paysan exploité, qui ne voit que l'école et le travail comme moyen de réussite. Son oncle, parrain mafieux pour qui l'obéissance aveugle et les combines sont privilégiées. Le conducteur de car Felice, marxiste convaincu et entraineur d'occasion, merveilleusement interprété par Gian Maria Volonte qui veut que Mimi accomplisse ses rêves. Sa mère complice de Felice qui n'hésite pas à braver son mari pour défendre son fils (composition sobre et réussie de Thérèse Liotard).
Une fable faite avec peu de moyens mais très bien construite et émouvante.

1960. À la veille des Jeux de Rome, Mimì, un garçon de Calabre, épris de course à pied, grand admirateur du marathonien éthiopien Abebe Bikila, s'entraîne pour les futurs Jeux de la Jeunesse à Rome. Il se heurte à l'hostilité de son père, soucieux de sa scolarité. Il bénéficie, pourtant, du soutien d'un vieux conducteur d'autocar, Felice, qui a su détecter en lui l'étoffe d'un champion...
Un des derniers films du cinéaste italien qui revient à un de ses thèmes de prédilection, l'enfance. Pendant tout le métrage on suit un garçon, Mimi, confondant de naturel, qui court pieds-nus d'abord dans la nature puis à travers les villages et enfin sur la piste d'athlétisme.
Le sujet de ce mélodrame est bâti sur la vision de l'avenir de Mimi à travers les prismes incarnés par 4 personnages. Son père, paysan exploité, qui ne voit que l'école et le travail comme moyen de réussite. Son oncle, parrain mafieux pour qui l'obéissance aveugle et les combines sont privilégiées. Le conducteur de car Felice, marxiste convaincu et entraineur d'occasion, merveilleusement interprété par Gian Maria Volonte qui veut que Mimi accomplisse ses rêves. Sa mère complice de Felice qui n'hésite pas à braver son mari pour défendre son fils (composition sobre et réussie de Thérèse Liotard).
Une fable faite avec peu de moyens mais très bien construite et émouvante.
zardi- Messages : 1670
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Re: Dernier film visionné
Adorable Julia / Being Julia (2005) de István Szabó - 7,5/10

Synopsis : Le monde du théâtre à Londres dans les années 30. Julia est une actrice célèbre depuis de longues années. La concurrence de la nouvelle génération grandit. Quand une jeune actrice menace sérieusement la vie qu’elle s’est construite, Julia devra montrer au monde qu’elle reste la star…
Une adaptation du roman "La comédienne" de Somerset Maugham. La mise en scène est très classique avec une belle photographie surexposée qui rend bien le faste de l'Angleterre de l'entre-deux-guerres. Le film repose sur les épaules de la formidable Annette Bening. Tour à tour triomphante, amoureuse, jalouse, cruelle, elle ne laisse que des miettes aux autres protagonistes qui, pourtant, ne déméritent pas (Jeremy Irons, Michael Gambon, Juliet Stevenson). L'histoire est presque anecdotique et n'est pas sans rappeler celle d'Eve avec un final qui serait jubilatoire s'il n'y avait la dernière image qui comme dans La vipère montre une femme qui a triomphé mais qui est enfermée dans sa solitude.

Synopsis : Le monde du théâtre à Londres dans les années 30. Julia est une actrice célèbre depuis de longues années. La concurrence de la nouvelle génération grandit. Quand une jeune actrice menace sérieusement la vie qu’elle s’est construite, Julia devra montrer au monde qu’elle reste la star…
Une adaptation du roman "La comédienne" de Somerset Maugham. La mise en scène est très classique avec une belle photographie surexposée qui rend bien le faste de l'Angleterre de l'entre-deux-guerres. Le film repose sur les épaules de la formidable Annette Bening. Tour à tour triomphante, amoureuse, jalouse, cruelle, elle ne laisse que des miettes aux autres protagonistes qui, pourtant, ne déméritent pas (Jeremy Irons, Michael Gambon, Juliet Stevenson). L'histoire est presque anecdotique et n'est pas sans rappeler celle d'Eve avec un final qui serait jubilatoire s'il n'y avait la dernière image qui comme dans La vipère montre une femme qui a triomphé mais qui est enfermée dans sa solitude.
zardi- Messages : 1670
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Re: Dernier film visionné
et voilà, terminé le 5 tout juste
Bon, 1H32, ça ce regarde au moins une fois, le seul avec aucun viol
après la lute des dealeurs, c'est le milieux de la mode qui va morfler
Maintenant, faut voir la sortie du 6 en octobre
Bon, 1H32, ça ce regarde au moins une fois, le seul avec aucun viol

après la lute des dealeurs, c'est le milieux de la mode qui va morfler
Maintenant, faut voir la sortie du 6 en octobre
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