Dernier film visionné
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Re: Dernier film visionné
Stella (2008) de Sylvie Verheyde - 7/10
Synopsis : 1977. Stella entre en sixième, dans un grand lycée parisien. Stella entre dans le monde… Un nouveau monde, à l’opposé de celui qu’elle connaît. Presque un miracle. Elle, elle vit dans un café, un café d’ouvriers, à la frontière de Paris. Cette rentrée va changer sa vie…
Une chronique sur l'enfance à la fois intimiste et réaliste construite à partir d'instantanés qui sentent le vécu. L'univers du bistrot est très bien rendu sur fond de musique des années 70, ainsi que les moments où Stella est en vacance. Par contre les scènes qui se passent au collège sont trop caricaturales.
La voix off apporte un plus même si on peut regretter qu'elle soit parfois inaudible car submergée par la musique ambiante.
Des personnages bien dessinés en particulier les parents de Stella. Le thème de l'ouverture à la culture est bien décrit par petites touches même si on peut s'étonner qu'une gamine s'initie à la lecture avec des livres de Duras ou Cocteau !
Un film sincère plein de fraicheur qui vaut le détour malgré quelques maladresses.
Synopsis : 1977. Stella entre en sixième, dans un grand lycée parisien. Stella entre dans le monde… Un nouveau monde, à l’opposé de celui qu’elle connaît. Presque un miracle. Elle, elle vit dans un café, un café d’ouvriers, à la frontière de Paris. Cette rentrée va changer sa vie…
Une chronique sur l'enfance à la fois intimiste et réaliste construite à partir d'instantanés qui sentent le vécu. L'univers du bistrot est très bien rendu sur fond de musique des années 70, ainsi que les moments où Stella est en vacance. Par contre les scènes qui se passent au collège sont trop caricaturales.
La voix off apporte un plus même si on peut regretter qu'elle soit parfois inaudible car submergée par la musique ambiante.
Des personnages bien dessinés en particulier les parents de Stella. Le thème de l'ouverture à la culture est bien décrit par petites touches même si on peut s'étonner qu'une gamine s'initie à la lecture avec des livres de Duras ou Cocteau !
Un film sincère plein de fraicheur qui vaut le détour malgré quelques maladresses.
zardi- Messages : 1939
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Localisation : 06
Re: Dernier film visionné
hier soir >>> Rue des prairies >>> en édition "Double séances"
bof, pas terrible à mon gout, j'ai pas accroché du tout
2/5
bof, pas terrible à mon gout, j'ai pas accroché du tout
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Re: Dernier film visionné
Tu est difficile 8/10
alamo- Messages : 901
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Localisation : Meudon
Re: Dernier film visionné
Pas un chef-d'œuvre mais j'ai bien aimé.
zardi- Messages : 1939
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Re: Dernier film visionné
Violences à Park Row / Park Row (1952) de Samuel Fuller - 7,5/10
Synopsis : En cette fin du XIXè siècle, Park Row est une rue de New York où naissent presqu’en même temps plusieurs journaux concurrents. Le journaliste Phineas Mitchell rêve de créer son propre journal, le Globe. Le succès est rapide, ce qui lui vaut une haine féroce de certains de ces rivaux. L’affrontement avec les uns et les autres sera de plus en plus violent.
Un film dans lequel Samuel Fuller s'est totalement investi. Avec de faibles moyens, dont ses économies, il recrée cette fameuse rue, Park Row, où étaient concentrés les principaux journaux à la fin du XIXe siècle. On sent à travers les dialogues son amour pour le journalisme mais pas n'importe lequel, celui qui est au service du peuple et non celui qui rapporte de l'argent avec des articles à sensation. Le personnage de Rusty qui a "l'encre dans le sang" est sans doute le plus autobiographique puisque Fuller avait commencé comme lui dès l'âge de 13 ans à vendre des journaux avant de devenir journaliste enquêteur.
Le rythme est soutenu avec quelques morceaux de bravoure comme la scène où il va transformer l'imprimerie pour réaliser son rêve, la création d'un nouveau journal.
Gene Evans qui joue le rôle principal est débordant d'une énergie toute fullérienne ne se laissant jamais abattre par l'adversité. Ses confrontations avec Mary Welch sont assez réussies et ajoutent du piment à l'histoire. A noter quelques personnages savoureux comme ce typographe qui ne sait pas lire ou bien l'autrichien qui invente la lynotype.
Un film de série B que je conseille tant pour son rythme que pour la passion qui anime son réalisateur, témoin le texte qu'il lit lui-même à la fin du métrage.
Synopsis : En cette fin du XIXè siècle, Park Row est une rue de New York où naissent presqu’en même temps plusieurs journaux concurrents. Le journaliste Phineas Mitchell rêve de créer son propre journal, le Globe. Le succès est rapide, ce qui lui vaut une haine féroce de certains de ces rivaux. L’affrontement avec les uns et les autres sera de plus en plus violent.
Un film dans lequel Samuel Fuller s'est totalement investi. Avec de faibles moyens, dont ses économies, il recrée cette fameuse rue, Park Row, où étaient concentrés les principaux journaux à la fin du XIXe siècle. On sent à travers les dialogues son amour pour le journalisme mais pas n'importe lequel, celui qui est au service du peuple et non celui qui rapporte de l'argent avec des articles à sensation. Le personnage de Rusty qui a "l'encre dans le sang" est sans doute le plus autobiographique puisque Fuller avait commencé comme lui dès l'âge de 13 ans à vendre des journaux avant de devenir journaliste enquêteur.
Le rythme est soutenu avec quelques morceaux de bravoure comme la scène où il va transformer l'imprimerie pour réaliser son rêve, la création d'un nouveau journal.
Gene Evans qui joue le rôle principal est débordant d'une énergie toute fullérienne ne se laissant jamais abattre par l'adversité. Ses confrontations avec Mary Welch sont assez réussies et ajoutent du piment à l'histoire. A noter quelques personnages savoureux comme ce typographe qui ne sait pas lire ou bien l'autrichien qui invente la lynotype.
Un film de série B que je conseille tant pour son rythme que pour la passion qui anime son réalisateur, témoin le texte qu'il lit lui-même à la fin du métrage.
zardi- Messages : 1939
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Re: Dernier film visionné
Capitaines courageux / Captains Courageous (1937) de Victor Fleming - 8/10
Synopsis : Choyé pendant sa petite enfance, Harvey Cheyne souffre, adolescent, de l’indifférence de son père, un riche homme d’affaires. Convaincu que réussite rime obligatoirement avec mensonges, tricheries et vociférations, il est mis à la porte de son école. Lors d’un voyage en bateau avec son père, il passe par-dessus bord ; mais un bateau de pêche qui passait par là le sauve miraculeusement d’une mort certaine. L’enfant, trop gâté et habitué à voir tous ses désirs satisfaits, est vite mis à l’écart par les hommes d’équipage. Seul Manuel, un pêcheur portugais, s’occupe de lui. Petit à petit, le garçon succombe à sa bonté…
Ce film d'aventures adapté du roman de Rudyard Kipling fait écho à un autre film, L'île au trésor, du même réalisateur tourné quelques années plus tôt et qui mettait aussi en scène une amitié entre un adulte et un enfant (Wallace Beery et Jackie Cooper). Ici c'est Freddie Bartholomew, grande vedette de l'époque, (il concurrençait Shirley Temple) qui joue le rôle de l'enfant. Trop gâté, on le voit avoir un comportement odieux dans la première partie du film (la moins intéressante). Au contact des rudes pêcheurs et en particulier de Manuel il va acquérir le sens du devoir et devenir responsable. Spencer Tracy, en père de substitution trouve là un de ses plus beaux rôles et sera justement récompensé par un oscar (Quel régal de le voir chanter en jouant de la vielle).
Gràce aux qualités artistiques qui étaient la caractéristique de la MGM, avec Cedric Gibbons pour les décors, on a vraiment l'impression de ce trouver sur un bateau alors que les scènes sont tournées en studio. Les scènes de mer avec des vraies voiliers tournées au large de la Floride sont magnifiques notamment dans la tempête.
Outre les deux vedettes déjà citées, Lionel Barrymore en vieux loup de mer, John Carradine et Charley Grapewin en marins endurcis sont plus vrais que nature. Enfin la belle musique de Franz Waxman renforce les scènes d'action.
Même si ce film était destiné plutôt à un jeune public il garde tout son charme et son pouvoir émotionnel.
Synopsis : Choyé pendant sa petite enfance, Harvey Cheyne souffre, adolescent, de l’indifférence de son père, un riche homme d’affaires. Convaincu que réussite rime obligatoirement avec mensonges, tricheries et vociférations, il est mis à la porte de son école. Lors d’un voyage en bateau avec son père, il passe par-dessus bord ; mais un bateau de pêche qui passait par là le sauve miraculeusement d’une mort certaine. L’enfant, trop gâté et habitué à voir tous ses désirs satisfaits, est vite mis à l’écart par les hommes d’équipage. Seul Manuel, un pêcheur portugais, s’occupe de lui. Petit à petit, le garçon succombe à sa bonté…
Ce film d'aventures adapté du roman de Rudyard Kipling fait écho à un autre film, L'île au trésor, du même réalisateur tourné quelques années plus tôt et qui mettait aussi en scène une amitié entre un adulte et un enfant (Wallace Beery et Jackie Cooper). Ici c'est Freddie Bartholomew, grande vedette de l'époque, (il concurrençait Shirley Temple) qui joue le rôle de l'enfant. Trop gâté, on le voit avoir un comportement odieux dans la première partie du film (la moins intéressante). Au contact des rudes pêcheurs et en particulier de Manuel il va acquérir le sens du devoir et devenir responsable. Spencer Tracy, en père de substitution trouve là un de ses plus beaux rôles et sera justement récompensé par un oscar (Quel régal de le voir chanter en jouant de la vielle).
Gràce aux qualités artistiques qui étaient la caractéristique de la MGM, avec Cedric Gibbons pour les décors, on a vraiment l'impression de ce trouver sur un bateau alors que les scènes sont tournées en studio. Les scènes de mer avec des vraies voiliers tournées au large de la Floride sont magnifiques notamment dans la tempête.
Outre les deux vedettes déjà citées, Lionel Barrymore en vieux loup de mer, John Carradine et Charley Grapewin en marins endurcis sont plus vrais que nature. Enfin la belle musique de Franz Waxman renforce les scènes d'action.
Même si ce film était destiné plutôt à un jeune public il garde tout son charme et son pouvoir émotionnel.
zardi- Messages : 1939
Date d'inscription : 07/11/2019
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Re: Dernier film visionné
hier soir, un bon Pagnol >>> Le Schpountz*** >>> un régal
***"Schpountz" signifie simple d’esprit comme l’on dirait à Marseille un fada
"Schpountz" signifie simple d’esprit comme l’on dirait à Marseille un fada
Scénaristes: Marcel PAGNOL
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Scénaristes: Marcel PAGNOL
Re: Dernier film visionné
Je ne savais pas que Marcel Pagnol bégayait
zardi- Messages : 1939
Date d'inscription : 07/11/2019
Localisation : 06
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Re: Dernier film visionné
zardi a écrit:Je ne savais pas que Marcel Pagnol bégayait
Et en plus il copie-colle ( pas co-picole , ne confondons pas) souvent entre cinefan et dvdpc !
Blague à part, chez Pagnol, un "chpountz" n'est pas un fada, mais un anonyme lambda qui se prend pour une star de cinema, comme le serveur du café qui se prend pour Raimu !
Barbe-Noire- Messages : 3462
Date d'inscription : 07/11/2019
Age : 68
Localisation : Seine et Marne ( et toujours "à la croisée des chemins" )
Re: Dernier film visionné
Blond woman's curse de teruo Ishii : 7,5/10
Voici un film qui mélange les films de samouraïs avec ceux de yakuza, le tout baignant dans une ambiance fantastique, que seuls les japonais savent nous concocter. Si le thème principal est la vengeance, qui préfigure lady snowblood(avec aussi la belle Meiko Kaji), ils brassent plus largement d'autres thèmes que l'on retrouve dans les genres concernés (la droiture, la fidélité à son clan, la traîtrise, la souffrance....) Rien de bien neuf sous le soleil donc, et pourtant le film fonctionne parfaitement, grâce à la mise en scène d'Ishii qui installe des séquences oniriques parfois assez malaisantes, entre des scènes plus classiques. Il ne lésine pas non plus sur la violence graphique qui deviendra un peu la norme à cette époque(la décennie 70). Il apporte un côté psychédélique sur certains plans, qui rappelle le travail de seijun Suzuki.
Si Meki Kaji tient là son premier grand rôle qui fera d'elle une star(elle fera après lady snowblood, la femme scorpion qui feront d'elle une véritable icône), c'est surtout Hoki Toguda qui marque de son empreinte le film, en interprétant une zatoichi féminine, le tout avec un minimalisme transperçant de charisme.
A noter une très belle musique de Harime Kaburaki(que je connaissais pas), et qui mélange musique classique et traditionnelle japonaise, celle ci étant parfois proche de l'experimentale, mais qui donne une force aux séquences fantastiques.
Voici un film qui mélange les films de samouraïs avec ceux de yakuza, le tout baignant dans une ambiance fantastique, que seuls les japonais savent nous concocter. Si le thème principal est la vengeance, qui préfigure lady snowblood(avec aussi la belle Meiko Kaji), ils brassent plus largement d'autres thèmes que l'on retrouve dans les genres concernés (la droiture, la fidélité à son clan, la traîtrise, la souffrance....) Rien de bien neuf sous le soleil donc, et pourtant le film fonctionne parfaitement, grâce à la mise en scène d'Ishii qui installe des séquences oniriques parfois assez malaisantes, entre des scènes plus classiques. Il ne lésine pas non plus sur la violence graphique qui deviendra un peu la norme à cette époque(la décennie 70). Il apporte un côté psychédélique sur certains plans, qui rappelle le travail de seijun Suzuki.
Si Meki Kaji tient là son premier grand rôle qui fera d'elle une star(elle fera après lady snowblood, la femme scorpion qui feront d'elle une véritable icône), c'est surtout Hoki Toguda qui marque de son empreinte le film, en interprétant une zatoichi féminine, le tout avec un minimalisme transperçant de charisme.
A noter une très belle musique de Harime Kaburaki(que je connaissais pas), et qui mélange musique classique et traditionnelle japonaise, celle ci étant parfois proche de l'experimentale, mais qui donne une force aux séquences fantastiques.
c2302t- Messages : 862
Date d'inscription : 10/11/2019
Age : 51
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Re: Dernier film visionné
Je viens de voir le dernier James Bond, film qui a été retardé de plus d'un an pour cause de covid. Contrairement aux films où 007 était incarné par Sean Connery jusqu'à Pierce Brosnan, indépendants les uns des autres, les cinq films avec Daniel Craig ont été tournés comme une vraie saga couvrant toute la carrière de l'espion, de sa première mission "double zéro" jusqu'à sa dernière. Ces cinq épisodes sont liés entre eux par de nombreux éléments scénaristiques et présentent pour la première fois des personnages récurrents qui n'appartiennent pas à l'environnement professionel de Bond, comme le sont Q, M, ou Moneypenny. De fait, "Mourir peut attendre" se trouve être une suite directe de "Spectre" avec, en plus, pour la première fois dans toute l'histoire de ces films, une "James Bond Girl" principale reprenant son personnage du film précédent.
Pour moi, ces cinq films sont, dans leur globalité, les meilleurs de tous les "James Bond", la continuité de l'histoire ajoutant de la valeur à chaque épisode, y compris le moins bon d'entre eux, "Quantum of Solace". "Mourir peut attendre" n'est pas tout à fait au niveau de "Casino Royale", quasi parfait, à cause de quelques longueurs en milieu de film (celui-ci dure 2h43 et aurait peut-être pu être un peu condensé dans cette partie), mais je le situe au même niveau que "Skyfall" et un peu devant "Spectre". J'ai particulièrement apprécié le très long prologue (il dure près d'une demi-heure), et la fin, morceau de bravoure spectaculaire et émouvant, même si certains pourront trouver qu'il se démarque trop du ton habituel de ces films. Par contre, la facture générale est fidèle à toute la série, avec les lieux exotiques, les scènes d'action spectaculaires et les gadgets. Les James Bond Girls suivent la tendance amorcée avec "Casino Royale" avec des rôles de plus en plus déterminants pour l'intrigue, bien loin des potiches en bikini de l'époque Connery-Moore. A souligner les personnages incarnés par Rami Malek (un méchant très réussi), Ana de Armas et Lashana Lynch (en auxiliaires efficaces de Bond), et on retrouve avec plaisir Léa Seydoux (son rôle de Madeleine Swann est encore plus développé que dans "Spectre" et lui procure une place absolument unique dans l'ensemble des films consacrés à 007), Christoph Waltz en Blofeld et Raph Fiennes en M, le scénario multipliant les références aux épisodes précédents. Enfin on notera la musique très réussie de Hans Zimmer, qui œuvre pour la première fois dans un film de la série.
Ma note 9/10
Avant d'aller voir ce dernier épisode au cinéma, j'ai revu dans les jours précédents les quatre films précédents, permettant d'apprécier tous les liens existant entre eux.
Pour mémoire :
Casino Royale 10/10
Dans "Quantum of Solace", on apprend que Le Chiffre et Mr. White travaillaient pour l'organisation Quantum
Quantum of Solace 7/10
Dans "Spectre", on apprend que l'organisation Quantum est une filiale de l'organisation Spectre
Skyfall 9/10
Dans "Spectre", on apprend que Silva travaillait pour l'organisation Spectre
Spectre 8,5:10
surfeur51- Messages : 1953
Date d'inscription : 06/11/2019
Age : 73
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