Dernier film visionné
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Re: Dernier film visionné
Furie / Fury (1936) de Fritz Lang - 9/10

Synopsis : Un prisonnier accusé à tort échappe de justesse à un lynchage et est laissé pour mort. Il décide alors de se venger en se faisant passer pour mort et en incriminant les lyncheurs pour son présumé meurtre.
En mentionnant ce film dans ma critique de Man hunt il m'est venu l'envie de le revoir. Pour son premier film sur le sol américain Fritz Lang frappe un grand coup et prend des risques car cette histoire de lynchage et de vengeance ne donne pas une bonne vision du comportement des américains. Au passage le réalisateur n'hésite pas à montrer la responsabilité des autorités qui sous prétexte d'être dans une année électorale n'envoient pas la garde nationale pour éviter le lynchage et il insiste sur l'absence de remords de la part des accusés.
Comme dans M le maudit ce qui lui importe ce n'est pas tant la notion de crime mais la manifestation de la justice. Pas de semblant de procès ici, au contraire, celui qui est montré est tout à fait honorable.
Les scènes de l'attaque de la prison et de la foule déchaînée sont remarquablement filmées avec un montage serré alternant des gros plans sur les visages déformés par la haine et des plans d'ensemble pour les scènes d'action avec des prises de vue spectaculaires.
Peut-être le plus grand rôle de Spencer Tracy ainsi que de Sylvia Sidney merveilleusement dirigés. Je me demande si le dernier plan où on les voit s'embrasser dans la salle de tribunal a été voulue par Lang ou bien si elle lui a été imposée malheureusement je n'ai pas pu profiter des bonus présents sur le DVD (entretien entre Peter Bogdanovich et Fritz Lang) car il sont en VO non sous titrés. Merci Warner

Synopsis : Un prisonnier accusé à tort échappe de justesse à un lynchage et est laissé pour mort. Il décide alors de se venger en se faisant passer pour mort et en incriminant les lyncheurs pour son présumé meurtre.
En mentionnant ce film dans ma critique de Man hunt il m'est venu l'envie de le revoir. Pour son premier film sur le sol américain Fritz Lang frappe un grand coup et prend des risques car cette histoire de lynchage et de vengeance ne donne pas une bonne vision du comportement des américains. Au passage le réalisateur n'hésite pas à montrer la responsabilité des autorités qui sous prétexte d'être dans une année électorale n'envoient pas la garde nationale pour éviter le lynchage et il insiste sur l'absence de remords de la part des accusés.
Comme dans M le maudit ce qui lui importe ce n'est pas tant la notion de crime mais la manifestation de la justice. Pas de semblant de procès ici, au contraire, celui qui est montré est tout à fait honorable.
Les scènes de l'attaque de la prison et de la foule déchaînée sont remarquablement filmées avec un montage serré alternant des gros plans sur les visages déformés par la haine et des plans d'ensemble pour les scènes d'action avec des prises de vue spectaculaires.
Peut-être le plus grand rôle de Spencer Tracy ainsi que de Sylvia Sidney merveilleusement dirigés. Je me demande si le dernier plan où on les voit s'embrasser dans la salle de tribunal a été voulue par Lang ou bien si elle lui a été imposée malheureusement je n'ai pas pu profiter des bonus présents sur le DVD (entretien entre Peter Bogdanovich et Fritz Lang) car il sont en VO non sous titrés. Merci Warner

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Re: Dernier film visionné
Katalin Varga (2009) de Peter Strickland - 7/10

Synopsis : Reniée par son époux et montrée du doigt dans le village, la jeune femme s’enfuit avec lui en charrette et s’engage dans un périple incertain. Voilà onze ans que Katalin n’a pas repris les routes de Transylvanie. Elle n’a pourtant rien oublié. Au fil du trajet, les paysages se font inquiétants et les autochtones plus méfiants. Mais Katalin s’entête parce qu’au bout du voyage l’attendent un passé et la possibilité de Rédemption…
Que ce film ait pu voir le jour tient du miracle. Tourné avec un budget de 30 000€, bloqué pendant presque 3 ans pour la post production il ne doit son salut que pour avoir été sélectionné au festival de Berlin où il reçut la récompense de l'ours d'argent.
A partir d'une histoire assez banale, à savoir la vengeance d'une femme qui a été violée et malgré des défauts dus au manque de moyens, le réalisateur anglais réussit une œuvre singulière empreinte d'onirisme grâce à des expérimentations sur l'image et le son dignes d'Andrei Zvyagintsev. J'ai été subjugué par l'actrice Ilda Péter qui joue le rôle principal.

Synopsis : Reniée par son époux et montrée du doigt dans le village, la jeune femme s’enfuit avec lui en charrette et s’engage dans un périple incertain. Voilà onze ans que Katalin n’a pas repris les routes de Transylvanie. Elle n’a pourtant rien oublié. Au fil du trajet, les paysages se font inquiétants et les autochtones plus méfiants. Mais Katalin s’entête parce qu’au bout du voyage l’attendent un passé et la possibilité de Rédemption…
Que ce film ait pu voir le jour tient du miracle. Tourné avec un budget de 30 000€, bloqué pendant presque 3 ans pour la post production il ne doit son salut que pour avoir été sélectionné au festival de Berlin où il reçut la récompense de l'ours d'argent.
A partir d'une histoire assez banale, à savoir la vengeance d'une femme qui a été violée et malgré des défauts dus au manque de moyens, le réalisateur anglais réussit une œuvre singulière empreinte d'onirisme grâce à des expérimentations sur l'image et le son dignes d'Andrei Zvyagintsev. J'ai été subjugué par l'actrice Ilda Péter qui joue le rôle principal.
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Re: Dernier film visionné
Atlantic city (1980) de Louis Malle - 8/10

Synopsis : Dave et sa compagne Chrissie débarquent à Atlantic City, sans un sou en poche. Ils demandent l’hospitalité à Sally, qui est à la fois l’épouse de Dave et la soeur de Chrissie. Rapidement, Dave cherche à conclure une affaire avec un trafiquant local. Il croise par hasard la route de Lou, voisin de Sally, un vieil homme qui ne jure que par les folles années d’Atlantic City.
Deuxième film américain de Louis malle qui avait quitté la France suite aux critiques sur le très controversé Lacombe Lucien. Après de nombreux projets avortés il met en image un roman qui se déroule à Atlantic city. Cette station balnéaire est en pleine mutation avec la constructions de nombreux casinos dans le but d'en faire la nouvelle Las Vegas de la côte Est. Tombé sous le charme de cet endroit, le réalisateur le filme sous tous les angles aussi bien les palaces que les quartiers où résident les déshérités venus des mégalopoles voisines. Ces deux visages de l'Amérique sont confortés par les deux personnages principaux.
Burt Lancaster qui sortait d'une période italienne faste avec Le guépard et 1900 incarne magistralement ce vieux gangster qui ne rêve que de la période révolue. Quand à Susan Sarandon qui vit une aventure avec Louis Malle depuis le tournage de La petite, elle incarne cette jeunesse qui ne pense qu'à réaliser ce rêve américain quitte à le réaliser à l'étranger.
Cette dualité permet eu metteur en scène de rendre hommage aux films noir de la période glorieuse d'Hollywood tout en mettant à mal la décade écoulée avec un portrait sans concession d'un couple paumé de hippies.
Un film au rythme parfois lent mais qui porte un regard authentique bien que rempli de nostalgie sur cette Amérique qui a du mal à se renouveler.

Synopsis : Dave et sa compagne Chrissie débarquent à Atlantic City, sans un sou en poche. Ils demandent l’hospitalité à Sally, qui est à la fois l’épouse de Dave et la soeur de Chrissie. Rapidement, Dave cherche à conclure une affaire avec un trafiquant local. Il croise par hasard la route de Lou, voisin de Sally, un vieil homme qui ne jure que par les folles années d’Atlantic City.
Deuxième film américain de Louis malle qui avait quitté la France suite aux critiques sur le très controversé Lacombe Lucien. Après de nombreux projets avortés il met en image un roman qui se déroule à Atlantic city. Cette station balnéaire est en pleine mutation avec la constructions de nombreux casinos dans le but d'en faire la nouvelle Las Vegas de la côte Est. Tombé sous le charme de cet endroit, le réalisateur le filme sous tous les angles aussi bien les palaces que les quartiers où résident les déshérités venus des mégalopoles voisines. Ces deux visages de l'Amérique sont confortés par les deux personnages principaux.
Burt Lancaster qui sortait d'une période italienne faste avec Le guépard et 1900 incarne magistralement ce vieux gangster qui ne rêve que de la période révolue. Quand à Susan Sarandon qui vit une aventure avec Louis Malle depuis le tournage de La petite, elle incarne cette jeunesse qui ne pense qu'à réaliser ce rêve américain quitte à le réaliser à l'étranger.
Cette dualité permet eu metteur en scène de rendre hommage aux films noir de la période glorieuse d'Hollywood tout en mettant à mal la décade écoulée avec un portrait sans concession d'un couple paumé de hippies.
Un film au rythme parfois lent mais qui porte un regard authentique bien que rempli de nostalgie sur cette Amérique qui a du mal à se renouveler.
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Re: Dernier film visionné
Danny Balint/The believer (2001) de Henry Bean - 6,5/10

Synopsis : Danny Balint, un skinhead new-yorkais de 22 ans violemment antisémite, s’en prend régulièrement aux Juifs. Il fréquente un groupuscule d’extrême-droite où ses talents d’orateur sont très appréciés. Il se voit donc confier la mission de collecter des fonds pour ce mouvement néo-nazi en quête de respectabilité. Mais Danny Balint est lui-même juif.
Un activiste anti-juif lui-même d'origine juive : pas facile à expliquer, d'autant que le personnage à réellement existé. Le scénario nous présente ici un jeune homme très intelligent respectueux des bases de la religion juive (en particulier de tout ce qui est sacré comme la Torah) ce qui inévitablement aboutit à des contradictions encore plus graves et incroyables que le personnage de départ, si bien qu'on est vite agacé par toutes ces justifications trop artificielles et peu crédibles. Dommage car Ryan Gosling livre une prestation louable et que certaines scènes sont bien filmées. Bref un film qui n'a pas la puissance qu'on pourrait attendre d'un tel sujet.

Synopsis : Danny Balint, un skinhead new-yorkais de 22 ans violemment antisémite, s’en prend régulièrement aux Juifs. Il fréquente un groupuscule d’extrême-droite où ses talents d’orateur sont très appréciés. Il se voit donc confier la mission de collecter des fonds pour ce mouvement néo-nazi en quête de respectabilité. Mais Danny Balint est lui-même juif.
Un activiste anti-juif lui-même d'origine juive : pas facile à expliquer, d'autant que le personnage à réellement existé. Le scénario nous présente ici un jeune homme très intelligent respectueux des bases de la religion juive (en particulier de tout ce qui est sacré comme la Torah) ce qui inévitablement aboutit à des contradictions encore plus graves et incroyables que le personnage de départ, si bien qu'on est vite agacé par toutes ces justifications trop artificielles et peu crédibles. Dommage car Ryan Gosling livre une prestation louable et que certaines scènes sont bien filmées. Bref un film qui n'a pas la puissance qu'on pourrait attendre d'un tel sujet.
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Re: Dernier film visionné
Jack l'éventreur/The lodger (1944) de John Brahm - 8/10

Synopsis : 1888. Londres est secouée par une série de meurtres sanglants, et l’on vient de découvrir la quatrième victimes de l’assassin. Au même moment, l’étrange M. Slade loue une chambre dans une maison bourgeoise et tombe amoureux de la nièce de sa logeuse.
Un remake très réussi de The lodger d'Alfred Hitchcock grâce à deux artistes.
John Brahm utilise parfaitement les décors de Thomas Little reconstituant le quartier de Whitechapel avec ses rues étroites et tortueuses témoin la scène d'ouverture où se déroule le premier meurtre en hors-champ. Sa maîtrise technique, l'utilisation parfaite des éclairages, les angles de prises de vue, sont dignes des meilleurs expressionnistes et on a par moment l'impression d'être dans un film noir.
Laird Cregar dans le rôle titre, avec sa carrure massive est inquiétant et donne aussi une impression de fragilité avec son expression apeurée. La tension créée par son comportement est très forte dans toutes les scènes où il se trouve face à la ravissante Merle Obéron. Ce film en fera une star mais pour un temps très court car il décèdera lors du tournage de Hangover square la même année.
Même si on sait d'entrée qui est Jack l'éventreur le suspense est habilement maintenu car on ne sait jamais comment les choses vont évoluer.

Synopsis : 1888. Londres est secouée par une série de meurtres sanglants, et l’on vient de découvrir la quatrième victimes de l’assassin. Au même moment, l’étrange M. Slade loue une chambre dans une maison bourgeoise et tombe amoureux de la nièce de sa logeuse.
Un remake très réussi de The lodger d'Alfred Hitchcock grâce à deux artistes.
John Brahm utilise parfaitement les décors de Thomas Little reconstituant le quartier de Whitechapel avec ses rues étroites et tortueuses témoin la scène d'ouverture où se déroule le premier meurtre en hors-champ. Sa maîtrise technique, l'utilisation parfaite des éclairages, les angles de prises de vue, sont dignes des meilleurs expressionnistes et on a par moment l'impression d'être dans un film noir.
Laird Cregar dans le rôle titre, avec sa carrure massive est inquiétant et donne aussi une impression de fragilité avec son expression apeurée. La tension créée par son comportement est très forte dans toutes les scènes où il se trouve face à la ravissante Merle Obéron. Ce film en fera une star mais pour un temps très court car il décèdera lors du tournage de Hangover square la même année.
Même si on sait d'entrée qui est Jack l'éventreur le suspense est habilement maintenu car on ne sait jamais comment les choses vont évoluer.
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Re: Dernier film visionné
Mountain patrol/Kekexili (2004) de Lu Chuan - 7,5/10

Synopsis : Pour empêcher le massacre des dernières antilopes du Tibet, une patrouille de volontaires part à la recherche d’un gang de braconniers. Une poursuite impitoyable s’engage…
Un film d'aventure dur et sans concession qui fonctionne comme un western mais qui se passe à 5000m d'altitude sur un plateau tibétain et ça change tout. Car les chasseurs comme les chassés doivent lutter pour survivre face à une nature impitoyable. Un des premiers films du réalisateur de City of life and death, motivé par cette histoire vraie, et qui s'est attaché surtout à montrer la détermination de ces hommes qui au péril de leur vie veulent défendre les valeurs de leur pays.

Synopsis : Pour empêcher le massacre des dernières antilopes du Tibet, une patrouille de volontaires part à la recherche d’un gang de braconniers. Une poursuite impitoyable s’engage…
Un film d'aventure dur et sans concession qui fonctionne comme un western mais qui se passe à 5000m d'altitude sur un plateau tibétain et ça change tout. Car les chasseurs comme les chassés doivent lutter pour survivre face à une nature impitoyable. Un des premiers films du réalisateur de City of life and death, motivé par cette histoire vraie, et qui s'est attaché surtout à montrer la détermination de ces hommes qui au péril de leur vie veulent défendre les valeurs de leur pays.
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Re: Dernier film visionné
The strangers (2016) de Na Hong-Jin - 7,5/10

Synopsis : La vie d’un village coréen est bouleversée par une série de meurtres, aussi sauvages qu’inexpliqués, qui frappe au hasard la petite communauté rurale. La présence, récente, d’un vieil étranger qui vit en ermite dans les bois attise rumeurs et superstitions. Face à l’incompétence de la police pour trouver l’assassin ou une explication sensée, certains villageois demandent l’aide d’un chaman. Pour Jong-gu aussi, un policier dont la famille est directement menacée, il est de plus en plus évident que ces crimes ont un fondement surnaturel…
Un film qui commence comme un polar avec des policiers qui accumulent les gaffes à croire qu'ils sont attardés. Puis petit à petit le fantastique entre en jeu et le climat devient de plus en plus angoissant avec le personnage principal qui se comporte enfin comme un père normal attaché à sa famille. Le réalisateur cherche à brouiller les pistes et même si à la fin du film on n'a pas tout compris la tension est tellement forte qu'on sombre dans l'angoisse recherchée.
J'ai lu des tas de critiques pour voir si je pouvais trouver des éclaircissements à propos du rôle de certains personnages mais je n'en ai trouvé aucun. J'ai trouvé un peu ridicule la scène du chaman par contre l'effet qu'elle induit est très fort.

Synopsis : La vie d’un village coréen est bouleversée par une série de meurtres, aussi sauvages qu’inexpliqués, qui frappe au hasard la petite communauté rurale. La présence, récente, d’un vieil étranger qui vit en ermite dans les bois attise rumeurs et superstitions. Face à l’incompétence de la police pour trouver l’assassin ou une explication sensée, certains villageois demandent l’aide d’un chaman. Pour Jong-gu aussi, un policier dont la famille est directement menacée, il est de plus en plus évident que ces crimes ont un fondement surnaturel…
Un film qui commence comme un polar avec des policiers qui accumulent les gaffes à croire qu'ils sont attardés. Puis petit à petit le fantastique entre en jeu et le climat devient de plus en plus angoissant avec le personnage principal qui se comporte enfin comme un père normal attaché à sa famille. Le réalisateur cherche à brouiller les pistes et même si à la fin du film on n'a pas tout compris la tension est tellement forte qu'on sombre dans l'angoisse recherchée.
J'ai lu des tas de critiques pour voir si je pouvais trouver des éclaircissements à propos du rôle de certains personnages mais je n'en ai trouvé aucun. J'ai trouvé un peu ridicule la scène du chaman par contre l'effet qu'elle induit est très fort.
zardi- Messages : 1670
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Localisation : 06
Re: Dernier film visionné
Je me demande vraiment comment tu fais pour regarder autant de films ( ça fait quasiment une moyenne de 2 par jour, voire peut-être 3 certains jours ! ), surtout avec les bonus en plus ! !!
Certes, en durée de visionnage, ça ne pose pas de problème dans l'absolu : entre 3h30 et 4 h de films + à la louche 1 H de bonus ( pour 2 par jour
), ça tient très bien dans une journée, mais perso, avec toutes mes occupations annexes, je ne libère que le temps de 1 ou 2 films par semaine ( OU théâtre, OU concert, OU série ........ mais jamais "ET" ou alors très rarement ) ! C'est à croire que le cinéma occupe au quotidien autour de 50 à 60 % de ton temps
!!!
Très sincèrement, ça me sidère !



Certes, en durée de visionnage, ça ne pose pas de problème dans l'absolu : entre 3h30 et 4 h de films + à la louche 1 H de bonus ( pour 2 par jour



Très sincèrement, ça me sidère !
Barbe-Noire- Messages : 3040
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Age : 67
Localisation : Seine et Marne ( et toujours "à la croisée des chemins" )
Re: Dernier film visionné
Barbe-Noire a écrit:Je me demande vraiment comment tu fais pour regarder autant de films ( ça fait quasiment une moyenne de 2 par jour, voire peut-être 3 certains jours ! ), surtout avec les bonus en plus ! !!![]()
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Certes, en durée de visionnage, ça ne pose pas de problème dans l'absolu : entre 3h30 et 4 h de films + à la louche 1 H de bonus ( pour 2 par jour), ça tient très bien dans une journée, mais perso, avec toutes mes occupations annexes, je ne libère que le temps de 1 ou 2 films par semaine ( OU théâtre, OU concert, OU série ........ mais jamais "ET" ou alors très rarement ) ! C'est à croire que le cinéma occupe au quotidien autour de 50 à 60 % de ton temps
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!!!
Très sincèrement, ça me sidère !
Le cinéma a toujours été une passion pour moi. A l'âge de 12 ans j'ai eu un prof de français qui nous faisait voir un film chaque semaine (en salle de cinéma) et qui nous faisait débattre après le film. Non seulement j'ai pu voir de beaux films mais j'ai pris le goût de l'analyse filmique. Il m'est arrivé de voir un film 2 ou 3 fois de suite car à l'époque on n'était pas obligé de quitter la salle quand la séance était terminée. Puis à cause du travail j'ai été plus ou moins sevré de cinéma faute de temps libre. Mais quand j'ai été à la retraite j'ai repris mes vieilles habitudes. Avec le confinement faute de pouvoir jouer au bridge et aux échecs je me suis cantonné à la lecture, au visionnage et au dessin. Je réserve les moments de travail en début et en fin de journée quand il ne fait pas très chaud. Ca ne me pose aucun problème de voir 2 films par jour et souvent des extras avec des documentaires. Mais je ne regarde jamais la télé comme un spectateur lambda, je cible toujours ce que je regarde.
zardi- Messages : 1670
Date d'inscription : 07/11/2019
Localisation : 06
Re: Dernier film visionné
Barbe-Noire a écrit:Je me demande vraiment comment tu fais pour regarder autant de films ( ça fait quasiment une moyenne de 2 par jour, voire peut-être 3 certains jours ! ), surtout avec les bonus en plus ! !!![]()
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Certes, en durée de visionnage, ça ne pose pas de problème dans l'absolu : entre 3h30 et 4 h de films + à la louche 1 H de bonus ( pour 2 par jour), ça tient très bien dans une journée, mais perso, avec toutes mes occupations annexes, je ne libère que le temps de 1 ou 2 films par semaine ( OU théâtre, OU concert, OU série ........ mais jamais "ET" ou alors très rarement ) ! C'est à croire que le cinéma occupe au quotidien autour de 50 à 60 % de ton temps
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Très sincèrement, ça me sidère !
oui moi aussi je me la suis posé surtout que je suppose qu'il travaille, non ?
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