Dernier film visionné
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Re: Dernier film visionné
l'andalous a écrit:hier soir >>> la peau douce de: François TRUFFAUT
pour info, ce film à était démoli lors de ça sorti par les critiques
Pas seulement les critiques mais aussi le public. Quand il est sorti au festival de Cannes il a carrément été hué dans la salle.
zardi- Messages : 1670
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Re: Dernier film visionné
l'andalous a écrit:pourtant il est pas de plus mauvais ce film
Tout à fait d'accord. C'est un de mes Truffaut préférés avec La femme d'à côté. Disons qu'il a été fait au mauvais moment. Les gens n'étaient pas prêts à cette vision de l'adultère telle qu'il est présenté dans le film.
zardi- Messages : 1670
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Re: Dernier film visionné
Ce monde à part / The Young Philadelphians (1959) de Vincent Sherman - 6,5/10

Synopsis : Un jeune homme de naissance illégitime tente d’entrer dans la bonne société de Philadelphie…
Un casting haut de gamme, des thèmes intéressants, malheureusement la mise en scène trop classique et un scénario surchargé ne permettent pas de donner à ce film tout son potentiel. Vincent Sherman est un bon faiseur mais est loin d'être un créateur ou un grand directeur d'acteur.
On se perd dans cette succession d'innombrables face à face dans des pièces ou des bureaux où même le talent de Paul Newman n'arrive pas à emporter l'adhésion. Que dire en plus de l'épisode de la guerre de Corée ou de la conclusion du procès avec les derniers indices surgissant d'on ne sait où ?
Il reste quand même quelques belles scènes comme celle du chantier où le futur avocat rencontre la charmante Barbara Rush et surtout la performance de Robert Vaughn bouleversant dans ce rôle d'infirme qui n'est pas sans rappeler celle du lâche qu'il incarne dans Les sept mercenaires.
Bref un film moyen qui aurait pu être un chef-d'œuvre s'il avait été fait par un metteur en scène plus créatif comme Minelli ou Preminger.

Synopsis : Un jeune homme de naissance illégitime tente d’entrer dans la bonne société de Philadelphie…
Un casting haut de gamme, des thèmes intéressants, malheureusement la mise en scène trop classique et un scénario surchargé ne permettent pas de donner à ce film tout son potentiel. Vincent Sherman est un bon faiseur mais est loin d'être un créateur ou un grand directeur d'acteur.
On se perd dans cette succession d'innombrables face à face dans des pièces ou des bureaux où même le talent de Paul Newman n'arrive pas à emporter l'adhésion. Que dire en plus de l'épisode de la guerre de Corée ou de la conclusion du procès avec les derniers indices surgissant d'on ne sait où ?
Il reste quand même quelques belles scènes comme celle du chantier où le futur avocat rencontre la charmante Barbara Rush et surtout la performance de Robert Vaughn bouleversant dans ce rôle d'infirme qui n'est pas sans rappeler celle du lâche qu'il incarne dans Les sept mercenaires.
Bref un film moyen qui aurait pu être un chef-d'œuvre s'il avait été fait par un metteur en scène plus créatif comme Minelli ou Preminger.
zardi- Messages : 1670
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Re: Dernier film visionné
La chevauchée des bannis / Day of the outlaw (1959) de André De Toth - 9/10

Synopsis : Une bande de hors-la-loi prend en siège un petit village du Wyoming, perdu dans les Rocheuses. Les fermiers, effrayés, interrompent alors leurs querelles pour faire front ensemble…
Ce western rompt avec les codes du genre non pas par les thèmes abordés mais par son traitement. Tourné en noir et blanc dans un style totalement épuré avec quelques cabanes délabrées au milieu de paysages enneigés. On avait déjà vu cela dans L'énigme du Lac Noir mais ici c'est l'aspect psychologique qui prévaut et ce ne sont pas les femmes qui ont le rôle principal.
En quelques secondes le décor est planté et le début est tout à fait traditionnel. Un individu (Robert Ryan) veut éliminer un propriétaire terrien qui a posé des barbelés qui empêchent son troupeau de passer et qui plus est a épousé la femme qu'il aime (Tina Louise). Mais le duel annoncé va tourner court car interrompu par l'arrivée d'une bande de voleurs commandée par un ancien chef militaire (Burl Ives). A partir de cet instant le film bifurque vers un aspect beaucoup plus psychologique dominé par l'affrontement entre Ryan et Ives qui vont suivre à leur façon un chemin vers la rédemption.
On a droit à quelques scènes d'anthologie comme la bagarre très rude dans la neige, la scène bestiale du bal incroyablement filmée avec des panoramiques qui n'en finissent plus et enfin la fameuse chevauchée où la nature hostile va triompher.
Un western qui annonce ceux de Peckinpah par la rudesse et la sauvagerie des bandits, filmé sans artifices et sans scènes superflues, bref un grand film qui consacre un grand acteur en la personne de Robert Ryan.

Synopsis : Une bande de hors-la-loi prend en siège un petit village du Wyoming, perdu dans les Rocheuses. Les fermiers, effrayés, interrompent alors leurs querelles pour faire front ensemble…
Ce western rompt avec les codes du genre non pas par les thèmes abordés mais par son traitement. Tourné en noir et blanc dans un style totalement épuré avec quelques cabanes délabrées au milieu de paysages enneigés. On avait déjà vu cela dans L'énigme du Lac Noir mais ici c'est l'aspect psychologique qui prévaut et ce ne sont pas les femmes qui ont le rôle principal.
En quelques secondes le décor est planté et le début est tout à fait traditionnel. Un individu (Robert Ryan) veut éliminer un propriétaire terrien qui a posé des barbelés qui empêchent son troupeau de passer et qui plus est a épousé la femme qu'il aime (Tina Louise). Mais le duel annoncé va tourner court car interrompu par l'arrivée d'une bande de voleurs commandée par un ancien chef militaire (Burl Ives). A partir de cet instant le film bifurque vers un aspect beaucoup plus psychologique dominé par l'affrontement entre Ryan et Ives qui vont suivre à leur façon un chemin vers la rédemption.
On a droit à quelques scènes d'anthologie comme la bagarre très rude dans la neige, la scène bestiale du bal incroyablement filmée avec des panoramiques qui n'en finissent plus et enfin la fameuse chevauchée où la nature hostile va triompher.
Un western qui annonce ceux de Peckinpah par la rudesse et la sauvagerie des bandits, filmé sans artifices et sans scènes superflues, bref un grand film qui consacre un grand acteur en la personne de Robert Ryan.
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c2302t aime ce message
Re: Dernier film visionné
zardi a écrit:La chevauchée des bannis / Day of the outlaw (1959) de André De Toth - 9/10
Synopsis : Une bande de hors-la-loi prend en siège un petit village du Wyoming, perdu dans les Rocheuses. Les fermiers, effrayés, interrompent alors leurs querelles pour faire front ensemble…
Ce western rompt avec les codes du genre non pas par les thèmes abordés mais par son traitement. Tourné en noir et blanc dans un style totalement épuré avec quelques cabanes délabrées au milieu de paysages enneigés. On avait déjà vu cela dans L'énigme du Lac Noir mais ici c'est l'aspect psychologique qui prévaut et ce ne sont pas les femmes qui ont le rôle principal.
En quelques secondes le décor est planté et le début est tout à fait traditionnel. Un individu (Robert Ryan) veut éliminer un propriétaire terrien qui a posé des barbelés qui empêchent son troupeau de passer et qui plus est a épousé la femme qu'il aime (Tina Louise). Mais le duel annoncé va tourner court car interrompu par l'arrivée d'une bande de voleurs commandée par un ancien chef militaire (Burl Ives). A partir de cet instant le film bifurque vers un aspect beaucoup plus psychologique dominé par l'affrontement entre Ryan et Ives qui vont suivre à leur façon un chemin vers la rédemption.
On a droit à quelques scènes d'anthologie comme la bagarre très rude dans la neige, la scène bestiale du bal incroyablement filmée avec des panoramiques qui n'en finissent plus et enfin la fameuse chevauchée où la nature hostile va triompher.
Un western qui annonce ceux de Peckinpah par la rudesse et la sauvagerie des bandits, filmé sans artifices et sans scènes superflues, bref un grand film qui consacre un grand acteur en la personne de Robert Ryan.
Chef d'oeuvre.

c2302t- Messages : 694
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Re: Dernier film visionné
Mephisto (1981) d'István Szabó - 8,5/10

Synopsis : Dans l’Allemagne des années 30, Hendrik Hoefgen, acteur ambitieux, ne se soucie que très peu des problèmes politiques de son pays et ne vit que pour sa carrière artistique. Lorsque les nazis prennent le pouvoir, il saisit l’opportunité de jouer des pièces pour la propagande du parti et devient très rapidement le comédien le plus populaire d’Allemagne. Dévoré par sa gloire et par le doute, il doit maintenant survivre dans un monde où la haine et la peur sont devenus les véritables acteurs d’une scène où se joue le destin de l’humanité.
Premier film d'une trilogie sur le rapport avec le pouvoir (Mephisto - Colonel Redl - Hanussen) et le plus récompensé (oscar du meilleur film étranger), cette œuvre est consacrée à un acteur qui, pour arriver au sommet de son art, accepte toutes les compromissions avec le régime nazi sous le régime de Weimar.
Si on peut regretter la longueur du film avec un montage parfois abrupt on peut apprécier le soin apporté à la reconstitution de l'époque ainsi que les très belles scènes de représentation théâtrale avec des couleurs très saturées.
Ce métrage est porté par l'acteur Klaus Maria Brandauer qui réussit une performance remarquable en étant à la fois antipathique et bouleversant. A noter la composition de Rolf Hoppe glaçant dans le rôle du feldmarschall (en fait Göring).
Un film qui pose intelligemment la question du rapport de l'art avec les régimes totalitaires.

Synopsis : Dans l’Allemagne des années 30, Hendrik Hoefgen, acteur ambitieux, ne se soucie que très peu des problèmes politiques de son pays et ne vit que pour sa carrière artistique. Lorsque les nazis prennent le pouvoir, il saisit l’opportunité de jouer des pièces pour la propagande du parti et devient très rapidement le comédien le plus populaire d’Allemagne. Dévoré par sa gloire et par le doute, il doit maintenant survivre dans un monde où la haine et la peur sont devenus les véritables acteurs d’une scène où se joue le destin de l’humanité.
Premier film d'une trilogie sur le rapport avec le pouvoir (Mephisto - Colonel Redl - Hanussen) et le plus récompensé (oscar du meilleur film étranger), cette œuvre est consacrée à un acteur qui, pour arriver au sommet de son art, accepte toutes les compromissions avec le régime nazi sous le régime de Weimar.
Si on peut regretter la longueur du film avec un montage parfois abrupt on peut apprécier le soin apporté à la reconstitution de l'époque ainsi que les très belles scènes de représentation théâtrale avec des couleurs très saturées.
Ce métrage est porté par l'acteur Klaus Maria Brandauer qui réussit une performance remarquable en étant à la fois antipathique et bouleversant. A noter la composition de Rolf Hoppe glaçant dans le rôle du feldmarschall (en fait Göring).
Un film qui pose intelligemment la question du rapport de l'art avec les régimes totalitaires.
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Re: Dernier film visionné
L'idéaliste / The rainmaker (1997) de Francis Ford Coppola - 7/10

Synopsis : Rudy Baylor est devenu avocat par vocation. Jeune, naïf et désargenté, il a en plus le handicap de vivre à Memphis, ville qui regorge d’hommes de loi. Après avoir fait le tour des cabinets, il réussit à décrocher un poste dans l’une des moins reluisants, dirigé par un affairiste notoire, lié à la mafia locale. Son patron lui adjoint un mentor roublard et dynamique qui va vite l’éclairer sur les réalités cachées de sa nouvelle profession…
Quand on connait le talent du réalisateur et la qualité du casting on s'attend sinon à un chef-d'œuvre du moins à un très bon film, or ça n'est pas le cas. Pourtant le scénario adapté d'un roman de John Grisham n'est pas mauvais (peut-être maladroit) et les codes du film judiciaire sont respectés (trop peut-être). Chacun des acteurs joue bien sa partition (même si Damon peut parfois sembler emprunté) et la musique de Bernstein n'est pas désagréable. Alors où est le problème, pourquoi a-t-on du mal à éprouver de l'empathie pour les personnages et pourquoi n'est-on pas plus ému par la situation dramatique des plaignants ?
Je crois que certains choix de la réalisation en sont l'origine. D'abord la voix off très utile dans un film noir est ici à contre emploi, elle casse la charge émotionnelle de certaines scènes. De même l'histoire secondaire entre Matt Damon et Claire Danes détourne trop l'attention du sujet principal. Enfin il y a tellement de stars dans la distribution (dont certaines franchement inutiles pour la narration comme par exemple le personnage interprété par Mickey Rourke) que la caméra insiste trop sur chaque intervenant (en particulier John Voight) au détriment de la dramaturgie.
Sans doute suis je sévère car le film n'est pas mauvais mais je m'attendais à mieux. J'ai apprécié particulièrement le jeu de De Vito et la dernière apparition de Teresa Wright et je me demande pourquoi Danny Glover, sobre et impeccable dans le rôle du juge, n'est pas crédité.

Synopsis : Rudy Baylor est devenu avocat par vocation. Jeune, naïf et désargenté, il a en plus le handicap de vivre à Memphis, ville qui regorge d’hommes de loi. Après avoir fait le tour des cabinets, il réussit à décrocher un poste dans l’une des moins reluisants, dirigé par un affairiste notoire, lié à la mafia locale. Son patron lui adjoint un mentor roublard et dynamique qui va vite l’éclairer sur les réalités cachées de sa nouvelle profession…
Quand on connait le talent du réalisateur et la qualité du casting on s'attend sinon à un chef-d'œuvre du moins à un très bon film, or ça n'est pas le cas. Pourtant le scénario adapté d'un roman de John Grisham n'est pas mauvais (peut-être maladroit) et les codes du film judiciaire sont respectés (trop peut-être). Chacun des acteurs joue bien sa partition (même si Damon peut parfois sembler emprunté) et la musique de Bernstein n'est pas désagréable. Alors où est le problème, pourquoi a-t-on du mal à éprouver de l'empathie pour les personnages et pourquoi n'est-on pas plus ému par la situation dramatique des plaignants ?
Je crois que certains choix de la réalisation en sont l'origine. D'abord la voix off très utile dans un film noir est ici à contre emploi, elle casse la charge émotionnelle de certaines scènes. De même l'histoire secondaire entre Matt Damon et Claire Danes détourne trop l'attention du sujet principal. Enfin il y a tellement de stars dans la distribution (dont certaines franchement inutiles pour la narration comme par exemple le personnage interprété par Mickey Rourke) que la caméra insiste trop sur chaque intervenant (en particulier John Voight) au détriment de la dramaturgie.
Sans doute suis je sévère car le film n'est pas mauvais mais je m'attendais à mieux. J'ai apprécié particulièrement le jeu de De Vito et la dernière apparition de Teresa Wright et je me demande pourquoi Danny Glover, sobre et impeccable dans le rôle du juge, n'est pas crédité.
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Re: Dernier film visionné
hier soir ce bon western que je ne me rappelle pas d'avoir vue >>> Duel au soleil
Bon, même excellent ce western, avec un Gregory PECK en méchant et une Jennifer JONES (Pearl) pétillante.
A voir ou revoir, n'a pris aucune ride

.
Bon, même excellent ce western, avec un Gregory PECK en méchant et une Jennifer JONES (Pearl) pétillante.
A voir ou revoir, n'a pris aucune ride

.
Re: Dernier film visionné
Au bout de la nuit / Street Kings (2008) de David Ayer - 5/10

Synopsis : Tom Ludlow est le meilleur détective de l’Ad Vice, unité spécialisée de la Police de Los Angeles. Son supérieur, le capitaine Wander, ferme les yeux sur ses procédés souvent « hors normes » et le protège lors d’une enquête interne menée contre lui. Accusé à tort du meurtre d’un collègue, Ludlow doit lutter seul contre le système corrompu pour prouver son innocence.
Ce qui aurait pu être un bon film sur la corruption policière s'avère un amas de clichés avec une avalanche de tueries. Le scénario s'enlise dès le tiers du film avec une succession de rebondissements qui ne servent qu'à déconnecter le spectateur.
Keanu Reeves toujours aussi inexpressif et Forest Whitaker qui en fait des tonnes. Heureusement qu'il y a quelques bons seconds rôles comme Chris Evans et Naomie Harris.
Si vous coulez voir un film de baston alors foncez, par contre si vous tenez à voir un film bien construit dans le genre alors fuyez.

Synopsis : Tom Ludlow est le meilleur détective de l’Ad Vice, unité spécialisée de la Police de Los Angeles. Son supérieur, le capitaine Wander, ferme les yeux sur ses procédés souvent « hors normes » et le protège lors d’une enquête interne menée contre lui. Accusé à tort du meurtre d’un collègue, Ludlow doit lutter seul contre le système corrompu pour prouver son innocence.
Ce qui aurait pu être un bon film sur la corruption policière s'avère un amas de clichés avec une avalanche de tueries. Le scénario s'enlise dès le tiers du film avec une succession de rebondissements qui ne servent qu'à déconnecter le spectateur.
Keanu Reeves toujours aussi inexpressif et Forest Whitaker qui en fait des tonnes. Heureusement qu'il y a quelques bons seconds rôles comme Chris Evans et Naomie Harris.
Si vous coulez voir un film de baston alors foncez, par contre si vous tenez à voir un film bien construit dans le genre alors fuyez.
zardi- Messages : 1670
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Re: Dernier film visionné
hier soir, du très haut de gamme >>> la fille du puisatier
du très bon Pagnol, à voir sans modération et toujours des phrases "culte" et plein de morales
un régal, à voir ou revoir d'urgence
5/5

du très bon Pagnol, à voir sans modération et toujours des phrases "culte" et plein de morales
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