Dernier film visionné
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Re: Dernier film visionné
L'Histoire officielle / La Historia oficial (1985) de Luis Puenzo - 8/10

Synopsis : 1983, Alicia, professeur d’histoire dans un lycée de Buenos Aires, mène une vie tranquille et bourgeoise avec son mari et la petite Gaby qu’ils ont adoptée. Dans sa vie professionnelle comme dans sa vie privée, elle a toujours accepté « la version officielle » jusqu’au jour où le régime s’effondre. L’énorme mensonge se fissure, et Alicia se met à suspecter que Gaby pourrait être la fille d’un « disparu ». Débute alors un inexorable voyage à la recherche de la vérité, une quête dans laquelle Alicia pourrait bien tout perdre.
Il y a des films qu'on fait parce qu'on éprouve le besoin de soulager sa conscience et le soucis irrépressible de témoigner contre une injustice. C'est le cas de ce film. Quand il s'attaque au projet, Luis Puenzo est loin d'être un opposant à la junte militaire qui règne en Argentine car jusque là il a eu une attitude neutre et a profité du système. C'est le massacre des jeunes gens envoyés dans la guerre des Malouines qui lui ouvre les yeux ainsi que les premières manifestations des mères de la place de Mai. Il décide alors de réaliser un film qui dénonce les excès du pouvoir. Avec l'aide de Aída Bortnik il s'attelle au scénario qu'il mettra plus d'un an à écrire.
En choisissant comme personnage une professeure d'histoire dans un lycée il va pouvoir, à travers la prise de conscience de celle-ci et sa recherche de la vérité, montrer l'atrocité des actes commis par ceux qui sont aux pouvoir, pas seulement les militaires mais aussi les nantis qui les soutiennent.
Le manque de moyens, les pressions subies pendant le tournage l'oblige à travailler presque en clandestin et à utiliser des subterfuges.
Cette œuvre consacrée au festival de Cannes puis à Hollywood (oscar du meilleur film étranger) va, grâce à son retentissement mondial, permettre de réveiller les consciences et de précipiter la chute du pouvoir et aura un impact sur la jeunesse argentine ce qui causera l'éclosion d' une renaissance du cinéma dans ce pays.
Elle présente des défauts mineurs du point de vue esthétique mais est très forte sur le plan émotionnel grâce à la qualité des interprètes principaux (Norma Aleandro, Héctor Alterio et Chuchura Villafañe) ainsi que la spontanéité de la petite fille. On retiendra en particulier la scène où celle qui a été torturée se confie à son amie, le repas de famille où le conflit éclate entre le père et le fils et la scène finale.
Un film qui, à défaut d'être beau, est prenant et très fort.

Synopsis : 1983, Alicia, professeur d’histoire dans un lycée de Buenos Aires, mène une vie tranquille et bourgeoise avec son mari et la petite Gaby qu’ils ont adoptée. Dans sa vie professionnelle comme dans sa vie privée, elle a toujours accepté « la version officielle » jusqu’au jour où le régime s’effondre. L’énorme mensonge se fissure, et Alicia se met à suspecter que Gaby pourrait être la fille d’un « disparu ». Débute alors un inexorable voyage à la recherche de la vérité, une quête dans laquelle Alicia pourrait bien tout perdre.
Il y a des films qu'on fait parce qu'on éprouve le besoin de soulager sa conscience et le soucis irrépressible de témoigner contre une injustice. C'est le cas de ce film. Quand il s'attaque au projet, Luis Puenzo est loin d'être un opposant à la junte militaire qui règne en Argentine car jusque là il a eu une attitude neutre et a profité du système. C'est le massacre des jeunes gens envoyés dans la guerre des Malouines qui lui ouvre les yeux ainsi que les premières manifestations des mères de la place de Mai. Il décide alors de réaliser un film qui dénonce les excès du pouvoir. Avec l'aide de Aída Bortnik il s'attelle au scénario qu'il mettra plus d'un an à écrire.
En choisissant comme personnage une professeure d'histoire dans un lycée il va pouvoir, à travers la prise de conscience de celle-ci et sa recherche de la vérité, montrer l'atrocité des actes commis par ceux qui sont aux pouvoir, pas seulement les militaires mais aussi les nantis qui les soutiennent.
Le manque de moyens, les pressions subies pendant le tournage l'oblige à travailler presque en clandestin et à utiliser des subterfuges.
Cette œuvre consacrée au festival de Cannes puis à Hollywood (oscar du meilleur film étranger) va, grâce à son retentissement mondial, permettre de réveiller les consciences et de précipiter la chute du pouvoir et aura un impact sur la jeunesse argentine ce qui causera l'éclosion d' une renaissance du cinéma dans ce pays.
Elle présente des défauts mineurs du point de vue esthétique mais est très forte sur le plan émotionnel grâce à la qualité des interprètes principaux (Norma Aleandro, Héctor Alterio et Chuchura Villafañe) ainsi que la spontanéité de la petite fille. On retiendra en particulier la scène où celle qui a été torturée se confie à son amie, le repas de famille où le conflit éclate entre le père et le fils et la scène finale.
Un film qui, à défaut d'être beau, est prenant et très fort.
zardi- Messages : 1670
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Re: Dernier film visionné
hier soir >>> Jungle Cruise
100% aventure/action, pas un moment d'ennuis, les 2 heures passe vite
autrement, un film dans la ligné des Pirates Des Caraïbes, Indiana Jones, Adèle Blanc-Sec et la Momie, a voir une fois, mais jusqu'à commandé l'édition "fnac > Edition Spéciale Fnac Steelbook Blu-ray 4K Ultra HD, à: 35€ je sais pas ci le film en vaut le coup

100% aventure/action, pas un moment d'ennuis, les 2 heures passe vite
autrement, un film dans la ligné des Pirates Des Caraïbes, Indiana Jones, Adèle Blanc-Sec et la Momie, a voir une fois, mais jusqu'à commandé l'édition "fnac > Edition Spéciale Fnac Steelbook Blu-ray 4K Ultra HD, à: 35€ je sais pas ci le film en vaut le coup

Re: Dernier film visionné
Photo de film ou de tournage ?
On dirait qu'il pose pour un photographe de mode.
On dirait qu'il pose pour un photographe de mode.

zardi- Messages : 1670
Date d'inscription : 07/11/2019
Localisation : 06
Re: Dernier film visionné
zardi a écrit:Photo de film ou de tournage ?
On dirait qu'il pose pour un photographe de mode.![]()
oui, ce que tu ne vois pas, c'est devant eux ya une caméra qui film, caméra apporté par Emily Blunt
Re: Dernier film visionné
Ariel (1988) de Aki Kaurismäki - 7,5/10

Synopsis : Un Finlandais se rend en ville pour chercher du travail après la fermeture de la mine où il travaillait et le suicide de son père.
Deuxième film de la "trilogie du prolétariat". Une vision désenchantée de son pays où pour se réaliser il faut faire table rase de son passé. On retrouve le cinéma minimaliste du réalisateur finlandais avec ces personnages mutiques suivis par une caméra immobile, ces décors étrangement colorés et ses intermèdes musicaux souvent des chansons ou des airs rock.
Le début du film est impressionnant. En quelques minutes on voit le personnage principal perdre son emploi, perdre son père, se faire voler toute ses économies et partir au volant d'une cadillac décapotable blanche dont il ne sait pas fermer le capot. Noir c'est noir, mais ce n'est pas fini, toute la misère du monde s'abat sur lui un peu comme dans le film Détour de G. Ulmer. Tout cela sans le moindre geste de révolte !
Cette grisaille laisse quand même la place à un humour décalé et à quelques éclaircies comme la rencontre avec Irmeli flanquée de son fils de 7 ans qui semble le plus adulte des trois.
Un film qu'on ne peut apprécier que si on accepte de rentrer dans l'univers si particulier et unique en son genre de Kaurismäki.

Synopsis : Un Finlandais se rend en ville pour chercher du travail après la fermeture de la mine où il travaillait et le suicide de son père.
Deuxième film de la "trilogie du prolétariat". Une vision désenchantée de son pays où pour se réaliser il faut faire table rase de son passé. On retrouve le cinéma minimaliste du réalisateur finlandais avec ces personnages mutiques suivis par une caméra immobile, ces décors étrangement colorés et ses intermèdes musicaux souvent des chansons ou des airs rock.
Le début du film est impressionnant. En quelques minutes on voit le personnage principal perdre son emploi, perdre son père, se faire voler toute ses économies et partir au volant d'une cadillac décapotable blanche dont il ne sait pas fermer le capot. Noir c'est noir, mais ce n'est pas fini, toute la misère du monde s'abat sur lui un peu comme dans le film Détour de G. Ulmer. Tout cela sans le moindre geste de révolte !
Cette grisaille laisse quand même la place à un humour décalé et à quelques éclaircies comme la rencontre avec Irmeli flanquée de son fils de 7 ans qui semble le plus adulte des trois.
Un film qu'on ne peut apprécier que si on accepte de rentrer dans l'univers si particulier et unique en son genre de Kaurismäki.
zardi- Messages : 1670
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Re: Dernier film visionné
La fille aux allumettes / Tulitikkutehtaan tyttö (1990) - 7,5/10

Synopsis : Iris, une jeune fille qui travaille à la fabrique d’allumettes, est exploitée par tous : sa mère, son beau-père au coeur de pierre qui lui vole ses paies, puis plus tard par l’homme que, dans son esprit déformé par des romans à l’eau de rose, elle prend pour un prince charmant. Pourtant, ballotée dans ce monde cruel, Iris n’est pas le genre de fille à se laisser abattre par son destin…
Dernier volet de la trilogie et de loin le plus sombre et le plus désespéré des trois films. Kati Outinen y incarne une jeune femme accablée par son entourage dans un univers déshumanisé où les gens sont d'un égoïsme forcené. Cette Cosette des temps modernes va se révolter et se venger de tous ceux qui ont causé sa déchéance.
Ici pas l'ombre d'une lueur d'espoir, le pessimisme est total et la caméra ne lâche pas le visage ravagé par la tristesse de l'actrice qui engendre parfois une émotion intense chez le spectateur.
Un film d'une noirceur parfois insoutenable qui peut vite décourager un public non averti et peu familiarisé avec le style du réalisateur finlandais.

Synopsis : Iris, une jeune fille qui travaille à la fabrique d’allumettes, est exploitée par tous : sa mère, son beau-père au coeur de pierre qui lui vole ses paies, puis plus tard par l’homme que, dans son esprit déformé par des romans à l’eau de rose, elle prend pour un prince charmant. Pourtant, ballotée dans ce monde cruel, Iris n’est pas le genre de fille à se laisser abattre par son destin…
Dernier volet de la trilogie et de loin le plus sombre et le plus désespéré des trois films. Kati Outinen y incarne une jeune femme accablée par son entourage dans un univers déshumanisé où les gens sont d'un égoïsme forcené. Cette Cosette des temps modernes va se révolter et se venger de tous ceux qui ont causé sa déchéance.
Ici pas l'ombre d'une lueur d'espoir, le pessimisme est total et la caméra ne lâche pas le visage ravagé par la tristesse de l'actrice qui engendre parfois une émotion intense chez le spectateur.
Un film d'une noirceur parfois insoutenable qui peut vite décourager un public non averti et peu familiarisé avec le style du réalisateur finlandais.
zardi- Messages : 1670
Date d'inscription : 07/11/2019
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Re: Dernier film visionné
Normal. Les deux films sont sur le même dvd. Tu aurais pu t'en douter.l'andalous a écrit:les 2 images sont les même![]()

zardi- Messages : 1670
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Re: Dernier film visionné
Despues de Lucia (2012) de Michel Franco - 7/10

Synopsis : Roberto a perdu sa femme, Lucía, dans un accident de voiture. Veuf, il tente avec sa fille, Alejandra, de surmonter son deuil en partant s’installer à Mexico. Alejandra se retrouve seule dans un nouveau lycée. Elle va rapidement devenir la cible des pires humiliations de sa classe qui va la plonger lentement dans un mutisme… Et l’éloigner peu à peu de son père…
J'avoue que j'ai du me forcer pour regarder le film dans sa totalité non pas parce qu'il est mauvais mais parce que les scènes sont psychologiquement insoutenables. Ce n'est pas le premier film que je vois avec de la violence gratuite, Orange mécanique de Stanley Kubrick ou Funny games de Michael Haneke en sont des exemples frappants. Mais ici ce qui est dérangeant c'est qu'il s'agit d'un groupe important de lycéens qui s'acharne d'une manière abjecte aussi bien moralement que physiquement sur une élève sans défense et ceci de manière répétitive et avec une unité parfaite. Pas un qui éprouve le moindre remords ce qui parait incroyable.
La question qui se pose est évidemment sur la démarche du réalisateur. On peut douter que sa motivation soit de dénoncer le harcèlement scolaire car alors la dernière séquence serait inutile. J'ai bien peur que ce soit plus la recherche de la notoriété en voulant choquer le spectateur.
Jusqu'où un artiste peut-il aller en exposant la violence du point de vue moral ? Pour moi la ligne rouge a été franchie. Je voulais voir son premier film Daniel y Ana mais du coup je m'en abstiendrai même si je lui reconnais un talent certain.

Synopsis : Roberto a perdu sa femme, Lucía, dans un accident de voiture. Veuf, il tente avec sa fille, Alejandra, de surmonter son deuil en partant s’installer à Mexico. Alejandra se retrouve seule dans un nouveau lycée. Elle va rapidement devenir la cible des pires humiliations de sa classe qui va la plonger lentement dans un mutisme… Et l’éloigner peu à peu de son père…
J'avoue que j'ai du me forcer pour regarder le film dans sa totalité non pas parce qu'il est mauvais mais parce que les scènes sont psychologiquement insoutenables. Ce n'est pas le premier film que je vois avec de la violence gratuite, Orange mécanique de Stanley Kubrick ou Funny games de Michael Haneke en sont des exemples frappants. Mais ici ce qui est dérangeant c'est qu'il s'agit d'un groupe important de lycéens qui s'acharne d'une manière abjecte aussi bien moralement que physiquement sur une élève sans défense et ceci de manière répétitive et avec une unité parfaite. Pas un qui éprouve le moindre remords ce qui parait incroyable.
La question qui se pose est évidemment sur la démarche du réalisateur. On peut douter que sa motivation soit de dénoncer le harcèlement scolaire car alors la dernière séquence serait inutile. J'ai bien peur que ce soit plus la recherche de la notoriété en voulant choquer le spectateur.
Jusqu'où un artiste peut-il aller en exposant la violence du point de vue moral ? Pour moi la ligne rouge a été franchie. Je voulais voir son premier film Daniel y Ana mais du coup je m'en abstiendrai même si je lui reconnais un talent certain.
zardi- Messages : 1670
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Re: Dernier film visionné
Miele (2013) de Valeria Golino - 7/10

Synopsis : Irène vit seule dans une maison au bord de la mer non loin de Rome. Son père et son amant la croient étudiante. En réalité, sous le nom de code MIELE, elle aide clandestinement des personnes en phase terminale à mourir dignement en leur administrant un barbiturique puissant. Un jour, elle procure une de ces doses mortelles à un nouveau « client », monsieur Grimaldi. Elle découvre qu’il est en parfaite santé mais qu’il veut mettre fin à ses jours, ayant perdu goût à la vie. Bien décidée à ne pas être responsable de ce suicide, elle va tout faire pour l’en empêcher.
Pour son premier film en tant que réalisatrice Valeria Golino s'attaque à un sujet délicat, l'euthanasie, qu'elle traite avec beaucoup de sensibilité.
De belles images et un portrait assez réussi d'une jeune femme rongée par son activité et bien interprétée par l'actrice Jasmine Trinca.
Belle idée que cette amitié avec le professeur (Carlo Cecchi) qui veut mettre fin à ses jours non pas parce qu'il est malade mais parce qu'il est lassé de la vie.
L'actrice de Respiro est bien partie dans sa nouvelle carrière.

Synopsis : Irène vit seule dans une maison au bord de la mer non loin de Rome. Son père et son amant la croient étudiante. En réalité, sous le nom de code MIELE, elle aide clandestinement des personnes en phase terminale à mourir dignement en leur administrant un barbiturique puissant. Un jour, elle procure une de ces doses mortelles à un nouveau « client », monsieur Grimaldi. Elle découvre qu’il est en parfaite santé mais qu’il veut mettre fin à ses jours, ayant perdu goût à la vie. Bien décidée à ne pas être responsable de ce suicide, elle va tout faire pour l’en empêcher.
Pour son premier film en tant que réalisatrice Valeria Golino s'attaque à un sujet délicat, l'euthanasie, qu'elle traite avec beaucoup de sensibilité.
De belles images et un portrait assez réussi d'une jeune femme rongée par son activité et bien interprétée par l'actrice Jasmine Trinca.
Belle idée que cette amitié avec le professeur (Carlo Cecchi) qui veut mettre fin à ses jours non pas parce qu'il est malade mais parce qu'il est lassé de la vie.
L'actrice de Respiro est bien partie dans sa nouvelle carrière.
zardi- Messages : 1670
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Re: Dernier film visionné
revue avec plaisir >>> Mayrig / 588 Rue du Paradis
que du plaisir ses 2 films, très émouvant, et que dire du début de Mayrig avec le génocide des Arméniens, très dur le premier holocauste "officiel" de l'Histoire.
4.9/5
Un film tout simplement magnifique, à revoir ou voir d'urgence

que du plaisir ses 2 films, très émouvant, et que dire du début de Mayrig avec le génocide des Arméniens, très dur le premier holocauste "officiel" de l'Histoire.
4.9/5
Un film tout simplement magnifique, à revoir ou voir d'urgence

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