Dernier film visionné
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Re: Dernier film visionné
Valdez / Valdez is coming (1971) de Edwin Sherin - 7/10

Synopsis : Un éleveur de bétail tue un noir et refuse de payer son enterrement. Valdez, un ancien éclaireur l’exige pour sa veuve. Mais face au refus musclé de l’éleveur, Valdez entend régler ses comptes à sa manière.
Un western tourné en Espagne avec quelques acteurs européens fait par un metteur en scène dont c'est le premier film, on pourrait s'attendre à un western spaghetti mais il n'en est rien. C'est bien un western américain même s'il n'est pas hollywoodien.
Une œuvre qui sort des sentiers battus en embrassant de nombreux thèmes comme le racisme et la justice sociale. Le scénario de Roland Kibbee (Vera Cruz - 3h 10 pour Yuma - Hombre) est centré sur le personnage incarné par Burt Lancaster, un homme de loi usé qui va suive un chemin de croix (au propre comme au figuré) pour obtenir réparation après l'exécution d'un innocent. L'acteur porte le film à bout de bras comme pour la plupart des westerns où il a joué à cette époque (L'homme de la loi - Fureur apache). Susan Clark interprète de manière convaincante un rôle de femme au caractère ambigu, par contre je n'ai pas du tout aimé John Cypher dans le rôle du méchant Alain Tanner.
Le métrage se conclut abruptement sur une fin ouverte un peu bizarre où Tanner abandonné par les siens se retrouve seul face à Valdez.
Un western crépusculaire, caractérisé par un soucis du réalisme, qui annonce des westerns modernes comme Indomptable de Clint Eastwood.
Comme toujours chez Sidonis de bons bonus commentés par Tavernier, Brion et Boisset. A noter un documentaire très complet et bien illustré sur la carrière de Burt Lancaster.

Synopsis : Un éleveur de bétail tue un noir et refuse de payer son enterrement. Valdez, un ancien éclaireur l’exige pour sa veuve. Mais face au refus musclé de l’éleveur, Valdez entend régler ses comptes à sa manière.
Un western tourné en Espagne avec quelques acteurs européens fait par un metteur en scène dont c'est le premier film, on pourrait s'attendre à un western spaghetti mais il n'en est rien. C'est bien un western américain même s'il n'est pas hollywoodien.
Une œuvre qui sort des sentiers battus en embrassant de nombreux thèmes comme le racisme et la justice sociale. Le scénario de Roland Kibbee (Vera Cruz - 3h 10 pour Yuma - Hombre) est centré sur le personnage incarné par Burt Lancaster, un homme de loi usé qui va suive un chemin de croix (au propre comme au figuré) pour obtenir réparation après l'exécution d'un innocent. L'acteur porte le film à bout de bras comme pour la plupart des westerns où il a joué à cette époque (L'homme de la loi - Fureur apache). Susan Clark interprète de manière convaincante un rôle de femme au caractère ambigu, par contre je n'ai pas du tout aimé John Cypher dans le rôle du méchant Alain Tanner.
Le métrage se conclut abruptement sur une fin ouverte un peu bizarre où Tanner abandonné par les siens se retrouve seul face à Valdez.
Un western crépusculaire, caractérisé par un soucis du réalisme, qui annonce des westerns modernes comme Indomptable de Clint Eastwood.
Comme toujours chez Sidonis de bons bonus commentés par Tavernier, Brion et Boisset. A noter un documentaire très complet et bien illustré sur la carrière de Burt Lancaster.
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Re: Dernier film visionné
Adam (2019) de Maryam Touzani - 8/10 (vu sur Ciné+)

Synopsis : Dans la Médina de Casablanca, Abla, veuve et mère d'une fillette de 8 ans, tient un magasin de pâtisseries marocaines. Quand Samia, une jeune femme enceinte frappe à sa porte, Abla est loin d'imaginer que sa vie changera à jamais. Une rencontre fortuite du destin, deux femmes en fuite, et un chemin vers l'essentiel.
Une rencontre entre deux femmes que tout semble opposer. L'une jeune, enceinte et rejetée par la société mais avec une soif de vivre communicative, l'autre plus âgée, veuve, socialement intégrée mais qui n'a pas encore fait son deuil. Chacune à sa manière va profondément modifier le caractère et les choix de l'autre. Plein de sensibilité, ce huis clos est bouleversant et est illuminé par la présence d'une petite fille espiègle de huit ans. Des images avec des gros plans sur des visages chargés d'émotion où les silences et les regards sont plus significatifs que les paroles.
Avec une nostalgie évidente, la réalisatrice reproduit les souvenirs de son enfance en donnant une grande place aux traditions culinaires tout en exposant les problèmes rencontrées par les femmes dans cette société.

Synopsis : Dans la Médina de Casablanca, Abla, veuve et mère d'une fillette de 8 ans, tient un magasin de pâtisseries marocaines. Quand Samia, une jeune femme enceinte frappe à sa porte, Abla est loin d'imaginer que sa vie changera à jamais. Une rencontre fortuite du destin, deux femmes en fuite, et un chemin vers l'essentiel.
Une rencontre entre deux femmes que tout semble opposer. L'une jeune, enceinte et rejetée par la société mais avec une soif de vivre communicative, l'autre plus âgée, veuve, socialement intégrée mais qui n'a pas encore fait son deuil. Chacune à sa manière va profondément modifier le caractère et les choix de l'autre. Plein de sensibilité, ce huis clos est bouleversant et est illuminé par la présence d'une petite fille espiègle de huit ans. Des images avec des gros plans sur des visages chargés d'émotion où les silences et les regards sont plus significatifs que les paroles.
Avec une nostalgie évidente, la réalisatrice reproduit les souvenirs de son enfance en donnant une grande place aux traditions culinaires tout en exposant les problèmes rencontrées par les femmes dans cette société.
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Re: Dernier film visionné
BUNUEL APRES L'AGE D'OR(2019) de Salvador Simó 9/10 (Vu sur ARTE)

Excellent film d'animation documentaire qui retrace le tournage du documentaire TERRE SANS PAIN réalisé par Luis BUNUEL en 1934 .
Ce making of animé dure 1h13 et le film TERRE SANS PAIN est un court métrage de 27 minutes qui raconte la vie dans une région très pauvre d'Espagne .
Je me suis précipité dans ma vidéothèque et le documentaire figure en complément du film LOS OLVIDADOS sur le dvd paru dans la collection CINE CLUB
Je vais donc pouvoir revoir le film et je vais en profiter pour revoir également LOS OLVIDADOS , sans doute un de mes préférés de BUNUEL

Excellent film d'animation documentaire qui retrace le tournage du documentaire TERRE SANS PAIN réalisé par Luis BUNUEL en 1934 .
Ce making of animé dure 1h13 et le film TERRE SANS PAIN est un court métrage de 27 minutes qui raconte la vie dans une région très pauvre d'Espagne .
Je me suis précipité dans ma vidéothèque et le documentaire figure en complément du film LOS OLVIDADOS sur le dvd paru dans la collection CINE CLUB

Je vais donc pouvoir revoir le film et je vais en profiter pour revoir également LOS OLVIDADOS , sans doute un de mes préférés de BUNUEL

HERVE PAUL- Messages : 124
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Re: Dernier film visionné
Je n'ai pas le même dvd mais il y a aussi le même documentaire que j'ai vu il y a très longtemps.
Je ne sais pas si tu l'as vu mais il y a un topic spécial pour les documentaires traitant du cinéma. Docs cinéma
Je ne sais pas si tu l'as vu mais il y a un topic spécial pour les documentaires traitant du cinéma. Docs cinéma
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Re: Dernier film visionné
Que le meilleur l'emporte / The best man (1964) de Franklin J. Schaffner - 7,5/10

Synopsis : L’intellectuel William Russel et le très pragmatique Joe Cantwell sont candidats à la présidence de leur parti, ce qui enverra le vainqueur à la maison Blanche. Si Cantwell est prêt à utiliser tous les moyens à sa disposition, Russel est un homme de principes. L’un et l’autre ont besoin de l’aide du Président, gravement malade. Alors que les enjeux grimpent, jusqu’où chacun sera-t-il prêt à se salir les mains…
Quand Schaffner décide de réaliser ce film il n'est pas encore connu dans le milieu du cinéma bien qu'il se soit fait un nom à la télévision. Il a la chance de travailler sur un excellent scénario écrit par Gore Vidal qui sait de quoi il parle puisqu'il s'est lui même présenté à des élections et a travaillé avec JFK. C'est l'occasion pour le spectateur d'observer une convention d'investiture ici décrite presque comme dans un documentaire.
L'opposition entre les deux candidats incarnés par Henry Fonda et Cliff Robertson est présentée de façon un peu manichéenne puisque l'un est vertueux et l'autre manipulateur et prêt à tous les coups bas. Si l'interprétation des deux acteurs est réussie, assez paradoxalement c'est Lee Tracy qui emporte la palme en représentant un président affaibli par la maladie, mais animé du feu sacré faisant passer l'intérêt de la nation avant toute autre préoccupation.
L'intérêt du film ne faiblit jamais grâce à une mise en scène efficace avec de beaux mouvements de caméra.
Même si elle n'atteint pas la qualité des films à de Preminger (Tempête à Washington) et de Frankenheimer (Sept jours en mai), cette oeuvre est plaisante à regarder et a gardé toute sa modernité.

Synopsis : L’intellectuel William Russel et le très pragmatique Joe Cantwell sont candidats à la présidence de leur parti, ce qui enverra le vainqueur à la maison Blanche. Si Cantwell est prêt à utiliser tous les moyens à sa disposition, Russel est un homme de principes. L’un et l’autre ont besoin de l’aide du Président, gravement malade. Alors que les enjeux grimpent, jusqu’où chacun sera-t-il prêt à se salir les mains…
Quand Schaffner décide de réaliser ce film il n'est pas encore connu dans le milieu du cinéma bien qu'il se soit fait un nom à la télévision. Il a la chance de travailler sur un excellent scénario écrit par Gore Vidal qui sait de quoi il parle puisqu'il s'est lui même présenté à des élections et a travaillé avec JFK. C'est l'occasion pour le spectateur d'observer une convention d'investiture ici décrite presque comme dans un documentaire.
L'opposition entre les deux candidats incarnés par Henry Fonda et Cliff Robertson est présentée de façon un peu manichéenne puisque l'un est vertueux et l'autre manipulateur et prêt à tous les coups bas. Si l'interprétation des deux acteurs est réussie, assez paradoxalement c'est Lee Tracy qui emporte la palme en représentant un président affaibli par la maladie, mais animé du feu sacré faisant passer l'intérêt de la nation avant toute autre préoccupation.
L'intérêt du film ne faiblit jamais grâce à une mise en scène efficace avec de beaux mouvements de caméra.
Même si elle n'atteint pas la qualité des films à de Preminger (Tempête à Washington) et de Frankenheimer (Sept jours en mai), cette oeuvre est plaisante à regarder et a gardé toute sa modernité.
zardi- Messages : 1670
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Re: Dernier film visionné
Jamais entendu parler !
Un Schaffner avec Henry Fonda et Clift Robertson, ça me semble largement digne d'intérêt . Je vais suivre çà ( comme "The lost moment"
) .
Un Schaffner avec Henry Fonda et Clift Robertson, ça me semble largement digne d'intérêt . Je vais suivre çà ( comme "The lost moment"

Barbe-Noire- Messages : 3032
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Re: Dernier film visionné
The crying game (1992) de Neil Jordan - 7,5/10

Synopsis : Jody, soldat britannique enlevé par l’IRA, est surveillé pendant sa détention par Fergus. Malgré leur opposition, une solide amitié va s’installer entre les deux hommes. Jody est tué au cours d’une intervention de l’armée britannique, tandis que Fergus parvient à s’échapper. Caché à Londres, il tente de commencer une autre vie. Mais il ne peut oublier Jody et la promesse qu’il lui a faite de retrouver sa compagne, Dil.
Un film qui peut désarçonner un spectateur tant le scénario est original. La première partie consacrée à une prise d'otage par l'IRA, est assez classique avec des valeurs profondément humanistes et où le duo Stephen Rea - Forest Whitaker fonctionne à merveille. La deuxième partie part dans une toute autre direction après un des plus célèbres twist du cinéma. On a droit à une relation amoureuse très spéciale avec un une atmosphère de film néo noir qui renvoie à celle de Mona Lisa du même réalisateur.
Ce melting-pot de terrorisme, d'amitié, de sexualité et de romance est très déconcertant mais la performance des acteurs et la maîtrise de la mise en scène arrachent l'adhésion pour ce film multirécompensé.

Synopsis : Jody, soldat britannique enlevé par l’IRA, est surveillé pendant sa détention par Fergus. Malgré leur opposition, une solide amitié va s’installer entre les deux hommes. Jody est tué au cours d’une intervention de l’armée britannique, tandis que Fergus parvient à s’échapper. Caché à Londres, il tente de commencer une autre vie. Mais il ne peut oublier Jody et la promesse qu’il lui a faite de retrouver sa compagne, Dil.
Un film qui peut désarçonner un spectateur tant le scénario est original. La première partie consacrée à une prise d'otage par l'IRA, est assez classique avec des valeurs profondément humanistes et où le duo Stephen Rea - Forest Whitaker fonctionne à merveille. La deuxième partie part dans une toute autre direction après un des plus célèbres twist du cinéma. On a droit à une relation amoureuse très spéciale avec un une atmosphère de film néo noir qui renvoie à celle de Mona Lisa du même réalisateur.
Ce melting-pot de terrorisme, d'amitié, de sexualité et de romance est très déconcertant mais la performance des acteurs et la maîtrise de la mise en scène arrachent l'adhésion pour ce film multirécompensé.
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Re: Dernier film visionné
Magic de Richard Attenborough : 8/10
Voici un film étrange, mais très réussi, qui ne sombre jamais dans la grandiloquence vers lequel un tel sujet (la schizophrénie) pourrait l'amener.
C'est grâce à deux choses que ce petit miracle passe sans encombre, la mise en scène du cinéaste qui est au diapason de son sujet, et bien entendu Anthony Hopkins, qui est incroyablement juste dans sa performance.
Le scénario reste sobre, ce qui le rend efficace et amène plusieurs séquences de tensions réussies, car le scénario a rendu les personnages humains avant, avec leurs failles, leur part d'ombre. Et quand la bascule se fait, elle crée une situation naturellement anxiogène (accentué par le jeu des acteurs, Ann Margret en tête).
Le tout est encore amplifié par la musique de Jerry Goldsmith, qui surfe entre des tonalités classiques et d'autres plus étranges (l'harmonica), qui nous fait comprendre la psychologie du personnage, bien mieux que de longs discours.
Voici un film étrange, mais très réussi, qui ne sombre jamais dans la grandiloquence vers lequel un tel sujet (la schizophrénie) pourrait l'amener.
C'est grâce à deux choses que ce petit miracle passe sans encombre, la mise en scène du cinéaste qui est au diapason de son sujet, et bien entendu Anthony Hopkins, qui est incroyablement juste dans sa performance.
Le scénario reste sobre, ce qui le rend efficace et amène plusieurs séquences de tensions réussies, car le scénario a rendu les personnages humains avant, avec leurs failles, leur part d'ombre. Et quand la bascule se fait, elle crée une situation naturellement anxiogène (accentué par le jeu des acteurs, Ann Margret en tête).
Le tout est encore amplifié par la musique de Jerry Goldsmith, qui surfe entre des tonalités classiques et d'autres plus étranges (l'harmonica), qui nous fait comprendre la psychologie du personnage, bien mieux que de longs discours.
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Re: Dernier film visionné
Chair de poule (1963) de Julien Duvivier - 7,5/10

Synopsis : Après un cambriolage qui a mal tourné, Daniel Boisset est condamné pour meurtre à la place de son complice. Peu de temps avant d’être incarcéré, il parvient à s’évader et trouve refuge chez un garagiste. Mais la femme de ce dernier le reconnaît, et, en contrepartie de son silence, le pousse à percer le coffre-fort de son mari qu’elle n’a épousé que pour son « magot »…
Quand on découvre ce film on pense immédiatement au facteur sonne toujours deux fois de James M.Cain et plus particulièrement au film de Pierre Chenal, Le dernier tournant alors qu'en fait c'est une adaptation d'un roman de James H. Chase. L'erreur est compréhensible puisque ce dernier fut condamné pour plagiat.
Tourné vers la fin de sa carrière alors que les requins de la nouvelle vague l'avaient démoli, Julien Duvivier nous offre un beau thriller avec de nombreux rebondissements et comme à son habitude des personnages d'une noirceur absolue. Les dialogues de Barjavel sonnent juste et la musique de Georges Delerue épouse bien le rythme du film.
Côté interprétation, à noter la brève mais formidable composition de Georges Wilson ainsi que celle de Catherine Rouvel dans le rôle d'une garce très sensuelle.
Qu'on ait pu autant dénigrer ce film me sidère tant ses qualités sont évidentes.

Synopsis : Après un cambriolage qui a mal tourné, Daniel Boisset est condamné pour meurtre à la place de son complice. Peu de temps avant d’être incarcéré, il parvient à s’évader et trouve refuge chez un garagiste. Mais la femme de ce dernier le reconnaît, et, en contrepartie de son silence, le pousse à percer le coffre-fort de son mari qu’elle n’a épousé que pour son « magot »…
Quand on découvre ce film on pense immédiatement au facteur sonne toujours deux fois de James M.Cain et plus particulièrement au film de Pierre Chenal, Le dernier tournant alors qu'en fait c'est une adaptation d'un roman de James H. Chase. L'erreur est compréhensible puisque ce dernier fut condamné pour plagiat.
Tourné vers la fin de sa carrière alors que les requins de la nouvelle vague l'avaient démoli, Julien Duvivier nous offre un beau thriller avec de nombreux rebondissements et comme à son habitude des personnages d'une noirceur absolue. Les dialogues de Barjavel sonnent juste et la musique de Georges Delerue épouse bien le rythme du film.
Côté interprétation, à noter la brève mais formidable composition de Georges Wilson ainsi que celle de Catherine Rouvel dans le rôle d'une garce très sensuelle.
Qu'on ait pu autant dénigrer ce film me sidère tant ses qualités sont évidentes.
zardi- Messages : 1670
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Re: Dernier film visionné
La Bataille pour Anzio - 7/10
d'Edward Dmytrik
Le film m'a fait penser à "Les aventures du capitaine Wyath" (sans l'élément féminin)
Car il s'agit pour un groupe de soldat de rejoindre leurs lignes.
Robert Mitchum, correspondant de guerre, est un personnage ambigu refusant d'avoir une arme en pleine guerre ! Mais qui finira par s'y résoudre. Composition de premier plan pour Peter Falk en fou de guerre. En fait de bataille, il n'y en a pas vraiment, à part un carnage au début et quelques explosions à la fin. Paradoxalement, les scènes "à grand spectacle" n'ont pas d'autre intérêt que de camper le décor.
Participation de Robert Ryan anecdotique.
d'Edward Dmytrik
Le film m'a fait penser à "Les aventures du capitaine Wyath" (sans l'élément féminin)

Robert Mitchum, correspondant de guerre, est un personnage ambigu refusant d'avoir une arme en pleine guerre ! Mais qui finira par s'y résoudre. Composition de premier plan pour Peter Falk en fou de guerre. En fait de bataille, il n'y en a pas vraiment, à part un carnage au début et quelques explosions à la fin. Paradoxalement, les scènes "à grand spectacle" n'ont pas d'autre intérêt que de camper le décor.
Participation de Robert Ryan anecdotique.
alamo- Messages : 765
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Re: Dernier film visionné
alamo a écrit:La Bataille pour Anzio - 7/10
d'Edward Dmytrik
Le film m'a fait penser à "Les aventures du capitaine Wyath" (sans l'élément féminin)Car il s'agit pour un groupe de soldat de rejoindre leurs lignes.
Robert Mitchum, correspondant de guerre, est un personnage ambigu refusant d'avoir une arme en pleine guerre ! Mais qui finira par s'y résoudre. Composition de premier plan pour Peter Falk en fou de guerre. En fait de bataille, il n'y en a pas vraiment, à part un carnage au début et quelques explosions à la fin. Paradoxalement, les scènes "à grand spectacle" n'ont pas d'autre intérêt que de camper le décor.
Participation de Robert Ryan anecdotique.
Je me tatais à le prendre chez bluecats, mais finalement je vais attendre un peu, vu ton peu d'enthousiasme.
c2302t- Messages : 693
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