Quizz cinéma

Bravo pour tes synthèses Barbe-Noire.
J'ai particulièrement apprécié le paragraphe sur Billy Wilder qui est le metteur en scène que je préfère (il n'a à mon avis pas fait un seul mauvais film). Mais c'était avant tout un des meilleurs scénaristes (les hommes le dimanche, La baronne de minuit, Ninotchka, Boule de feu...). Son association avec Charles Brackett a donné des chefs-d'œuvre. Il a toujours essayé de garder son indépendance par rapport aux producteurs et n'a pas hésité à prendre des risques en jetant des coups de pied dans la fourmilière (Boulevard du crépuscule, Stalag 17, Le gouffre aux chimères...)

Merci beaucoup pour tes compliments, que j'apprécie infiniment ! 
La synthèse de "Spéciale Première" est complètement terminée, page précédente ! Bonne lecture à qui le voudra !

J'ai corrigé toute les petites scories de la synthèse de "Spéciale première" : fautes de frappe, de syntaxe, d'orthographe, imprécisions, tournures alambiquées   ........ jusqu'à obtenir la mouture définitive, enfin je crois !
Du coup, je vais pouvoir m'attaquer à la dernière . Ça devrait se faire sur ce vendredi et ce W.E. , malgré foot et rugby à la télé !!
L'ami Surfeur devrait pouvoir donc attaquer sa série dès lundi   !

Il faut faire attention aux Crampes      

Barbe-Noire a écrit:L'ami Surfeur devrait pouvoir donc attaquer sa série dès lundi   !

Pas de problème, je suis dans les starting-block...

surfeur51 a écrit:

Barbe-Noire a écrit:L'ami Surfeur devrait pouvoir donc attaquer sa série dès lundi   !

Pas de problème, je suis dans les starting-block...

Tu cours le 200 m à ce que je vois ! C'est beau !!!

SYNTHÈSE du Quizz N° 12 : ( titres anglais et français )

                                   
Deux visuels différents, en affiche ou jaquette de DVD , le second n'ayant été que très peu utilisé car sans doute trop révélateur du mystère !

Film de Robert Zemeckis ( la trilogie "Retour vers le futur"    , "A la poursuite du diamant vert", "Forrest Gump", "Le drôle de Noël de Scrooge"    ........... ), réalisé en 1999 et sorti en 2000, avec Harrison Ford et Michelle Pfeiffer,  les deux seuls acteurs du film très connus, aucun des autres n'ayant fortement marqué les esprits au cours de leurs carrières respectives, sauf peut-être quand même James Remar qui présente un actif de plus de 60 rôles, mais sans doute avec bien peu de personnages mémorables ( on y reviendra ) .
Ce film a été globalement bien accueilli par le public : plus de 150 millions $ en Amérique du Nord, pas loin de 300 à l'international, et presque 2 millions d'entrées en France ( où l'on ne compte pas en argent mais en fréquentation-salle ) : certes, nous ne sommes pas dans les mêmes eaux que pour les grands blockbusters, et le réalisateur a fait bien mieux dans sa carrière, mais bon nombre de ses homologues se contenteraient sans problème de tels scores.
Sauf qu'ici, avec la signature "Zemeckis" et les noms de deux méga-stars au casting, tout le monde devient souvent plus exigeant, et surtout les critiques professionnels    !
Car les proses de ces braves gens ont dans l'ensemble été plutôt sévères, reprochant souvent au film un manque d'originalité, voire une certaine bâtardise trop hésitante entre le pur thriller et le fantastique ! Eh oui, ce n'est pas toujours facile d'innover  ! Mais Hitchcock serait-il le seul à avoir eu le droit au suspense ? Et en quoi mélanger les genres serait-il blâmable ? Le "thriller-fantastique" a largement fait ses preuves, avant ou après "Apparences" : d'"Angel Heart" à "Sixième sens", de "L'échine du diable" au "Labyrinthe de Pan" ou des "Yeux de Laura Mars" à "The crow" en passant par bien d'autres dont de nettement plus anciens tels "La féline" ou "Rendez-vous avec la peur" du même Jacques Tourneur ( avec beaucoup moins de moyens ) !
Alors oui sans doute, la surprise n'est probablement pas stupéfiante lors de la révélation finale ( on la sent bien venir ), et la mise en scène de Zemeckis peut parfois, dans la première moitié du film, apparaître comme trop  .... "inspirée"    de celle de Sir Alfred ( on l'a aussi beaucoup reproché à Brian De Palma    ), mais au final, et bien évidemment sans nous avoir donné le "chef d'œuvre du genre" ( ce qui, contrairement à un Kubrick, n'était certainement pas son ambition  ) , son film est bien fichu, tant au niveau de la progression dramatique que de l'esthétique, plaisant à voir et bien interprété ( à aucun moment on ne pourrait avoir l'impression que les acteurs n'y viennent que pour cachetonner ), même si l'on sent qu' Harrison Ford ( ici en contre-emploi ) reste de toute évidence plus à l'aise en Indiana Jones ou en Han Solo qu'en ......... ( no spoiler )    !
A défaut d'être un génie de la mise en scène, R. Zemeckis est un excellent "faiseur" qui sait faire plaisir à son public ( sa filmo le prouve ), même s'il faut tirer certaines ficelles qui ont déjà servi !

Voici deux avis contradictoires piochés sur le web :

Sur "Ecran large" :

Un hommage reste un hommage, et au-delà de vouloir comparer frontalement Robert Zemeckis à Alfred Hitchcock, "Apparences" propose une mise en image classieuse pour un scénario juste passable, voire médiocre. A force d'empiler les stéréotypes du genre et vouloir se jouer des attentes, le film, persuadé d'être plus malin, s'y laisse piéger.
La caméra est moins là pour raconter que pour embellir et saisir la valeur de quelques scènes clés. L'aspect décevant de l'intrigue, qui s'engouffre volontairement dans une impasse sur la première partie du film, peut désarçonner, et le twist final se révèlera si grotesque qu'il reste finalement l'un des éléments les moins mémorables, malgré un Harrison Ford plongé ici dans l'un de ses rares rôles de bad guy.  Même remarque pour la ficelle de la mémoire abîmée de Claire, qui arrange bien le scénario, mais d'une manière hélas artificielle.
Malgré d' indéniables qualités formelles et la sobriété d'une Michelle Pfeiffer qui maintient le cap de l'intrigue, "Apparences" porte trop le poids de ses artifices grossiers, qu'il faudrait reléguer au second plan pour pouvoir mieux apprécier la valeur de l'entreprise au rayon thriller et tendres frissons.

Sur " films-horreur.com " ( sauf - point de vue personnel - que ce Zemeckis n'est pas un film d'horreur    au sens propre du terme  ! )

Que cache l’histoire de ce couple en apparence parfait ?  Une superbe maison au bord d’un lac, Monsieur chercheur à l’université, Madame qui s’occupe de la maison (hum   ) après que sa fille soit partie vivre à l’université, tout peut sembler idéal. Sauf que dès le début, le film sème des failles microscopiques dans ce vernis de perfection, lequel commence doucement à s’écailler !  On les remarque d'ailleurs encore davantage lorsqu’on regarde le film une seconde fois : manipulation et violence sous-jacentes sont en fait perpétuellement présentes .
Injustement conspué lors de sa sortie par la presse (on le sait, le genre a trop rarement les grâces des journalistes),  "Apparences" ne jouit pas vraiment d’une bonne réputation. La faute à un script aux ficelles certes un peu trop grosses, et à quelques rebondissements sans doute trop prévisibles. Mais tout en sachant cela, on prend malgré tout plaisir à suivre l’histoire, même si la surprise n’est pas franchement là. Et ceci, c’est bien grâce au talent de réalisateur de Zemeckis !
Alors oui, on pense obligatoirement à Hitchcock ( notamment à "Fenêtre sur Cour" dans la première partie, et à "Psychose" pour la scène de la baignoire), et d'ailleurs le fait que le personnage d' Harrison Ford porte le même prénom que celui d’Anthony Perkins dans "Psychose" ( Norman ) était certainement superflu ! Mais ce n’est pas là le plus intéressant.
Ce qui est remarquable dans "Apparences", c’est le véritable tour de force de mise en scène effectué par R. Zemeckis : avec une maîtrise excellente, le cinéaste parvient à distiller l’angoisse par une ambiance pesante plutôt que se reposer sur des "jump scares" ( changements brutaux intégrés par surprise dans une image : "bouh, fais-moi peur " )  toujours faciles, et exploite à bon escient le terrain du film de genre pour laisser parler sa créativité. On trouve ainsi des plans très bien maîtrisés ( les contre plongées, les sols transparents lors des affrontements, les très nombreux jeux de miroirs et d’ombres… ), avec une utilisation d’effets spéciaux parfois invisibles qui servent complètement l’intrigue.  Le réalisateur les distille ici pour renforcer le suspense avec une superbe efficacité, utilisant les recoins de la maison avec un brio remarquable.
Loin de chercher le sensationnel à tout pris, le film prend le temps de se poser délicatement pour envoûter le spectateur et l’amener à adopter le point de vue de cette héroïne ordinaire. De chaque plan, la magnifique Michelle Pfeiffer porte tout le film sur ses épaules avec talent et fragilité. Elle incarne à merveille le traumatisme, la mémoire qui doute puis se réveille finalement dans un climax que le film étire volontairement en longueur .
D’une rare fluidité, "Apparences" est une jolie réussite, filmée au cordeau, dont la mise en scène séduit par sa précision.  Malgré effectivement quelques clichés dont on aurait peut-être pu se passer, le film accroche le spectateur jusqu’au bout grâce à des acteurs investis et même certains plans qui frôlent le sublime.

J'ai tendance à penser que beaucoup ici ont vu ce film ( Surfeur en avait même réalisé une loupe sur le quasi-feu Dvdpascher ), et donc j'imagine que fournir trop de détails sur le scénario ne servirait pas à grand chose, surtout que donner dans le spoiler sur une intrigue-mystère nimbée de fantastique ( pour ceux qui ne l'auraient pas vu    ) ne semble pas spécialement opportun ! Nous allons donc nous contenter ici du minimum syndical !
Norman Spencer ( Harrison Ford ) est un scientifique, chercheur et professeur en biologie . Il vit avec Claire, son épouse ( Michelle Pfeiffer ) dans une très belle demeure au bord d'un lac de Nouvelle Angleterre au nord-est des Etats-Unis, dans l'état du Vermont . Comme le stipulent l'affiche et la jaquette ( vie sans histoire, maison de rêve  .......) tout semble aller pour eux dans le meilleur des mondes . Sauf que Claire ( apparemment le prototype idéal de la femme au foyer  ) semble s'ennuyer un peu depuis le départ de leur fille Caitlin pour ses études universitaires, Norman étant lui accaparé par ses recherches dans son laboratoire (photo 1) et par les diverses conférences souvent lointaines que son statut lui impose.
Bientôt, Claire semble percevoir comme une présence dans la maison, qui se manifeste de plus en plus fréquemment, et se persuade qu'une entité cherche à entrer en contact avec elle . Serait-ce sa récente voisine, Mary Feur ( Miranda otto ), qui semble avoir disparu dans la villa juste à côté où seul son mari Warren Feur ( James Remar ) reste visible ?



Claire en parle à Norman, lequel finit par conseiller à sa femme ( qui souffre de troubles de la mémoire suite à un accident ) de consulter un psychiâtre . Mais les phénomènes paranormaux ne s'arrêtent pas et bien au contraire continuent de s'amplifier !

     

Elle décide alors de mener seule sa propre enquête, laquelle, après ses investigations dans le voisinage, va l'amener à rencontrer d'autres personnes ( photo 2, la dame au chat ) .
Et rapidement ses doutes et ses craintes vont trouver leurs glaciales confirmations, allant jusqu'à mettre sa vie en péril !

Malgré la présence de la super-star Harrison Ford, c'est bien ici Michelle Pfeiffer qui porte le film sur ses épaules, assurant une prestation convaincante à l'écran, même si cela ne lui a valu qu'une récompense relativement anonyme  ( Blockbusters entertainment awards   ) .  D'ailleurs, bien que régulièrement et encore à l'affiche depuis maintenant plus de 40 ans ( 1er film en 1980 ), et auréolée d'un nombre respectable de films marquants ( "Scarface" , "Ladyhawke", "Susie et les Bakers-boys", "Le temps de l'innocence", "Wolf , "Dark shadows" ..... ) elle reste une des oubliées des oscars pour lesquels elle n'a pas dépassé le stade de quelques nominations (3) .


Ici avec les frères Bridges ( Jeff et Beau ) dans le seul rôle lui ayant apporté un Gloden Globe, à défaut d'Oscar, dans "Susie et les Baker Boys", en 1990 !

Mais après tout, Harrison Ford, dont la filmo est une des plus extraordinaires de l'Histoire Hollywoodienne en blockbusters ( inutile de détailler je crois ?), est exactement dans la même situation, et même encore moins puisque n'ayant de toute sa carrière obtenu qu'une seule nomination - non consacrée -  pour le "Witness" de Peter Weir :


H. Ford ici avec Kelly McGillis dans "Witness", signé P. Weir , en 1985 .

L'un et l'autre ont été et restent surtout des acteurs hyper-populaires jouissant d'une aura planétaire, starifiés par leurs filmographies ( et leur étoile sur le "walk of Fame"    ), même s'ils ne bénéficient pas pour autant d'une reconnaissance critique et artistique à hauteur de celles d'un Marlon Brando ou d'un Jack Nicholson pour les hommes, ni d'une Katherine Hepburn ou d'une Meryl Streep pour ces dames ! Personnellement, je ne suis pas persuadé que cela les affectent plus que çà   , mais eux-seuls pourraient le dire  !

Le reste du casting est composé de noms qui ne diront peut-être pas grand chose à beaucoup ( sauf être un hyper-cinéphile particulièrement pointu ), comme par exemple Amber Valletta, ex-top model qui a participé à 17 films en 10 ans ( de 2000 à 2010, mais plus rien ensuite ) dont la grande majorité sont plus ou moins déjà oubliés, sauf 2 ou 3 qui sortent un peu du lot ( cet "Apparences" donc, "Prémonitions" avec Sandra Bullock, et "Hitch, expert en séduction" avec Will Smith ), Diana Scarwid ( petits rôles dans "J.F.K." et "Le mystère Silkwood" pour ses plus hauts faits de gloire ) et sans doute un peu plus Miranda Otto surtout connue pour avoir incarné Eowyn dans la saga du "Seigneur des anneaux" ( si Cate Blanchett et Liv Tyler viennent de suite à l'esprit comme personnages féminins dans la trilogie de Peter Jackson, je ne suis pas sûr que le nom de Miranda Otto s'impose avec autant d'évidence   , alors que son visage est sans doute resté dans les mémoires ), mais dont le personnage , Mary Feur, demeure au final  très secondaire dans ce film de Zemeckis ) .


Miranda Otto, alias Eowyn dans "Le seigneur des anneaux" .

Le personnage le plus important en dehors du couple Spencer est incontestablement celui interprété par Amber Valletta, mais il est impossible d'en dire quoi que ce soit sans spoiler l'intrigue .
Outre les deux méga-stars, l'acteur le plus connu est probablement James Remar , à l'écran depuis plus de 40 ans, certes en seconds rôles, mais pour des personnages encore assez marquants, comme dans l'excellent "Warriors" ( Les guerriers de la nuit ) de Walter Hill, le sulfureux "Cruising" ( La chasse ) de William Friedkin, le très second degré "Judge Dredd" avec Stallone, l'amusant "RED" avec Bruce Willis, Helen Mirren, Morgan freeman et John Malkovich, et l'explosif "Django unchained"     ( il y incarne même deux personnages différents    )  du trublion Quentin Tarantino  ( et plus de 65 films en tout ).

   
James Remar jeune dans "Les guerriers de la nuit"..........................................................et nettement plus âgé dans "Django Unchained" .


Les photos et indices :

 - Photo 1 : essai sur une rat, en laboratoire, de la substance paralysante qui va être inhalée par Claire Spencer pour la scène de la photo 3 .
 - Photo 2 : Claire, de dos ( chevelure blonde de M. Pfeiffer ), à droite de l'image , prend des renseignements sur une certaine Madison Frank ( Amber Valletta ) auprès de sa mère ( jouée par une actrice pour moi inconnue, Nicole Mercurio, la dame au chat. ) . En indice, le MP en majuscules pour répondre au lieu du "mp" habituel, parce qu'initiales de Michelle Pfeiffer . Sur une photo 2, il faut encore être plutôt nébuleux   !)
 - Photo 3 : Claire figée sur le sol, paralysée par la produit testé en 1 sur le rat . Je ré-utilise les lettrres M & P en majuscules sans que ça s'impose sur des noms communs ( Moment et Psychologiquement ): il y avait forcément une raison ! Mais à ce stade, difficile encore à trouver pour ceux qui n'auraient pas du tout vu le film .
Pour les autres, la scène me semblait mémoriellement assez marquante pour pouvoir s'en rappeler , mais au final ça n'a pas trop été le cas    !
 - Photo 4 : un des deux moments très forts du film ( avec la scène finale ) , quand l'entité qui cherche à prendre contact avec Claire se manifeste en reflet dans l'eau de la baignoire . Depuis "Psychose", toute scène-choc qui se passe dans une salle de bain semble ramener critiques et internautes au chef d'œuvre d'Hitchcock ( on le lit quasiment partout ), alors que pourtant, les deux scènes sont très différentes . Un lieu précis ne fait pas tout !
Quant au "retour vers le ........ passé", c'est à la fois pour la scène en cours qui n'existe que par le passé des personnages, et bien évidemment pour faire penser à Robert Zemeckis avec ses "Retour vers le futur" . Mais vu que ça n'a pas été suffisant  et que le reflet de M. Pfeiffer dans l'eau n'est pas très reconnaissable pour une photo 4 , comme personne n'avait encore trouvé, j'ai rajouté le "faucon"  ................ de "Ladyhawke" bien sûr !
 - Photo 5 : Harrison Ford et Michelle Pfeiffer en gros plan de face : rien d'autre à signaler !

Rappel du classement définitif de cette série de quizz :

- 1er : Snaky, avec 56 points .
- 2ème : c2302t, avec 44 points .
- 3ème : Surfeur, avec 43 points .
- 4ème : Yannickv, avec 29 points .
- 5ème : Infrared, avec 26 points .
- 6ème : Alamo, avec19 points .
- 7ème : Zardi, avec 18 points .
- 8ème : Hervé PAUL, avec 8 points .

A la lecture des mp, je pensais que Surfeur n'avait pas vu ce film de Zemeckis , ce qui m'avait surpris . Depuis, je suis allé voir, entre autres recherches pour ma synthèse, s'il y avait quelque chose ( critique, loupe, blog ) sur DVDPC, et j'ai trouvé une loupe de ......... Surfeur   ! Visiblement, nous n'avons pas tilté sur les mêmes scènes du film  !!

Ma série étant ainsi complètement bouclée, je lui laisse la place avec grand plaisir, où, goûts et matériel de captures aidant, les dates de réalisation de ses choix seront globalement et très probablement beaucoup plus récents que les miens  !
Merci à vous d'avoir pris le temps de lire mes proses verbeuses, et surtout d'avoir eu la patience d'attendre celles qui ont mis pas mal de temps à venir   !

Barbe-Noire a écrit:A la lecture des mp, je pensais que Surfeur n'avait pas vu ce film de Zemeckis , ce qui m'avait surpris . Depuis, je suis allé voir, entre autres recherches pour ma synthèse, s'il y avait quelque chose ( critique, loupe, blog ) sur DVDPC, et j'ai trouvé une loupe de ......... Surfeur   ! Visiblement, nous n'avons pas tilté sur les mêmes scènes du film  !!

Tu as du lire ma prose un peu vite, car j'ai été très clair il me semble...
"j'ai bien vu ce film, mais même en déroulant la filmo de Pfeiffer, je suis passé deux fois sur ce film sans m'y arrêter, car je ne reconnaissais strictement aucune de tes 4 captures, alors que j'ai de très nombreuses autres scènes en mémoire..."

Barbe-Noire a écrit:Ma série étant ainsi complètement bouclée, je lui laisse la place avec grand plaisir,

Merci pour ton superbe travail   , avec en particulier tes synthèses très documentées    

Je posterai mes images en fin d'après-midi, comme pour mes séries précédentes

Film 1 - Image 1 (9 pts)



Rappel : proposition en mp obligatoire

Je rappelle que les films de cette série ont une caractéristique commune, et il y aura 5 pts au premier qui la découvre, cette partie du jeu se faisant en ligne et non par mp, chaque joueur ne pouvant jouer qu'une fois.

Réponses à côté de Zardi et snaky sur l'image 1.

Film 1 - Image 2 (6 pts)



Rappel : proposition en mp obligatoire

Réponse à côté de Barbe-Noire sur l'image 2.

Film 1 - Image 3 (4 pts)



Rappel : proposition en mp obligatoire

Les plus physionomistes devraient pouvoir reconnaitre le passager de la jeep, un des acteurs les plus talentueux de sa génération, multi-récompensé, réalisateur et producteur à ses heures...

Personne n'a identifié l'acteur de l'image 3, malgré ses deux oscars, et ses prix d'interprétation à Cannes, Venise et Berlin. Il a aussi présidé un jury à Cannes.
Alors on passe à la suite...

Film 1 - Image 4 (2 pts)



Rappel : proposition en mp obligatoire

L'actrice sur cette image a été révélée au monde entier sur une route pittoresque de Los Angeles, dans un rôle sombre et lumineux, alors qu'elle était quasi inconnue...