Dernier film visionné
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Re: Dernier film visionné
Uniformes et jupons courts de Billy Wilder : 8/10
Un très bon film (pléonasme concernant Wilder) qui ne pourrait sans doute plus être fait aujourd'hui de cette façon. Certaines scènes sont limites, et Wilder en magicien joue les équilibristes sans jamais tomber du mauvais côté de la barrière. Mais la séquence du train m'a mis mal a l'aise, même si on sait que le personnage de Ginger Rogers n'a pas 12 ans. D'ailleurs le film joue sur ce postulat abracadabrant, en le maintenant dans une certaine candeur via le personnage de Ray Milland, et de ses motivations (meme si on doute quand on le rencontre pour la première fois(scène du train donc)).
Ginger Rogers est formidable et prouve encore une fois qu'elle est l'une des plus grande actrice de comédie, avec ce rythme, ce jeu plein de subtilité. Elle vampirise tout le monde(y compris Ray Milland). Par contre j'ai été déçu par la fin, qui en général chez Wilder est très souvent réussie
Un très bon film (pléonasme concernant Wilder) qui ne pourrait sans doute plus être fait aujourd'hui de cette façon. Certaines scènes sont limites, et Wilder en magicien joue les équilibristes sans jamais tomber du mauvais côté de la barrière. Mais la séquence du train m'a mis mal a l'aise, même si on sait que le personnage de Ginger Rogers n'a pas 12 ans. D'ailleurs le film joue sur ce postulat abracadabrant, en le maintenant dans une certaine candeur via le personnage de Ray Milland, et de ses motivations (meme si on doute quand on le rencontre pour la première fois(scène du train donc)).
Ginger Rogers est formidable et prouve encore une fois qu'elle est l'une des plus grande actrice de comédie, avec ce rythme, ce jeu plein de subtilité. Elle vampirise tout le monde(y compris Ray Milland). Par contre j'ai été déçu par la fin, qui en général chez Wilder est très souvent réussie
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Re: Dernier film visionné
Rébellion (1967) de Masaki Kobayashi - 9/10

Ce film qu'on met souvent en parallèle avec Harakiri du même réalisateur pour les thèmes qui y sont développés à savoir la révolte contre un système féodal injuste est plus un drame historique qu'un chanbara. En effet ce n'est que dans les dernières séquences qu'on assiste à des combats. Auparavant on a droit à toute une série d'entrevues avec des émissaires du chef de clan qui veut imposer des décisions injustes à la famille d'un samouraï, d'abord par un mariage imposé puis en voulant ramener la mariée auprès du shogun. Toshiro Mifune incarne magnifiquement ce personnage de samouraï retraité qui renaît à la vie en osant se rebeller et Yôko Tsukasa est à la fois délicate et déterminée dans ce rôle de femme manipulée par le pouvoir. Comme à l'accoutumé Kobayashi utilise à la perfection les décors dans un scope de toute beauté. Belle chorégraphie du combat dans la demeure par contre l'affrontement final entre Nakadai et Mifune est très court et peu spectaculaire. La qualité de l'interprétation et de la mise en scène ainsi que la musique de Tôru Takemitsu font de ce film une des plus belles œuvres du cinéma japonais.

Ce film qu'on met souvent en parallèle avec Harakiri du même réalisateur pour les thèmes qui y sont développés à savoir la révolte contre un système féodal injuste est plus un drame historique qu'un chanbara. En effet ce n'est que dans les dernières séquences qu'on assiste à des combats. Auparavant on a droit à toute une série d'entrevues avec des émissaires du chef de clan qui veut imposer des décisions injustes à la famille d'un samouraï, d'abord par un mariage imposé puis en voulant ramener la mariée auprès du shogun. Toshiro Mifune incarne magnifiquement ce personnage de samouraï retraité qui renaît à la vie en osant se rebeller et Yôko Tsukasa est à la fois délicate et déterminée dans ce rôle de femme manipulée par le pouvoir. Comme à l'accoutumé Kobayashi utilise à la perfection les décors dans un scope de toute beauté. Belle chorégraphie du combat dans la demeure par contre l'affrontement final entre Nakadai et Mifune est très court et peu spectaculaire. La qualité de l'interprétation et de la mise en scène ainsi que la musique de Tôru Takemitsu font de ce film une des plus belles œuvres du cinéma japonais.
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Re: Dernier film visionné
A fleur de peau (1995) de Steven Soderbergh - 6,5/10

Un remake de Criss cross le film de Robert Siodmak, ce film de braquage n'a ni l'envergure ni la qualité d'interprétation de l'original. A sa décharge le surdoué réalisateur de Sexe, mensonges & vidéo ne l'a fait qu'à contrecœur et s'est intéressé à l'aspect formel plus qu'à l'histoire comme en témoigne la fin plus qu'ouverte. Narration déstructurée avec des flash back sur plusieurs périodes différentes, utilisation de filtres de couleur, originalité visuelle de plusieurs scènes dont celle de l'hôpital qui est très réussie avec caméra subjective, utilisation de grand angle ... Les prouesses techniques ne suffisent pas à faire un bon film et on est relativement déçu à la fin de celui-ci malgré la présence de bons acteurs comme William Fichtner et Joe Don Baker.

Un remake de Criss cross le film de Robert Siodmak, ce film de braquage n'a ni l'envergure ni la qualité d'interprétation de l'original. A sa décharge le surdoué réalisateur de Sexe, mensonges & vidéo ne l'a fait qu'à contrecœur et s'est intéressé à l'aspect formel plus qu'à l'histoire comme en témoigne la fin plus qu'ouverte. Narration déstructurée avec des flash back sur plusieurs périodes différentes, utilisation de filtres de couleur, originalité visuelle de plusieurs scènes dont celle de l'hôpital qui est très réussie avec caméra subjective, utilisation de grand angle ... Les prouesses techniques ne suffisent pas à faire un bon film et on est relativement déçu à la fin de celui-ci malgré la présence de bons acteurs comme William Fichtner et Joe Don Baker.
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Hungry hearts (2015) de Saverio Costanzo - 7,5/10

Après la réussite de La solitude des nombres premiers Saverio Costanzo signe un huis clos étouffant qui fait un peu penser à Rosemary baby sauf qu'ici il n'y a aucune intervention démoniaque mais une folie dérangeante car sournoise et progressive. Après une rencontre assez drôle dans des toilettes d'un restaurant un couple voit sa vie se détériorer après la naissance d'un enfant dont la vie est mise en danger par l'aliénation de sa mère.
La mise en scène très (trop) minimaliste s'attache essentiellement aux deux parents abusant des gros plans pour faire ressortir l'horreur de la situation.
Les deux acteurs Adam Driver et Alba Rohrwacher, primés à la mostra de venise, livrent une composition déchirante.

Après la réussite de La solitude des nombres premiers Saverio Costanzo signe un huis clos étouffant qui fait un peu penser à Rosemary baby sauf qu'ici il n'y a aucune intervention démoniaque mais une folie dérangeante car sournoise et progressive. Après une rencontre assez drôle dans des toilettes d'un restaurant un couple voit sa vie se détériorer après la naissance d'un enfant dont la vie est mise en danger par l'aliénation de sa mère.
La mise en scène très (trop) minimaliste s'attache essentiellement aux deux parents abusant des gros plans pour faire ressortir l'horreur de la situation.
Les deux acteurs Adam Driver et Alba Rohrwacher, primés à la mostra de venise, livrent une composition déchirante.
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Re: Dernier film visionné
Je sais où je vais (1945) de Michael Powell et Emeric Pressburger - 9/10

Plus je vois ce film et plus je l'apprécie, le temps ne semble n'avoir aucune prise sur lui. A partir d'une histoire banale écrite par Pressburger (Une femme doit rejoindre son fiancé en Ecosse pour se marier mais en chemin elle est bloquée sur une île par une tempête) Powell réalise une œuvre d'un romantisme absolu au sein de paysages côtiers magnifiques. Des caractères bien écrits et bien interprétés par Wendy Hiller et Roger Livesey avec des seconds rôles originaux.
Le réalisateur met en opposition le matérialisme de la société moderne à la joie de vivre des écossais accrochés à leur terre et à leurs traditions. Visiblement tombé sous le charme des îles des Hébrides et grâce au talent de son directeur de la photographie, Erwin Hiller, il exploite la lumière douce de ses contrées septentrionales pour livrer des images riches en contre-jour et en ombres avec une scène fantastique d'un bateau pris dans la tempête qui doit éviter un tourbillon géant.
Martin Scorcese qui découvrit ce film en tournant Raging bull a dit que c'était un des rares chefs-d'œuvre qu'il ne connaissait pas encore.

Plus je vois ce film et plus je l'apprécie, le temps ne semble n'avoir aucune prise sur lui. A partir d'une histoire banale écrite par Pressburger (Une femme doit rejoindre son fiancé en Ecosse pour se marier mais en chemin elle est bloquée sur une île par une tempête) Powell réalise une œuvre d'un romantisme absolu au sein de paysages côtiers magnifiques. Des caractères bien écrits et bien interprétés par Wendy Hiller et Roger Livesey avec des seconds rôles originaux.
Le réalisateur met en opposition le matérialisme de la société moderne à la joie de vivre des écossais accrochés à leur terre et à leurs traditions. Visiblement tombé sous le charme des îles des Hébrides et grâce au talent de son directeur de la photographie, Erwin Hiller, il exploite la lumière douce de ses contrées septentrionales pour livrer des images riches en contre-jour et en ombres avec une scène fantastique d'un bateau pris dans la tempête qui doit éviter un tourbillon géant.
Martin Scorcese qui découvrit ce film en tournant Raging bull a dit que c'était un des rares chefs-d'œuvre qu'il ne connaissait pas encore.
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Re: Dernier film visionné
Hier soir encore un Western > TEXAS
Réalisé en 1941, il s'agit là d'un western méconnu de George Marshall avec les juvéniles William Holden (23 ans) et Glenn Ford (25 ans), le duo n'est pas encore à son sommet de leurs arts.
Un humour omniprésent comme ce match de boxe qui prend des allures de film burlesque
Pour conclure, Texas reste dans l'ensemble un bon moment à passer.


Réalisé en 1941, il s'agit là d'un western méconnu de George Marshall avec les juvéniles William Holden (23 ans) et Glenn Ford (25 ans), le duo n'est pas encore à son sommet de leurs arts.
Un humour omniprésent comme ce match de boxe qui prend des allures de film burlesque

Pour conclure, Texas reste dans l'ensemble un bon moment à passer.

Re: Dernier film visionné
Savior (1998) de Predrag Antonijevic - 6/10

Rares sont les productions américaines qui se sont intéressées à la guerre des Balkans, ici c'est Oliver Stone qui est à l'œuvre en choisissant un réalisateur serbe. C'est un film qui met mal à l'aise surtout de par la violence des scènes de guerre et des exécutions. On ne peut pas dire que le film soit manichéen car aussi bien les atrocités serbes que croates sont dénoncées mais à part le barbarisme des actes de guerre il y a trop de thèmes abordés pour que le message soit clair.
On ne peut pas éprouver d'empathie pour le personnage principal incarné par Dennis Quaid quand on voit ce qu'il a fait précédemment alors que la fin du film veuille le faire passer pour un héros. Seul le personnage de Nastassja Kinski est présenté de façon cohérente. Quelques belles scènes qui ne font pas oublier les défauts du scénario.

Rares sont les productions américaines qui se sont intéressées à la guerre des Balkans, ici c'est Oliver Stone qui est à l'œuvre en choisissant un réalisateur serbe. C'est un film qui met mal à l'aise surtout de par la violence des scènes de guerre et des exécutions. On ne peut pas dire que le film soit manichéen car aussi bien les atrocités serbes que croates sont dénoncées mais à part le barbarisme des actes de guerre il y a trop de thèmes abordés pour que le message soit clair.
On ne peut pas éprouver d'empathie pour le personnage principal incarné par Dennis Quaid quand on voit ce qu'il a fait précédemment alors que la fin du film veuille le faire passer pour un héros. Seul le personnage de Nastassja Kinski est présenté de façon cohérente. Quelques belles scènes qui ne font pas oublier les défauts du scénario.
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Re: Dernier film visionné
Fini de rire (1951) de John Farrow - 6,5/10

Curieux film(s). On a envie d'employer le pluriel tant cette œuvre est composite. Ca commence comme un film noir, puis on a droit à une romance et enfin à un règlement de comptes tragi-comique. Il faut dire que ce métrage est tricéphale. La réalisation confiée dans un premier temps à John Farrow fut terminée par Richard Fleisher (auquel on doit probablement la fin du film sur le bateau) mais avec des interventions du producteur Howard Hughes qui voulait tout contrôler.
Dommage car le duo Robert Mitchum - Jane Russell fonctionne bien avec des dialogues bien ciselés. La deuxième partie du film est dominée par Vincent Price qui en acteur cabotin veut jouer les héros dans des scènes irrésistiblement comiques.
Mon impression est mitigée et le regret d'avoir vu un film qui avait un grand potentiel mais qui n'est pas abouti domine.

Curieux film(s). On a envie d'employer le pluriel tant cette œuvre est composite. Ca commence comme un film noir, puis on a droit à une romance et enfin à un règlement de comptes tragi-comique. Il faut dire que ce métrage est tricéphale. La réalisation confiée dans un premier temps à John Farrow fut terminée par Richard Fleisher (auquel on doit probablement la fin du film sur le bateau) mais avec des interventions du producteur Howard Hughes qui voulait tout contrôler.
Dommage car le duo Robert Mitchum - Jane Russell fonctionne bien avec des dialogues bien ciselés. La deuxième partie du film est dominée par Vincent Price qui en acteur cabotin veut jouer les héros dans des scènes irrésistiblement comiques.
Mon impression est mitigée et le regret d'avoir vu un film qui avait un grand potentiel mais qui n'est pas abouti domine.
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Re: Dernier film visionné
Brooklyn village (2016) de Ira Sachs - 5/10

Une chronique douce amère sur l'amitié de deux adolescents contrariée par le conflit financier entre leurs parents. J'avais acheté ce dvd après avoir lu des critiques très flatteuses sur le film. J'avoue ne pas comprendre un tel engouement. Le film ne m'a pas ému, il ne se passe pas grand chose, et il n'y a aucune évolution des personnages. Même la situation qui aurait pu être source d'intérêt, quand les deux enfants décident de ne plus parler pour forcer leurs parents à réagir, tourne court (contrairement à un film comme Bonjour de Yajuziro Ozu). Seule satisfaction la découverte d'un réel talent en la personne du jeune acteur Michael Barbieri.

Une chronique douce amère sur l'amitié de deux adolescents contrariée par le conflit financier entre leurs parents. J'avais acheté ce dvd après avoir lu des critiques très flatteuses sur le film. J'avoue ne pas comprendre un tel engouement. Le film ne m'a pas ému, il ne se passe pas grand chose, et il n'y a aucune évolution des personnages. Même la situation qui aurait pu être source d'intérêt, quand les deux enfants décident de ne plus parler pour forcer leurs parents à réagir, tourne court (contrairement à un film comme Bonjour de Yajuziro Ozu). Seule satisfaction la découverte d'un réel talent en la personne du jeune acteur Michael Barbieri.
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Re: Dernier film visionné
Le prodige (2014) de Edward Zwick - 7/10

De facture très classique une vision très hollywoodienne du célèbre joueur d'échecs Bobby Fisher de sa jeunesse jusqu'à sa victoire sur Boris Spassky pour le titre de champion du monde. Le film est axé surtout sur le climat de guerre froide et sur le déséquilibre mental du prodige. La performance de Tobey Maguire est remarquable ainsi que celle de Liev Shreiber. Le film peut passionner n'importe quel spectateur même s'il ne connait rien aux échecs.
Je m'étais intéressé à l'époque à cette confrontation et la seule grosse erreur que j'ai pu déceler est le rôle du prêtre interprété par Peter Sarsgaard qui en fait n'a secondé le champion qu'au cours de la finale et non pas bien auparavant comme ce qui est montré dans le film.

De facture très classique une vision très hollywoodienne du célèbre joueur d'échecs Bobby Fisher de sa jeunesse jusqu'à sa victoire sur Boris Spassky pour le titre de champion du monde. Le film est axé surtout sur le climat de guerre froide et sur le déséquilibre mental du prodige. La performance de Tobey Maguire est remarquable ainsi que celle de Liev Shreiber. Le film peut passionner n'importe quel spectateur même s'il ne connait rien aux échecs.
Je m'étais intéressé à l'époque à cette confrontation et la seule grosse erreur que j'ai pu déceler est le rôle du prêtre interprété par Peter Sarsgaard qui en fait n'a secondé le champion qu'au cours de la finale et non pas bien auparavant comme ce qui est montré dans le film.
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Re: Dernier film visionné
Crazy heart (2009) de Scott Cooper -7,5/10

Immense Jeff Bridges qui a bien mérité son oscar et qui donne une réelle authenticité à ce personnage de chanteur alcoolique de country. Même si on ne croit pas une seconde à cette histoire d'amour impossible avec une Maggie Gyllenhaal qui minaude un peu trop, les personnages sont bien approfondis et les seconds rôles bien interprétés par Colin Farrell et Robert Duvall. Quel plaisir d'entendre ces chansons écrites pour le film et chantées par l'acteur lui-même. Ca ne vaut pas Walk the line mais c'est plaisant à voir et à écouter.

Immense Jeff Bridges qui a bien mérité son oscar et qui donne une réelle authenticité à ce personnage de chanteur alcoolique de country. Même si on ne croit pas une seconde à cette histoire d'amour impossible avec une Maggie Gyllenhaal qui minaude un peu trop, les personnages sont bien approfondis et les seconds rôles bien interprétés par Colin Farrell et Robert Duvall. Quel plaisir d'entendre ces chansons écrites pour le film et chantées par l'acteur lui-même. Ca ne vaut pas Walk the line mais c'est plaisant à voir et à écouter.
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