Dernier film visionné
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Re: Dernier film visionné
Les implacables de Raoul Walsh : 8,5/10
Un western aux personnages forts, où prédomine la relation entre Gable et Russell, dans de magnifiques paysages en cinémascope, qui nous vaut des séquences que l'on ne pourrait plus faire telles qu'elles aujourd'hui (la traversée des animaux dans la rivière ou celle du passage en force du troupeau de vaches contre les Indiens).
Et pour finir, il faut souligner la très belle musique de Victor Young pour enrober tout cela, et la très belle copie du DVD de sidonis.
Un western aux personnages forts, où prédomine la relation entre Gable et Russell, dans de magnifiques paysages en cinémascope, qui nous vaut des séquences que l'on ne pourrait plus faire telles qu'elles aujourd'hui (la traversée des animaux dans la rivière ou celle du passage en force du troupeau de vaches contre les Indiens).
Et pour finir, il faut souligner la très belle musique de Victor Young pour enrober tout cela, et la très belle copie du DVD de sidonis.
c2302t- Messages : 690
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Re: Dernier film visionné
Tout à fait d'accord avec toi. L'image est somptueuse et j'avais trouvé Jane Russell très bonne.c2302t a écrit:Les implacables de Raoul Walsh : 8,5/10
Un western aux personnages forts, où prédomine la relation entre Gable et Russell, dans de magnifiques paysages en cinémascope, qui nous vaut des séquences que l'on ne pourrait plus faire telles qu'elles aujourd'hui (la traversée des animaux dans la rivière ou celle du passage en force du troupeau de vaches contre les Indiens).
Et pour finir, il faut souligner la très belle musique de Victor Young pour enrober tout cela, et la très belle copie du DVD de sidonis.
zardi- Messages : 1670
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c2302t aime ce message
Re: Dernier film visionné
Thunder bay/Le port des passions (1953) de Anthony Mann - 6,5/10

Ce petit film d'action, original car il oppose des pêcheurs à des foreurs pétroliers, vaut surtout pour l'interprétation de James Stewart auquel visiblement le réalisateur est très attaché.
On passe un bon moment sans pour autant n'être ni marqué ni satisfait.
Nuages épars (1967) de Mikio Naruse - 8/10

Un beau mélodrame que cette histoire sur le deuil et l'amour impossible digne des meilleurs Douglas Sirk. Les deux interprètes principaux livrent une belle composition toute en retenue et avec une grande sensibilité. A chaque visionnage j'apprécie de plus en plus ce film.
Phantom lady/Les mains qui tuent (1944) de Robert Siodmak - 8,5/10

Le film qui rendit célèbre le maître du film noir. Plus que le scénario centré sur la belle et talentueuse Ella Raines qui cherche à innocenter son patron dont elle est amoureuse, ce film vaut surtout pour la tension et le climat créés par le metteur en scène avec une image et des éclairages très travaillés. Franchot Tone est vraiment inquiétant dans ce rôle de psychopathe et les seconds rôles, Dan Duryea en tête, sont intéressants. Un grand classique du genre.

Ce petit film d'action, original car il oppose des pêcheurs à des foreurs pétroliers, vaut surtout pour l'interprétation de James Stewart auquel visiblement le réalisateur est très attaché.
On passe un bon moment sans pour autant n'être ni marqué ni satisfait.
Nuages épars (1967) de Mikio Naruse - 8/10

Un beau mélodrame que cette histoire sur le deuil et l'amour impossible digne des meilleurs Douglas Sirk. Les deux interprètes principaux livrent une belle composition toute en retenue et avec une grande sensibilité. A chaque visionnage j'apprécie de plus en plus ce film.
Phantom lady/Les mains qui tuent (1944) de Robert Siodmak - 8,5/10

Le film qui rendit célèbre le maître du film noir. Plus que le scénario centré sur la belle et talentueuse Ella Raines qui cherche à innocenter son patron dont elle est amoureuse, ce film vaut surtout pour la tension et le climat créés par le metteur en scène avec une image et des éclairages très travaillés. Franchot Tone est vraiment inquiétant dans ce rôle de psychopathe et les seconds rôles, Dan Duryea en tête, sont intéressants. Un grand classique du genre.
zardi- Messages : 1670
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Re: Dernier film visionné
A la recherche de Bobby Fischer - Steven Zaillan

Plus connu en tant que scénariste (L'Eveil, La Liste de Schlinder, Gangs of NY...) Steven Zaillan réalise en 1993 ce film retraçant l'histoire vraie d'un jeune prodige des échecs, Joshua Waitzkin, marchant dans les traces de son illustre aîné Bobby Fischer. Une distribution intéressante avec Ben Kingsley, Joe Mantegna, Laurence Fishburne, William H. Macy pour un film sympathique mais pas transcendant. C'est très classique (pas forcément un défaut en soi), plutôt rempli de bons sentiments et le principal intérêt du film se situe dans les relations père-fils et professeur-élève.
A noter, une très belle musique composée par James Horner (immédiatement reconnaissable - Légendes d'Automne n'étant pas très loin
) au meilleur de sa forme. Ma note 6.5/ 10

Plus connu en tant que scénariste (L'Eveil, La Liste de Schlinder, Gangs of NY...) Steven Zaillan réalise en 1993 ce film retraçant l'histoire vraie d'un jeune prodige des échecs, Joshua Waitzkin, marchant dans les traces de son illustre aîné Bobby Fischer. Une distribution intéressante avec Ben Kingsley, Joe Mantegna, Laurence Fishburne, William H. Macy pour un film sympathique mais pas transcendant. C'est très classique (pas forcément un défaut en soi), plutôt rempli de bons sentiments et le principal intérêt du film se situe dans les relations père-fils et professeur-élève.
A noter, une très belle musique composée par James Horner (immédiatement reconnaissable - Légendes d'Automne n'étant pas très loin

snaky930- Admin
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Re: Dernier film visionné
Bon film, mais 4.63 me semble suffisant...l'andalous a écrit:4.86/5

surfeur51- Messages : 1821
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Re: Dernier film visionné
J'aurai mis 4.99 ! 
Blague à part j'aurais mis plus de 5, j'aime beaucoup ce film.

Blague à part j'aurais mis plus de 5, j'aime beaucoup ce film.
alamo- Messages : 764
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Re: Dernier film visionné
Visages villages (2017) d'Agnès Varda - 6,5/10

J'avais tellement lu de critiques élogieuses sur ce documentaire que je suis très déçu. L'idée de départ est originale, rencontrer des gens de la France rurale ou ouvrière et les mettre en valeur en collant des photos géantes sur des bâtiments. C'est le cas pour la première moitié de cette œuvre le tout présenté avec des dialogues drôles et incisifs entre JR et AV. Malheureusement la deuxième partie tourne à l'intimisme et au nombrilisme avec quelques scènes certes touchantes mais qui ne peuvent qu'agacer le spectateur lassé de cette autosatisfaction.
A noter dans les bonus un joli court d'Agnès Varda : Les fiancés du pont Mac Donald avec Jean-Luc Godard et Anna Karina
La fille à la valise (1962) de Valerio Zurlini - 8,5/10

L'idée du top au féminin m'a incité à revoir des films découverts il y a très longtemps. C'est le cas de ce film sur un amour impossible entre une Claudia Cardinale, d'une beauté et d'une sensualité à couper le souffle et un jeune Jacques Perrin tombé sous son charme. Dans un N&B splendide la caméra de Valerio Zurlini s'attache avec sensibilité aux deux personnages et étrille la petite bourgeoisie machiste et égoïste de l'Italie de l'époque. Un film émouvant et très réussi.
A noter la première apparition à l'écran de Gian Maria Volonte.

J'avais tellement lu de critiques élogieuses sur ce documentaire que je suis très déçu. L'idée de départ est originale, rencontrer des gens de la France rurale ou ouvrière et les mettre en valeur en collant des photos géantes sur des bâtiments. C'est le cas pour la première moitié de cette œuvre le tout présenté avec des dialogues drôles et incisifs entre JR et AV. Malheureusement la deuxième partie tourne à l'intimisme et au nombrilisme avec quelques scènes certes touchantes mais qui ne peuvent qu'agacer le spectateur lassé de cette autosatisfaction.
A noter dans les bonus un joli court d'Agnès Varda : Les fiancés du pont Mac Donald avec Jean-Luc Godard et Anna Karina
La fille à la valise (1962) de Valerio Zurlini - 8,5/10

L'idée du top au féminin m'a incité à revoir des films découverts il y a très longtemps. C'est le cas de ce film sur un amour impossible entre une Claudia Cardinale, d'une beauté et d'une sensualité à couper le souffle et un jeune Jacques Perrin tombé sous son charme. Dans un N&B splendide la caméra de Valerio Zurlini s'attache avec sensibilité aux deux personnages et étrille la petite bourgeoisie machiste et égoïste de l'Italie de l'époque. Un film émouvant et très réussi.
A noter la première apparition à l'écran de Gian Maria Volonte.
zardi- Messages : 1670
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Localisation : 06
Re: Dernier film visionné
Suite au message de zardi et snaky sur l'heure suprême de Borzage, ça m'a donné envie de continuer à déblister ses œuvres.
Lucky star : 8,5/10, un film très Borzagien, d'une pureté et d'une simplicité qui touche à l'universel. On est pris d'entrée dans le film, grâce à un décor magnifique(recrée en studio), empreint d'une belle poésie, et pourtant qui ne fait jamais carton pâte. On y croit du début à la fin malgré un manque de réalisme dans les situations (quand on analyse à froid, mais en fait on s'en fout), et c'est là toute la force de l'oeuvre de Borzage, nous happer pour mieux nous convaincre de ce que l'on voit, et surtout de ce que l'on ressent. Si Janet Gaynor est encore une fois le coeur et l'âme du film, c'est grâce a sa capacité à émouvoir avec rien, à part peut être son jeu un plus plus moderne que ses collègues de l'époque.
Quant à Charles Farrell, il est un très complémentaire avec elle, même s'il apporte autre chose au film(il est l'élément moteur du scénario).
Soul de pete Doctor : 7,5/10
Un très bon cru Pixar, mais en dessous des classiques, malgré de très bonnes idées scénaristiques, qui m'a fait pensé à un mix entre vice versa et Ralph. Ça ne révolutionne pas le genre, mais on passe un très bon moment

Lucky star : 8,5/10, un film très Borzagien, d'une pureté et d'une simplicité qui touche à l'universel. On est pris d'entrée dans le film, grâce à un décor magnifique(recrée en studio), empreint d'une belle poésie, et pourtant qui ne fait jamais carton pâte. On y croit du début à la fin malgré un manque de réalisme dans les situations (quand on analyse à froid, mais en fait on s'en fout), et c'est là toute la force de l'oeuvre de Borzage, nous happer pour mieux nous convaincre de ce que l'on voit, et surtout de ce que l'on ressent. Si Janet Gaynor est encore une fois le coeur et l'âme du film, c'est grâce a sa capacité à émouvoir avec rien, à part peut être son jeu un plus plus moderne que ses collègues de l'époque.
Quant à Charles Farrell, il est un très complémentaire avec elle, même s'il apporte autre chose au film(il est l'élément moteur du scénario).
Soul de pete Doctor : 7,5/10
Un très bon cru Pixar, mais en dessous des classiques, malgré de très bonnes idées scénaristiques, qui m'a fait pensé à un mix entre vice versa et Ralph. Ça ne révolutionne pas le genre, mais on passe un très bon moment
c2302t- Messages : 690
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Age : 50
Re: Dernier film visionné
The sundowners/Les horizons sans frontières (1960) de Fred Zinneman - 6,5/10

Un film d'aventure avec une belle distribution (Deborah Kerr, Robert Mitchum et Peter Ustinov) trop long et qui manque de rythme. Fred Zinneman ne s'est pas vraiment investi dans ce western australien.
A noter que le DVD annoncé zone 1 est en fait zone all et possède la VF.
Détour (1945) de Edgar G. Ulmer - 7,5/10

Une courte série B qui est devenue un archétype du film noir. Le personnage principal est écrasé par le destin qui s'acharne sur lui. Le metteur en scène utilise tous les subterfuges pour compenser le manque de moyens en particulier une voix off omniprésente qui augmente la dramatisation. Un film qui marque les esprits. Dommage que la version proposée soit d'aussi mauvaise qualité.

Un film d'aventure avec une belle distribution (Deborah Kerr, Robert Mitchum et Peter Ustinov) trop long et qui manque de rythme. Fred Zinneman ne s'est pas vraiment investi dans ce western australien.
A noter que le DVD annoncé zone 1 est en fait zone all et possède la VF.
Détour (1945) de Edgar G. Ulmer - 7,5/10

Une courte série B qui est devenue un archétype du film noir. Le personnage principal est écrasé par le destin qui s'acharne sur lui. Le metteur en scène utilise tous les subterfuges pour compenser le manque de moyens en particulier une voix off omniprésente qui augmente la dramatisation. Un film qui marque les esprits. Dommage que la version proposée soit d'aussi mauvaise qualité.
zardi- Messages : 1670
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phiphi931- Messages : 431
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