Dernier film visionné
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Re: Dernier film visionné
Terminator dark fate de Tim Miller : 7,5/10
Voici la vraie suite du Terminator 2 de James Cameron (dans la chronologie en tout cas), et c'est plutôt une bonne surprise vu la volée de bois vert que le film s'est pris(en même temps, je n'en attendais rien).
Ça reste classique dans l'histoire, c'est même presque un remake de second épisode (voir toutes les rappels de Sarah Connor), et les clins d'oeil sont nombreux (histoire de contenter le fan service). Et pourtant j'ai trouvé que cela fonctionnait bien, le film n'est pas avare en scènes d'action, les effets spéciaux sont réussis, et la séquence d'ouverture donne le ton. Alors où le bât blesse-t-il?
D'abord les nouveaux personnages manquent cruellement de charisme (un peu comme la Terminator du 3), et le film ne sort jamais de sa zone de confort, gardant même un humour similaire aux précédents opus.
Ça reste malgré tout un bien meilleur divertissement que ce qu'on a bien voulu dire, et je n'ai pas vu les 2h passées(ce qui est bon signe).
Petite mention à Linda Hamilton qui est toujours aussi badass
Voici la vraie suite du Terminator 2 de James Cameron (dans la chronologie en tout cas), et c'est plutôt une bonne surprise vu la volée de bois vert que le film s'est pris(en même temps, je n'en attendais rien).
Ça reste classique dans l'histoire, c'est même presque un remake de second épisode (voir toutes les rappels de Sarah Connor), et les clins d'oeil sont nombreux (histoire de contenter le fan service). Et pourtant j'ai trouvé que cela fonctionnait bien, le film n'est pas avare en scènes d'action, les effets spéciaux sont réussis, et la séquence d'ouverture donne le ton. Alors où le bât blesse-t-il?
D'abord les nouveaux personnages manquent cruellement de charisme (un peu comme la Terminator du 3), et le film ne sort jamais de sa zone de confort, gardant même un humour similaire aux précédents opus.
Ça reste malgré tout un bien meilleur divertissement que ce qu'on a bien voulu dire, et je n'ai pas vu les 2h passées(ce qui est bon signe).
Petite mention à Linda Hamilton qui est toujours aussi badass
c2302t- Messages : 893
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Re: Dernier film visionné
Quand vient la nuit / The drop (2014) de Michaël R. Roskam - 8/10
Synopsis : Bob Saginowski, barman solitaire, suit d’un regard désabusé le système de blanchissement d’argent, basé sur des bars-dépôts, qui sévit à Brooklyn. Avec son cousin et employeur Marv, Bob se retrouve au centre d’un braquage qui tourne mal. Il est bientôt mêle à une enquête qui va réveiller des drames enfouis du passé…
Après son magistral Bullhead David Roskam nous livre un film néo-noir dans la lignée des films de James Gray. Malgré un scénario minimaliste de Dennis Lehane (Mystic river - Shutter island - Gone baby gone) et un rythme assez lent, il crée une ambiance spéciale dans des intérieurs très colorés et des extérieurs nocturnes et reste fidèle au climat anxiogène du roman. L'attrait du film vient surtout de la qualité de l'interprétation. Tom Hardy tout en retenue, James Gandolfini imposant et haut en couleur, Matthias Shoenaerts inquiétant et explosif, Noomi Rapace traumatisée et apeurée interprètent parfaitement les personnages tourmentés qui font le sel de l'univers du scénariste et sont bien mis en valeur par la photographie de Nicolas Karakatsanis.
Pour son premier film outre atlantique le réalisateur flamand a réussi son pari en imposant une œuvre maîtrisée à travers une histoire rédemptrice dans un univers désenchanté.
Pour les vrais cinéphiles je conseille la vision commentée conjointement par le scénariste et le réalisateur. Ils s'y envoient beaucoup de fleurs mais c'est quand même intéressant en particulier sur les choix esthétiques qui ont été faits.
Synopsis : Bob Saginowski, barman solitaire, suit d’un regard désabusé le système de blanchissement d’argent, basé sur des bars-dépôts, qui sévit à Brooklyn. Avec son cousin et employeur Marv, Bob se retrouve au centre d’un braquage qui tourne mal. Il est bientôt mêle à une enquête qui va réveiller des drames enfouis du passé…
Après son magistral Bullhead David Roskam nous livre un film néo-noir dans la lignée des films de James Gray. Malgré un scénario minimaliste de Dennis Lehane (Mystic river - Shutter island - Gone baby gone) et un rythme assez lent, il crée une ambiance spéciale dans des intérieurs très colorés et des extérieurs nocturnes et reste fidèle au climat anxiogène du roman. L'attrait du film vient surtout de la qualité de l'interprétation. Tom Hardy tout en retenue, James Gandolfini imposant et haut en couleur, Matthias Shoenaerts inquiétant et explosif, Noomi Rapace traumatisée et apeurée interprètent parfaitement les personnages tourmentés qui font le sel de l'univers du scénariste et sont bien mis en valeur par la photographie de Nicolas Karakatsanis.
Pour son premier film outre atlantique le réalisateur flamand a réussi son pari en imposant une œuvre maîtrisée à travers une histoire rédemptrice dans un univers désenchanté.
Pour les vrais cinéphiles je conseille la vision commentée conjointement par le scénariste et le réalisateur. Ils s'y envoient beaucoup de fleurs mais c'est quand même intéressant en particulier sur les choix esthétiques qui ont été faits.
Dernière édition par zardi le Ven 24 Sep - 17:15, édité 1 fois
zardi- Messages : 1977
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Re: Dernier film visionné
hier soir >>> Bac Nord >>> 2020
Violent en image et surtout en langage , à ne pas mettre dans toutes les mains
pour moi film sur-coté, bien fait au niveau des scènes d'action, pour moi pas le film de l'année
et rien sur l'avenir de "l'indic", la pauvre, que va t'elle devenir
Violent en image et surtout en langage , à ne pas mettre dans toutes les mains
pour moi film sur-coté, bien fait au niveau des scènes d'action, pour moi pas le film de l'année
et rien sur l'avenir de "l'indic", la pauvre, que va t'elle devenir
Re: Dernier film visionné
hier soir >>> Manon des sources (1952)
Bien différent, très bavard et avec pas mal de plaisanterie, ont rigole plus que selui de "Berri" , de plus pas mal de remarque en "patois" que les Provençaux comme moi se régale de ses galéjades. Manon apparait bien plus revancharde et que dire de Ugolin toujours aussi pathétique.
A voir et/ou a revoir 4.9/5
Bien différent, très bavard et avec pas mal de plaisanterie, ont rigole plus que selui de "Berri" , de plus pas mal de remarque en "patois" que les Provençaux comme moi se régale de ses galéjades. Manon apparait bien plus revancharde et que dire de Ugolin toujours aussi pathétique.
A voir et/ou a revoir 4.9/5
Re: Dernier film visionné
L'inhumaine (1924) de Marcel L'Herbier - 8/10
Synopsis : Claire Lescot, cantatrice impérieuse et énigmatique, semble mépriser l’humanité. Un jeune admirateur se tue pour elle. Elle chante malgré le drame mais ne peut rester insensible…
Un film à voir non pas pour l'histoire qui y est racontée, ni pour l'interprétation, mais pour son esthétisme et son originalité. Marcel L'Herbier a voulu faire un film expérimental qui combine de nombreux domaines artistiques et a fait appel à des artistes renommés pour y parvenir : Fernand Léger pour les décors, l'architecte Robert Mallet-Stevens pour les bâtiments (la maison de Claire Lescot et le laboratoire de Einar Norsen), Paul Poiret pour les costumes... Même si elle n'atteint pas l'excellence de celle de La roue d'Abel Gance sortie l'année précédente (en particulier pour l'épisode final avec la machine à ressusciter), la mise en scène est inventive et fait appel à des surimpressions, à des très gros plans, à un montage syncopé et utilise des filtres colorés pour certaines scènes ce qui contribue à densifier la tension dramatique. A noter quelques thèmes bien traités comme la rumeur dans le théâtre, un sujet qui pourrait être d'actualité avec la propagation des fakes de nos jours et des textes très stylisés pour les panneaux. Ces qualités en font un objet rare et précieux dans l'univers cinématographique.
Deux versions musicales sont proposées. Pour ma part je n'ai visionné qu'avec celle de Aidje Tafial que j'ai beaucoup appréciée.
Synopsis : Claire Lescot, cantatrice impérieuse et énigmatique, semble mépriser l’humanité. Un jeune admirateur se tue pour elle. Elle chante malgré le drame mais ne peut rester insensible…
Un film à voir non pas pour l'histoire qui y est racontée, ni pour l'interprétation, mais pour son esthétisme et son originalité. Marcel L'Herbier a voulu faire un film expérimental qui combine de nombreux domaines artistiques et a fait appel à des artistes renommés pour y parvenir : Fernand Léger pour les décors, l'architecte Robert Mallet-Stevens pour les bâtiments (la maison de Claire Lescot et le laboratoire de Einar Norsen), Paul Poiret pour les costumes... Même si elle n'atteint pas l'excellence de celle de La roue d'Abel Gance sortie l'année précédente (en particulier pour l'épisode final avec la machine à ressusciter), la mise en scène est inventive et fait appel à des surimpressions, à des très gros plans, à un montage syncopé et utilise des filtres colorés pour certaines scènes ce qui contribue à densifier la tension dramatique. A noter quelques thèmes bien traités comme la rumeur dans le théâtre, un sujet qui pourrait être d'actualité avec la propagation des fakes de nos jours et des textes très stylisés pour les panneaux. Ces qualités en font un objet rare et précieux dans l'univers cinématographique.
Deux versions musicales sont proposées. Pour ma part je n'ai visionné qu'avec celle de Aidje Tafial que j'ai beaucoup appréciée.
zardi- Messages : 1977
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c2302t aime ce message
Re: Dernier film visionné
Moments perdus / The lost moment (1947) de Martin Gabel - 8,5/10
Synopsis : Editeur new-yorkais, Louis Venable souhaite plus que tout au monde acquérir les lettres d’amour de Jeffrey Ashton, un poète disparu de longues années plus tôt, dans des circonstances troubles. Juliana Bordereau, son ancienne muse désormais centenaire, lui en interdit l’accès, il ne se décourage pour autant pas.
Je crois que tout cinéphile rêve lorsqu'il regarde un film inconnu de tomber sur une pépite. C'est ce qu'il m'est arrivé avec ce film. Il démarre presque comme un film noir, vire vers le fantastique avec ce palais vénitien à l'aspect gothique habité par des femmes qui vivent dans le passé et se termine par un drame romantique. C'est l'unique réalisation de l'acteur Martin Gabel, émule d'Orson Welles. On y retrouve toute l'influence de celui-ci avec la profondeur de champ et de nombreux plans et contrastes réussis grâce à la photographie d'Hal Mohr (Le fantôme de l'opéra - Le songe d'une nuit d'été).
Un des principaux atouts de cette œuvre est son scénario qui reprend une nouvelle d'Henry James dont l'atmosphère rappelle celle du tour d'écrou (Les innocents). Le scénariste Leonardo Bercovici en a modifié la fin pour la rendre plus romantique, on retrouvera ce thème d'amour fou plus tard dans Le portrait de Jennie avant qu'il ne soit chassé par le Maccarthysme.
L'autre atout est Susan Hayward qui réussit une double composition magnifique. Froide et presque inhumaine dans le rôle de Tina Devereau, cette "morte parmi les vivants" qui n'est pas sans rappeler le personnage de Mrs Danvers dans Rebecca. D'une beauté à couper le souffle lorsqu'elle renaît à la vie à travers un amour imaginaire. A ses côtés Agnès Moorehead est très convaincante dans ce rôle de femme centenaire repliée sur son passé.
Un beau film injustement oublié que je reverrai certainement.
Synopsis : Editeur new-yorkais, Louis Venable souhaite plus que tout au monde acquérir les lettres d’amour de Jeffrey Ashton, un poète disparu de longues années plus tôt, dans des circonstances troubles. Juliana Bordereau, son ancienne muse désormais centenaire, lui en interdit l’accès, il ne se décourage pour autant pas.
Je crois que tout cinéphile rêve lorsqu'il regarde un film inconnu de tomber sur une pépite. C'est ce qu'il m'est arrivé avec ce film. Il démarre presque comme un film noir, vire vers le fantastique avec ce palais vénitien à l'aspect gothique habité par des femmes qui vivent dans le passé et se termine par un drame romantique. C'est l'unique réalisation de l'acteur Martin Gabel, émule d'Orson Welles. On y retrouve toute l'influence de celui-ci avec la profondeur de champ et de nombreux plans et contrastes réussis grâce à la photographie d'Hal Mohr (Le fantôme de l'opéra - Le songe d'une nuit d'été).
Un des principaux atouts de cette œuvre est son scénario qui reprend une nouvelle d'Henry James dont l'atmosphère rappelle celle du tour d'écrou (Les innocents). Le scénariste Leonardo Bercovici en a modifié la fin pour la rendre plus romantique, on retrouvera ce thème d'amour fou plus tard dans Le portrait de Jennie avant qu'il ne soit chassé par le Maccarthysme.
L'autre atout est Susan Hayward qui réussit une double composition magnifique. Froide et presque inhumaine dans le rôle de Tina Devereau, cette "morte parmi les vivants" qui n'est pas sans rappeler le personnage de Mrs Danvers dans Rebecca. D'une beauté à couper le souffle lorsqu'elle renaît à la vie à travers un amour imaginaire. A ses côtés Agnès Moorehead est très convaincante dans ce rôle de femme centenaire repliée sur son passé.
Un beau film injustement oublié que je reverrai certainement.
zardi- Messages : 1977
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Re: Dernier film visionné
The master (2012) de Paul Thomas Anderson - 7/10
Synopsis : Freddie, un vétéran, revient en Californie après s’être battu dans le Pacifique. Alcoolique, il distille sa propre gnôle et contient difficilement la violence qu’il a en lui… Quand Freddie rencontre Lancaster Dodd - « le Maître », charismatique meneur d’un mouvement nommé la Cause, il tombe rapidement sous sa coupe…
J'avoue être perplexe après avoir vu ce film. La maîtrise technique du réalisateur de There will be blood est indéniable et il nous offre quelques séquences mémorables. Philip Seymour Hoffman charismatique dans le rôle du gourou, Joaquin Phoenix pathétique et hallucinant en ex soldat meurtri et paumé, Amy Adams à la fois dominatrice et enjôleuse réussissent tous une composition impeccable. Mais le problème c'est le scénario et le message qu'a voulu transmettre Anderson. On a du mal à se passionner pour cette relation entre maître et disciple qui est bien longue et dont la conclusion nous laisse sur notre faim. J'avoue avoir lâché prise et être un peu déçu tout en étant admiratif devant la beauté de certaines scènes.
Synopsis : Freddie, un vétéran, revient en Californie après s’être battu dans le Pacifique. Alcoolique, il distille sa propre gnôle et contient difficilement la violence qu’il a en lui… Quand Freddie rencontre Lancaster Dodd - « le Maître », charismatique meneur d’un mouvement nommé la Cause, il tombe rapidement sous sa coupe…
J'avoue être perplexe après avoir vu ce film. La maîtrise technique du réalisateur de There will be blood est indéniable et il nous offre quelques séquences mémorables. Philip Seymour Hoffman charismatique dans le rôle du gourou, Joaquin Phoenix pathétique et hallucinant en ex soldat meurtri et paumé, Amy Adams à la fois dominatrice et enjôleuse réussissent tous une composition impeccable. Mais le problème c'est le scénario et le message qu'a voulu transmettre Anderson. On a du mal à se passionner pour cette relation entre maître et disciple qui est bien longue et dont la conclusion nous laisse sur notre faim. J'avoue avoir lâché prise et être un peu déçu tout en étant admiratif devant la beauté de certaines scènes.
Dernière édition par zardi le Lun 27 Sep - 8:27, édité 1 fois
zardi- Messages : 1977
Date d'inscription : 07/11/2019
Localisation : 06
Re: Dernier film visionné
Connais pas du tout "The lost moment" , et pourtant j'ai vu pas mal de films avec Susan Hayward . Je vais explorer çà, voir à quel prix je peux le trouver !
Barbe-Noire- Messages : 3525
Date d'inscription : 07/11/2019
Age : 69
Localisation : Seine et Marne ( et toujours "à la croisée des chemins" )
Re: Dernier film visionné
hier soir la suite de "Manon....." >>> Ugolin (1952)
Deuxième partie de Manon des sources, sortie la même année, un film plein de morale, le côté comique du premier volet laisse place à de la tragi-comédie.
Pour infos, Henri Poupon "Le Papet", à eu un petit rôle, car très malade, il est d'ailleurs mort quelques mois après
4.85/5
Deuxième partie de Manon des sources, sortie la même année, un film plein de morale, le côté comique du premier volet laisse place à de la tragi-comédie.
Pour infos, Henri Poupon "Le Papet", à eu un petit rôle, car très malade, il est d'ailleurs mort quelques mois après
4.85/5
Re: Dernier film visionné
ce matin , avec ce temps de merde >>> Godzilla vs Kong
fantastique, trop, trop, trop pour moi, surement l'âge mais je préfère et de loin les King Kong classique sur son île, avec les indigènes et la belle "blonde"
des acteurs bof, sauf la petite fille que j'ai trouvé pas mal
par contre au niveau bande son et effets spéciaux, c'est le top
pour moi, ça vos moins que la moyenne 2.2/5
fantastique, trop, trop, trop pour moi, surement l'âge mais je préfère et de loin les King Kong classique sur son île, avec les indigènes et la belle "blonde"
des acteurs bof, sauf la petite fille que j'ai trouvé pas mal
par contre au niveau bande son et effets spéciaux, c'est le top
pour moi, ça vos moins que la moyenne 2.2/5
Re: Dernier film visionné
Tuez Charley Varrick ! / Charley Varrick (1973) de Don Siegel - 8/10
Synopsis : Charley Varrick dévalise une petite banque de campagne avec l’aide de sa femme et de deux acolytes. Mais le braquage ne se passe pas comme prévu… Et il comprend rapidement que l’important magot qu’il a dérobé appartient en réalité à la mafia, qui fera tout pour le récupérer…
Bien que moins connu ce film est une des réussites de Don Siegel. Depuis le braquage initial jusqu'à l'affrontement final il n'y a pas un temps mort. Tout le talent du réalisateur est au service de l'efficacité.
On y retrouve des personnages sans pitié comme le tueur (Joe Don Baker) ou le braqueur qui incarnait Scorpio dans L'inspecteur Harry (Andrew Robinson) et tout un lot de jolies femmes au caractère bien trempé.
Le réalisateur nous donne une image peu reluisante de l'Amérique avec toutes ces personnes qui sont prêtes à trahir et à obéir à une organisation dont on ne voit jamais les dirigeants mais qui fait régner la terreur.
L'originalité du film tient au personnage principal incarné par Walter Matthau, plus connu pour ses rôles dans des comédies. Il y incarne un braqueur de banques tout à fait crédible qui se distingue par sa capacité à raisonner et à anticiper les difficultés contrairement aux acteurs habituels (Clint Eastwood ou Richard Widmark) qui comptaient plus sur leur arme que sur leur cerveau pour se tirer d'affaire.
Un film d'action bien filmé qui tient le spectateur en haleine pendant toute sa durée.
Synopsis : Charley Varrick dévalise une petite banque de campagne avec l’aide de sa femme et de deux acolytes. Mais le braquage ne se passe pas comme prévu… Et il comprend rapidement que l’important magot qu’il a dérobé appartient en réalité à la mafia, qui fera tout pour le récupérer…
Bien que moins connu ce film est une des réussites de Don Siegel. Depuis le braquage initial jusqu'à l'affrontement final il n'y a pas un temps mort. Tout le talent du réalisateur est au service de l'efficacité.
On y retrouve des personnages sans pitié comme le tueur (Joe Don Baker) ou le braqueur qui incarnait Scorpio dans L'inspecteur Harry (Andrew Robinson) et tout un lot de jolies femmes au caractère bien trempé.
Le réalisateur nous donne une image peu reluisante de l'Amérique avec toutes ces personnes qui sont prêtes à trahir et à obéir à une organisation dont on ne voit jamais les dirigeants mais qui fait régner la terreur.
L'originalité du film tient au personnage principal incarné par Walter Matthau, plus connu pour ses rôles dans des comédies. Il y incarne un braqueur de banques tout à fait crédible qui se distingue par sa capacité à raisonner et à anticiper les difficultés contrairement aux acteurs habituels (Clint Eastwood ou Richard Widmark) qui comptaient plus sur leur arme que sur leur cerveau pour se tirer d'affaire.
Un film d'action bien filmé qui tient le spectateur en haleine pendant toute sa durée.
zardi- Messages : 1977
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