Dernier film visionné
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Re: Dernier film visionné
Baraka (1992) de Ron Fricke - 7,5/10
Synopsis : Baraka est à la fois un chef-d’oeuvre du cinéma, une pièce unique et une source d’inspiration pour tous les films sur la nature qui ont suivi. Expérience cinématographique hors du commun, Baraka est une ode à la beauté du monde, une cascade d’images somptueuses tournée aux quatre coins de la Terre, dans 24 pays. C’est aussi une réflexion sur l’homme, la civilisation et son avenir…
Un beau documentaire centré surtout sur les activités humaines (religion, monuments, vestiges, déplacements de foules, rites). Le reste des images sont réservées aux paysages. Visuellement réussi mais un peu disparate. Aucun commentaire mais les musiques sont adaptées aux contrées filmées. Les documentaires Koyaanisqatsi et Powaqqatsi du même réalisateur seront plus aboutis.
Synopsis : Baraka est à la fois un chef-d’oeuvre du cinéma, une pièce unique et une source d’inspiration pour tous les films sur la nature qui ont suivi. Expérience cinématographique hors du commun, Baraka est une ode à la beauté du monde, une cascade d’images somptueuses tournée aux quatre coins de la Terre, dans 24 pays. C’est aussi une réflexion sur l’homme, la civilisation et son avenir…
Un beau documentaire centré surtout sur les activités humaines (religion, monuments, vestiges, déplacements de foules, rites). Le reste des images sont réservées aux paysages. Visuellement réussi mais un peu disparate. Aucun commentaire mais les musiques sont adaptées aux contrées filmées. Les documentaires Koyaanisqatsi et Powaqqatsi du même réalisateur seront plus aboutis.
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Re: Dernier film visionné
Les gens de la nuit / Night people de Nunnally Johnson - 6/10
Synopsis : Alors que la Guerre Froide est à son comble, un soldat américain disparaît dans Berlin, alors coupé en deux. Très vite, il apparaît qu’il a été enlevé par les Russes et emmené à l’Est. Le colonel Van Dyke va tout mettre en oeuvre pour le récupérer à sa façon. Mais sa tâche va être compliquée par le très influent père du jeune homme et les nombreux espions qui opèrent dans le secteur.
Un film écrit et réalisé par Nunnally Johnson avec Gregory Peck et Broderick Crawford, alléchant à priori, surtout après vu L'homme au complet gris du même réalisateur avec déjà Gregory Peck à l'affiche et si l'on sait que le scénario de films comme Les raisins de la colère, Les douze salopards avait été écrit par le même scénariste. Mauvais pari. Le film est quelconque et pêche à la fois par son scénario et sa mise en scène. Pour un film d'espionnage, il n'y a pratiquement pas de suspens et par contre beaucoup de bavardage. L'échange des prisonniers à la fin du film est à la limite du grotesque. La seule chose intéressante est l'affrontement verbal entre Peck et Crawford où le premier rabroue le deuxième. Un film à oublier très vite.
Synopsis : Alors que la Guerre Froide est à son comble, un soldat américain disparaît dans Berlin, alors coupé en deux. Très vite, il apparaît qu’il a été enlevé par les Russes et emmené à l’Est. Le colonel Van Dyke va tout mettre en oeuvre pour le récupérer à sa façon. Mais sa tâche va être compliquée par le très influent père du jeune homme et les nombreux espions qui opèrent dans le secteur.
Un film écrit et réalisé par Nunnally Johnson avec Gregory Peck et Broderick Crawford, alléchant à priori, surtout après vu L'homme au complet gris du même réalisateur avec déjà Gregory Peck à l'affiche et si l'on sait que le scénario de films comme Les raisins de la colère, Les douze salopards avait été écrit par le même scénariste. Mauvais pari. Le film est quelconque et pêche à la fois par son scénario et sa mise en scène. Pour un film d'espionnage, il n'y a pratiquement pas de suspens et par contre beaucoup de bavardage. L'échange des prisonniers à la fin du film est à la limite du grotesque. La seule chose intéressante est l'affrontement verbal entre Peck et Crawford où le premier rabroue le deuxième. Un film à oublier très vite.
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Re: Dernier film visionné
Adam's apples (2005) de Anders Thomas Jensen - 8/10
Synopsis : Avec ses rangers, son crâne rasé et sa croix celtique tatouée sur le biceps, Adam affiche clairement ses sympathies. De son côté, Ivan, visage ouvert, chaussettes dans les sandales et col blanc de rigueur, accueille Adam dans sa paroisse. Convaincu de la bonté fondamentale de l’homme, ce pasteur se voue tout entier et tout sourire à sa mission : accueillir d’anciens taulards et oeuvrer à leur réhabilitation. Mais que peut valoir la foi d’Ivan face à la malveillance faite homme ?
Premier film que je vois de ce réalisateur et ce ne sera pas le dernier. Porté par un duo talentueux d'acteurs (Mads Mikkelsen et Ulrich Thomsen) cette comédie brille par son écriture, ses dialogues et son humour noir. Malgré quelques répétitions dans les situations comiques, les personnages sont tous atypiques et sont à la fois féroces et émouvants. Un conte sur la lutte entre le bien et le mal dont la morale fait un peu penser à celle de certains films de Capra.
Synopsis : Avec ses rangers, son crâne rasé et sa croix celtique tatouée sur le biceps, Adam affiche clairement ses sympathies. De son côté, Ivan, visage ouvert, chaussettes dans les sandales et col blanc de rigueur, accueille Adam dans sa paroisse. Convaincu de la bonté fondamentale de l’homme, ce pasteur se voue tout entier et tout sourire à sa mission : accueillir d’anciens taulards et oeuvrer à leur réhabilitation. Mais que peut valoir la foi d’Ivan face à la malveillance faite homme ?
Premier film que je vois de ce réalisateur et ce ne sera pas le dernier. Porté par un duo talentueux d'acteurs (Mads Mikkelsen et Ulrich Thomsen) cette comédie brille par son écriture, ses dialogues et son humour noir. Malgré quelques répétitions dans les situations comiques, les personnages sont tous atypiques et sont à la fois féroces et émouvants. Un conte sur la lutte entre le bien et le mal dont la morale fait un peu penser à celle de certains films de Capra.
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Re: Dernier film visionné
hier soir >>> le Prisonnier d'Alcatraz
que voilà un bon film, un peut long peut-être, mais ce regarde sans aucun moment d'ennui
film restauré et en N&B
que voilà un bon film, un peut long peut-être, mais ce regarde sans aucun moment d'ennui
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Re: Dernier film visionné
Les marins de l'orgueilleux / Down to the Sea in Ships (1949) de Henry Hathaway - 7,5/10
Synopsis : Capitaine d’un baleinier, Joy sait que la mort approche. Avant de quitter ce monde, il aimerait faire de son petit fils Jed un marin et lui inculquer les valeurs des hommes de mer. Le garçon se prend d’amitié pour le second du navire, Dan Lunceford, dont Joy désapprouve les méthodes. Au fil des aventures et des périls, Lunceford fera preuve de courage et gagnera le respect du capitaine.
Un bon film d'aventures où ce n'est pas l'action qui prime mais la transmission des valeurs positives à travers l'initiation d'un garçon aux règles de vie sur un navire. Composition savoureuse de Lionel Barrymore en vieux patriarche inflexible mais tendre à la fois. Un des premiers rôles de Richard Widmark où il n'est pas un méchant et enfin Dean Stockwell qui montre du talent dès son plus jeune âge.
Synopsis : Capitaine d’un baleinier, Joy sait que la mort approche. Avant de quitter ce monde, il aimerait faire de son petit fils Jed un marin et lui inculquer les valeurs des hommes de mer. Le garçon se prend d’amitié pour le second du navire, Dan Lunceford, dont Joy désapprouve les méthodes. Au fil des aventures et des périls, Lunceford fera preuve de courage et gagnera le respect du capitaine.
Un bon film d'aventures où ce n'est pas l'action qui prime mais la transmission des valeurs positives à travers l'initiation d'un garçon aux règles de vie sur un navire. Composition savoureuse de Lionel Barrymore en vieux patriarche inflexible mais tendre à la fois. Un des premiers rôles de Richard Widmark où il n'est pas un méchant et enfin Dean Stockwell qui montre du talent dès son plus jeune âge.
zardi- Messages : 1977
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Re: Dernier film visionné
The road home / Wo de fu qin mu qin (1999) de Zhang Yimou - 8/10
Synopsis : Un homme d’affaires revient dans son village natal, pour les funérailles de son père, l’instituteur. Un long flash-back nous ramène 40 ans en arrière, à l’époque de la rencontre de ses parents, et de leur amour contrarié par la politique…
Une histoire simple voire naïve avec des paysages d'une beauté à couper le souffle. La BO est magnifique et les personnages sont attachants en particulier celui interprété par Zhang Ziyi. Film qui a reçu l'Ours d'argent à la Berlinale de 1999.
Synopsis : Un homme d’affaires revient dans son village natal, pour les funérailles de son père, l’instituteur. Un long flash-back nous ramène 40 ans en arrière, à l’époque de la rencontre de ses parents, et de leur amour contrarié par la politique…
Une histoire simple voire naïve avec des paysages d'une beauté à couper le souffle. La BO est magnifique et les personnages sont attachants en particulier celui interprété par Zhang Ziyi. Film qui a reçu l'Ours d'argent à la Berlinale de 1999.
zardi- Messages : 1977
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Re: Dernier film visionné
hier soir >>> les nouveaux mutants
bof pas tout compris, c'est plus de mon age ses trucs
bof pas tout compris, c'est plus de mon age ses trucs
Re: Dernier film visionné
Oui c'est très décevant par rapport aux x-men, déjà que les derniers films de la série étaient très en dessous des premiers films de la série.l'andalous a écrit:hier soir >>> les nouveaux mutants
bof pas tout compris, c'est plus de mon age ses trucs
alm93- Messages : 862
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Re: Dernier film visionné
L'espion noir / The spy in black (1939) de Michael Powell - 8/10
Synopsis : 1917. Un commandant de sous-marin allemand est chargé d’une mission d’espionnage. Il se rend en Ecosse pour découvrir les manoeuvres de la flotte britannique. Il y trouve une jeune espionne se faisant passer pour une institutrice, et le Lieutenant Ashington, un traître à la solde des Allemands. Mais la jalousie s’immisce entre les deux hommes, qui tombent sous le charme de la jeune femme infiltrée. Au point de compromettre leur mission ?
Deuxième long métrage de Michael Powell et première collaboration avec Emeric Pressburger (scénariste), ce film d'espionnage se démarque des films du genre par un refus de tout manichéisme où les allemands ne sont pas présentés comme des brutes sanguinaires, fait remarquable alors que l'Angleterre est à la veille de rentrer en guerre. Le trio d'acteurs formé par Conrad Veil (Le cabinet du Dr Caligari), Valérie Hobson (La fiancée de Frankenstein) et Sebastian Shaw est très bien dirigé et forme un triangle amoureux captivant. La mise en scène est inventive et on a droit à quelques belles séquences soutenues par la musique de Miklós Rózsa. Un film qui annonce déjà Le 49ème parallèle tourné deux ans plus tard.
Synopsis : 1917. Un commandant de sous-marin allemand est chargé d’une mission d’espionnage. Il se rend en Ecosse pour découvrir les manoeuvres de la flotte britannique. Il y trouve une jeune espionne se faisant passer pour une institutrice, et le Lieutenant Ashington, un traître à la solde des Allemands. Mais la jalousie s’immisce entre les deux hommes, qui tombent sous le charme de la jeune femme infiltrée. Au point de compromettre leur mission ?
Deuxième long métrage de Michael Powell et première collaboration avec Emeric Pressburger (scénariste), ce film d'espionnage se démarque des films du genre par un refus de tout manichéisme où les allemands ne sont pas présentés comme des brutes sanguinaires, fait remarquable alors que l'Angleterre est à la veille de rentrer en guerre. Le trio d'acteurs formé par Conrad Veil (Le cabinet du Dr Caligari), Valérie Hobson (La fiancée de Frankenstein) et Sebastian Shaw est très bien dirigé et forme un triangle amoureux captivant. La mise en scène est inventive et on a droit à quelques belles séquences soutenues par la musique de Miklós Rózsa. Un film qui annonce déjà Le 49ème parallèle tourné deux ans plus tard.
zardi- Messages : 1977
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c2302t aime ce message
Re: Dernier film visionné
hier soir un Audiard >>> Dheepan
Particulier ce film, Palme d'Or du Festival de Canne 2015.
Normalement c'est pas trop mon genre, mais regardé sans problème, film remarquable, humain, dur, fort, Palme d'or entièrement méritée.
Particulier ce film, Palme d'Or du Festival de Canne 2015.
Normalement c'est pas trop mon genre, mais regardé sans problème, film remarquable, humain, dur, fort, Palme d'or entièrement méritée.
Re: Dernier film visionné
Vivre libre / This land is mine (1943) de Jean Renoir - 7,5/10
Synopsis : Albert Lory est instituteur dans une petite ville de la France occupée. Secrètement amoureux de sa jeune collègue Louise Martin et affublé d’une mère très possessive, sa lâcheté entraîne les railleries de ses élèves. Il est cependant attiré par les mouvements de résistance, et intègre un réseau…
Un film de commande que Jean Renoir tourna alors qu'il était aux USA pendant que la France était occupée. Destiné aux américains pour justifier l'entrée en guerre contre l'Allemagne nazie, il fut rejeté par la critique et les spectateurs quand il fut projeté en France en 1946. Ceux-ci ne pardonnèrent pas à un exilé volontaire qui n'avait pas subi l'occupation de donner une image aussi négative de leur pays. Il est en effet évident même si au début du film on présente le lieu comme "quelque part en Europe" qu'il s'agit de la France, trop de clichés l'attestent. De plus des scènes du film sont invraisemblables comme par exemple le discours dans le tribunal, véritable ode à la résistance, qu'on laisse prononcer sans l'empêcher.
Si on excepte ce problème de fond, le film a de grandes qualités.
Tout d'abord les interprétations de Charles Laughton avec son extraordinaire plaidoirie, de George Sanders parfait dans son rôle de collaborateur et de Maureen O'Hara belle et émouvante. La mise en scène est précise et va à l'essentiel avec quelques séquences mémorables comme le suicide de Lambert, la fuite du saboteur ou la lecture des droits de l'homme dans la classe avant et après l'arrestation. Ce n'est pas le meilleur film de Renoir mais c'est un bon film tout de même.
Synopsis : Albert Lory est instituteur dans une petite ville de la France occupée. Secrètement amoureux de sa jeune collègue Louise Martin et affublé d’une mère très possessive, sa lâcheté entraîne les railleries de ses élèves. Il est cependant attiré par les mouvements de résistance, et intègre un réseau…
Un film de commande que Jean Renoir tourna alors qu'il était aux USA pendant que la France était occupée. Destiné aux américains pour justifier l'entrée en guerre contre l'Allemagne nazie, il fut rejeté par la critique et les spectateurs quand il fut projeté en France en 1946. Ceux-ci ne pardonnèrent pas à un exilé volontaire qui n'avait pas subi l'occupation de donner une image aussi négative de leur pays. Il est en effet évident même si au début du film on présente le lieu comme "quelque part en Europe" qu'il s'agit de la France, trop de clichés l'attestent. De plus des scènes du film sont invraisemblables comme par exemple le discours dans le tribunal, véritable ode à la résistance, qu'on laisse prononcer sans l'empêcher.
Si on excepte ce problème de fond, le film a de grandes qualités.
Tout d'abord les interprétations de Charles Laughton avec son extraordinaire plaidoirie, de George Sanders parfait dans son rôle de collaborateur et de Maureen O'Hara belle et émouvante. La mise en scène est précise et va à l'essentiel avec quelques séquences mémorables comme le suicide de Lambert, la fuite du saboteur ou la lecture des droits de l'homme dans la classe avant et après l'arrestation. Ce n'est pas le meilleur film de Renoir mais c'est un bon film tout de même.
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Re: Dernier film visionné
Un coin de ciel bleu / A patch of blue (1965) de Guy Green - 8/10
Synopsis : Aveugle, Selina d’Arcey voit désormais le monde à travers les yeux du bienveillant Gordon Ralfe. Selina, frêle Cendrillon élevée par une mère débauchée, est blanche. Elle ignore que l’homme qui lui apprend à composer un numéro de téléphone ou à trouver les toilettes est noir…
Un beau mélodrame qui peut paraître dépassé de nos jours mais qui à l'époque était audacieux pour le sujet traité. Un noir de classe moyenne qui aide une jeune blanche aveugle venant d'un quartier défavorisé. Le scénariste n'a toutefois pas trop insisté sur l'aspect racial mais plutôt sur l'aspect psychologique de cette jeune aveugle isolée de tout et de tous et qui est soumise à la méchanceté de sa mère. Shelley Winters est odieuse à souhait et a été récompensée par un oscar. Sidney Poitier illumine l'écran de son sourire et de sa décontraction dans un rôle proche de celui qu'il avait interprété quelques années plus tôt dans Le lys des champs. Belle composition pleine de sensibilité de Elizabeth Hartman qui m'était jusque là inconnue. La BO du film signée Jerry Goldsmith est aérienne et souligne bien les moments de bonheur dans le parc.
Synopsis : Aveugle, Selina d’Arcey voit désormais le monde à travers les yeux du bienveillant Gordon Ralfe. Selina, frêle Cendrillon élevée par une mère débauchée, est blanche. Elle ignore que l’homme qui lui apprend à composer un numéro de téléphone ou à trouver les toilettes est noir…
Un beau mélodrame qui peut paraître dépassé de nos jours mais qui à l'époque était audacieux pour le sujet traité. Un noir de classe moyenne qui aide une jeune blanche aveugle venant d'un quartier défavorisé. Le scénariste n'a toutefois pas trop insisté sur l'aspect racial mais plutôt sur l'aspect psychologique de cette jeune aveugle isolée de tout et de tous et qui est soumise à la méchanceté de sa mère. Shelley Winters est odieuse à souhait et a été récompensée par un oscar. Sidney Poitier illumine l'écran de son sourire et de sa décontraction dans un rôle proche de celui qu'il avait interprété quelques années plus tôt dans Le lys des champs. Belle composition pleine de sensibilité de Elizabeth Hartman qui m'était jusque là inconnue. La BO du film signée Jerry Goldsmith est aérienne et souligne bien les moments de bonheur dans le parc.
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