La Fille...
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La Fille...
Thriller, Romances, Drames, Comédies, Polars... de nombreux films ont un titre qui commence par "La Fille..." Sans rapport entre eux sinon ce lien ténu par leur titre, je présente ici les 14 qui sont dans ma collection de films dans l'ordre de préférence, libre à chacun d'en rajouter, car je suis loin d'être exhaustif...
La fille qui rêvait d'un bidon d'essence et d'une allumette

Après l'enquête menée avec Mikael Blomkvist, journaliste pour la revue Millénium, Lisbeth Salander a disparu dans la nature. De retour en Suède, elle est mêlée à une histoire de meurtre d'un journaliste préparant un article sur un réseau de prostitution. Soupçonnée par la police, elle mène de son côté une enquête afin de découvrir l'identité du meurtrier, qui semble être lié à l'avocat Bjurman, qu'elle fait toujours chanter. Pendant ce temps, Mikael tente d'entrer en contact avec elle, et essaie par le fait même de découvrir l'identité du mystérieux Zala.
Deuxième volet de la trilogie Millenium, ce film ne peut être vu seul, mais il est à mon avis le plus intéressant des trois car il met en place tous les éléments de compréhension du personnage fascinant qu'est Lisbeth Salander, jouée par une Noomi Rapace habitée par son rôle. Action, suspense, coups tordus et rebondissements inattendus, tous les ingrédients sont là pour que le spectateur reste scotché devant son écran du début à la fin du film, avant de se précipiter sur le troisième volet pour connaitre le sort réservé à Lisbeth...
Ma note : 10/10
La Fille au bracelet

Lise a 18 ans, elle vit dans un quartier résidentiel sans histoire et vient d'avoir son bac. Mais depuis deux ans, Lise porte un bracelet électronique car elle est accusée d'avoir assassiné sa meilleure amie.
Film de procès à l'écriture brillante, le scénario place le spectateur dans la position des jurés, puisqu'aucun élément, autre que ceux évoqués dans la salle du palais de justice, n'est apporté à sa connaissance. On bascule sans cesse de "coupable" à "non coupable", jusqu'au dénouement. On est vraiment pris dans l'ambiance, avec des acteurs solides, et une interprétation très juste de la jeune Mélissa Guers qui montre un beau potentiel d'actrice dès son premier rôle.
Ma note : 9/10
La Fille du puisatier

1939, en Provence. Patricia, une jeune fille de 18 ans, fait la connaissance du bel aviateur Jacques Mazel. C'est le coup de foudre, mais leur liaison est éphémère : le jeune homme est envoyé au front alors que Patricia attend un enfant de leur rencontre. Les riches parents du garçon crient au chantage et Patricia et son père, le puisatier, ont seuls la joie d'accueillir l'enfant. Une joie que les Mazel leur envieront bientôt, car Jacques est porté disparu...
Pour son premier film en temps que réalisateur, Daniel Auteuil se lance dans un remake d'un film de Pagnol, 25 ans après avoir brillé en temps qu'acteur dans "Jean de Florette et "Manon des sources". Le film est une réussite, avec une reconstitution minutieuse de l'époque, sous un soleil provençal enchanteur. Le film est à replacer dans les mœurs de l'époque, car la trame scénaristique apparaitrait bien mince dans le monde d'aujourd'hui, mais on s'attache aux personnages, interprétés avec brio par Daniel Auteuil lui-même, Jean-Pierre Darroussin, Sabine Azéma et Kad Merad, et par une toute jeune Astrid Bergès-Frisbey dans le rôle titre.
Ma note : 8.5/10
La Fille du train

Rachel Watson a sombré dans la dépression et l'alcool depuis son divorce de Tom. Son ex-mari s'est depuis remis en ménage dans l'ancienne maison du couple avec sa maîtresse, Anna, et leur fille. Afin d'occuper ses journées et tromper sa colocataire sur la perte de son emploi, Rachel fait quotidiennement l'aller-retour en train vers son ancien lieu de travail, passant près de son ancienne adresse. Elle voit tous les matins depuis sa fenêtre un couple voisin de Tom et Anna, qu'elle imagine comme un couple heureux et sans histoire. Un soir, elle voit la femme avec un autre homme, et apprend quelques jours plus tard sa disparition, et son nom, Megan Hipwell. Persuadée qu'elle a vu quelque chose concernant la disparition de Megan pendant une nuit d'ébriété, Rachel va se rapprocher du mari, Scott Hipwell, et va ainsi croiser à nouveau Tom et Anna...
Adapté assez fidèlement du roman de Paula Hawkins, "La Fille du train" est un thriller assez tortueux, qu'il faut suivre avec attention pour en comprendre tous les ressorts compte tenu des nombreux flash-back. Le suspense est maintenu jusqu'au dernier moment, avec le mystère qui règne autour des trois femmes du film jouées par Emily Blunt, bluffante dans son rôle de femme usée par l'alcool, Haley Bennett et Rebecca Ferguson, les deux rôle masculins principaux étant tenus par Luke Evans et Justin Theroux.
Ma note : 8.5/10
La Fille sur le pont

Un pont de Paris, la nuit, une fille, Adèle, penchée au-dessus des eaux glacées de la Seine avec une grosse envie d'y noyer ses tristesses. Derrière, un homme surgit, Gabor, il est lanceur de couteaux, il a besoin d'une cible...
Cette comédie romantique raconte l'histoire de deux paumés qui découvrent la chance et le bonheur en s'associant, et qui sont proches de tout perdre après s'être séparés. Le duo Daniel Auteuil et Vanessa Paradis fonctionne à merveille et rend ce film passionnant à suivre, sans le moindre temps mort, le film étant de plus assez court. Il a été nominé pour 8 Césars, seul Auteuil obtenant celui du meilleur acteur, et a aussi connu une belle carrière aux Etats-Unis, ce qui est assez rare pour un film étranger. Le film a été tourné en couleur, mais lors du montage Leconte a choisi le N&B, ce qui donne au film une esthétique particulière très réussie pour ce conte poétique dont les personnages se révèlent à la fois sombres et lumineux.
Ma note : 8/10
La Fille du 14 juillet

Hector qui a rencontré Truquette au Louvre le 14 juillet, n'a qu'une préoccupation: séduire cette fille qui l'obsède. Le meilleur moyen c'est encore de foncer l'emmener voir la mer et Pator ne saurait lui donner tort, surtout si elle est accompagnée de sa copine Charlotte... Flanqués de l'inévitable Bertier, les voilà partis, empruntant les petites routes de France dont les caisses sont vides. Car c'est la crise ! Il faut remettre la France au boulot et, en plein été, le gouvernement décide d'avancer la rentrée d'un mois
Comédie légère et presque loufoque par moment, ce film est la première réalisation d'Antonin Peretjatko et révèle le talent fou de Vimala Pons qui se retrouve pour la première fois avec le rôle principal dans un film, où elle utilise à la fois ses talents de comédienne et ceux d'équilibriste, acquis par une formation aux arts du cirque. Sorte de road movie à l'atmosphère décalée et très originale, nous conduisant de Paris jusqu'aux plages du midi en passant par le Lot, le rythme du film est sans temps mort et permet de passer un agréable moment sans prise de tête, alors que la plupart des sujets de société y sont abordés sous l'angle de la dérision.
Ma note : 8/10
La Fille de Monaco

Bertrand, avocat d'assises. Brillant, médiatique, cultivé, cérébral, compliqué. Pas très courageux. Aime les femmes, surtout pour leur parler. Fraîchement arrivé à Monaco pour y assurer la défense d'une meurtrière septuagénaire. Christophe, agent de sécurité chargé de la protection de Bertrand. Franc, direct, taciturne, sportif. Aime les femmes sauf pour leur parler. Admire chez les autres la culture et la maîtrise du langage qui lui font défaut. Audrey, présentatrice météo sur une chaîne câblée à Monaco. Ambitieuse, culottée, sexy, incontrôlable. N'a pas du tout l'intention de réciter le bulletin météo pendant longtemps. Comprend assez mal le sens de certains mots, notamment "limites", "tabou", et "scrupules".
Débuts réussis au cinéma pour Louise Bourgoin, alors connue comme la Miss météo de Canal+, cet qui lui vaut une nomination au César du meilleur espoir féminin, Le film est servi par le contraste entre l'intellectuel coincé joué par un Fabrice Luchini inspiré et la pétillante Audrey, manipulatrice sous l’œil attentif d'un Roschy Zem lui aussi parfait dans son rôle. Les dialogues sont incisifs, et le rythme est enlevé, mais on est surpris quand le ton léger du début fait place au drame, pour finir sur une note très mélancolique.
La Fille de d'Artagnan

Pensionnaire d'un couvent en Périgord où elle fut jadis placée par son père, le fameux d'Artagnan, Eloïse assiste impuissante au meurtre de la mère supérieure, qui protégeait l'évasion d'un des esclaves noirs dont l'odieux duc de Crassac assure le trafic via l'Amérique. Décidée à venger ce crime, à travers lequel elle décèle la trace d'un complot contre le futur roi Louis XIV, elle se rend à Paris pour en alerter son père. Mais celui-ci, vieilli et en disgrâce, n'en a cure. Elle se rend alors directement à la Cour, où Mazarin l'écoute puis la fait poursuivre afin de récupérer le message secret qu'elle disait avoir intercepté.
Le roman d'Alexandre Dumas a été adapté une quarantaine de fois au cinéma entre 1903 (par Méliès) jusqu'à la version de Bourboulon qui va sortir l'année prochaine, et ici Tavernier en propose une variation où le rôle principal est tenue par une fille de d'Artagnan inventée pour la circonstance et permettant à Sophie Marceau de se lancer dans le film de cap et d'épée. Sans être très originale, l'intrigue est bien menée, avec de l'action, un peu de suspense et un zeste d'érotisme et on soulignera le jeu de Philippe Noiret, au top comme souvent pour cet acteur.
Ma note : 7.5/10
La Fille coupée en deux

Une jeune femme, blonde et séduisante présentatrice météo dans une chaîne de télévision locale, séduit un romancier à succès cultivant l'aphorisme mais qui ne peut se résoudre à quitter son épouse. Lassée, pervertie sexuellement, malheureuse, abandonnée, elle se tourne vers un jeune milliardaire issu d'une bonne famille, mais dérangé. Prise dans un tourbillon familial et la tempête de ses sentiments, elle sombre...
Si le titre fait allusion au numéro de prestidigitation qui apparait en fin de film, il évoque également la descente aux enfers d'une jeune femme "coupée en deux" dans sa vie sentimentale, car elle est amoureuse d'un pervers bien plus âgé qu'elle, qui souhaite seulement "se taper une jeunette", et elle est aimé d'un jeune homme friqué imbu de lui-même, qui ne peut supporter qu'on lui résiste et qui fait preuve d'une jalousie maladive. Chabrol brosse un tableau féroce de la bourgeoisie très aisée qui n'agit que dans son intérêt propre, un thème assez récurrent chez lui, le film étant bien servi par une Ludivine Sagnier plutôt attachante face à deux prédateurs incarnés par François Berléand et Benoît Magimel.
Ma note : 7.5/10
La Fille inconnue

Jenny, jeune médecin généraliste, se sent coupable de ne pas avoir ouvert la porte de son cabinet à une jeune fille retrouvée morte peu de temps après. Apprenant par la police que rien ne permet de l'identifier, Jenny n'a plus qu'un seul but : trouver le nom de la jeune fille pour qu'elle ne soit pas enterrée anonymement, qu'elle ne disparaisse pas comme si elle n'avait jamais existé.
Si le cœur de l'intrigue s'apparente à un polar cherchant à résoudre l'énigme du meurtre d'une jeune inconnue, l'intérêt repose aussi dans le quotidien d'une jeune femme médecin confrontée à des patients pas toujours faciles dans une banlieue plutôt défavorisée de Liège. Filmée par les frères Dardenne, Adèle Haenel est présente à l'écran dans la quasi totalité du métrage et porte tout le film, incarnant une jeune femme aussi dévouée que volontaire et accrocheuse.
Ma note : 7/10
La Fille de Brest

Dans son hôpital de Brest, une pneumologue découvre un lien direct entre des morts suspectes et la prise d'un médicament commercialisé depuis 30 ans : le Mediator. De l'isolement des débuts à l'explosion médiatique de l'affaire, l'histoire est une bataille de David contre Goliath pour voir enfin triompher la vérité !
Ce film est l'adaptation du livre de la pneumologue Irène Frachon, "Mediator 150 mg : combien de morts ?", qui raconte son combat de plusieurs années contre les laboratoires Servier pour démontrer la nocivité du Mediator. La réalisatrice Emmanuelle Bercot filme l'affaire de manière assez exhaustive, même si des raccourcis étaient indispensables pour raconter en 2h des péripéties qui ont duré plusieurs années. C'est Sidse Babett Knudsen qui joue le rôle titre, Benoît Magimel incarnant le Professeur Le Bihan, personnage fictif inspiré du Professeur Le Gal qui a aidé la pneumologue dans son combat, et dont le rôle réel a été un peu modifié pour les besoins du scénario.
Ma note : 7/10
La Fille de nulle part

Michel, professeur de mathématiques à la retraite, vit seul depuis la mort de sa femme et occupe ses journées à l'écriture d'un essai sur les croyances qui façonnent la vie quotidienne. Un jour, il recueille Dora, une jeune femme sans domicile fixe, qu'il trouve blessée sur le pas de sa porte et l'héberge le temps de son rétablissement. Sa présence ramène un peu de fraîcheur dans la vie de Michel, mais peu à peu, l'appartement devient le théâtre de phénomènes mystérieux.
Avant dernier film de jean-Claude Brisseau, il a été tourné avec des moyens dérisoires dans l'appartement même du réalisateur, qui joue lui-même un des deux personnages principaux. La charmante Virginie Legeay déjà vue dans "Les Anges exterminateurs" lui donne la réplique, les rares autres acteurs ne faisant pratiquement que de la figuration. Mais cette économie de moyens permet de se concentrer sur des dialogues sophistiqués à portée philosophique et sur une réalisation rigoureuse rendant le film captivant bien qu'il y ait très peu d'action. Comme dans ses trois films précédents, Brisseau introduit des éléments surnaturels qui passent très bien et ajoutent une touche poétique à un ensemble assez réussi.
Ma note : 7/10
La Fille de Ryan

La belle et obstinée Rosy ne peut oublier sa romance passionnée avec un bel officier anglais. Pourtant, l'amour que lui porte son mari se révèlera plus grand encore : il la soutiendra lorsque son histoire d'adultère éclatera au grand jour.
Auréolé des succès de "Le Pont de la rivière Kwaï", "Lawrence d'Arabie" et "Le Docteur Jivago", David Lean décide de tourner une adaptation libre du roman de Flaubert "Madame Bovary", replaçant l'histoire en Irlande au temps de la première guerre mondiale. C'est Sarah Miles qui joue le rôle de Rosy, la femme, Robert Mitchum celui de Charles, le mari, et Christopher Jones le major Doryan, l'amant. Le film, trop long, sera un semi-échec en salles ; néanmoins il recevra 4 nominations aux Oscars, pour deux récompenses effectives, mais restera en terme de réussite très en deçà de ses trois prédécesseurs.
Ma note : 6.5/10
La Fille de Trieste

Créateur célèbre de bandes dessinées polissonnes, Dino Romani tombe immédiatement sous le charme félin de Nicole, une jeune femme dont il assiste au sauvetage sur une plage. Si la belle rescapée le comble de ses charmes, c'est pour ensuite mieux le tourmenter en lui annonçant son mariage avec un autre homme. Curieux, Dino enquête sur l'insaisissable et mystérieuse Nicole dont il apprend tant le goût pour le mensonge et la manipulation que la maladie qui la ronge. Nicole qu'il doit désormais sauver d'elle-même...
Directement inspiré d'un roman écrit par le réalisateur lui-même, ce drame à la connotation érotique assez marquée, est certainement un des plus beaux rôles d'Ornella Muti, qui retrouve Ben Gazzara un an après avoir tourné avec lui "Conte de la folie ordinaire" de Marco Ferreri. Là aussi, la folie de la jeune femme est au coeur du scénario, Nicole étant soignée dans un hôpital psychiatrique par un médecin joué par Jean-Claude Brialy. A noter une fin un peu énigmatique, le sourire esquissé par Dino qui vient de voir Nicole s'enfoncer dans l'eau pouvant marquer le soulagement de la voir réapparaitre, ou au contraire de se dire que sa noyade est aussi la fin de ses maux... chacun pouvant choisir la fin qui lui convient...
Ma note : 6.5/10
La fille qui rêvait d'un bidon d'essence et d'une allumette

Après l'enquête menée avec Mikael Blomkvist, journaliste pour la revue Millénium, Lisbeth Salander a disparu dans la nature. De retour en Suède, elle est mêlée à une histoire de meurtre d'un journaliste préparant un article sur un réseau de prostitution. Soupçonnée par la police, elle mène de son côté une enquête afin de découvrir l'identité du meurtrier, qui semble être lié à l'avocat Bjurman, qu'elle fait toujours chanter. Pendant ce temps, Mikael tente d'entrer en contact avec elle, et essaie par le fait même de découvrir l'identité du mystérieux Zala.
Deuxième volet de la trilogie Millenium, ce film ne peut être vu seul, mais il est à mon avis le plus intéressant des trois car il met en place tous les éléments de compréhension du personnage fascinant qu'est Lisbeth Salander, jouée par une Noomi Rapace habitée par son rôle. Action, suspense, coups tordus et rebondissements inattendus, tous les ingrédients sont là pour que le spectateur reste scotché devant son écran du début à la fin du film, avant de se précipiter sur le troisième volet pour connaitre le sort réservé à Lisbeth...
Ma note : 10/10
La Fille au bracelet

Lise a 18 ans, elle vit dans un quartier résidentiel sans histoire et vient d'avoir son bac. Mais depuis deux ans, Lise porte un bracelet électronique car elle est accusée d'avoir assassiné sa meilleure amie.
Film de procès à l'écriture brillante, le scénario place le spectateur dans la position des jurés, puisqu'aucun élément, autre que ceux évoqués dans la salle du palais de justice, n'est apporté à sa connaissance. On bascule sans cesse de "coupable" à "non coupable", jusqu'au dénouement. On est vraiment pris dans l'ambiance, avec des acteurs solides, et une interprétation très juste de la jeune Mélissa Guers qui montre un beau potentiel d'actrice dès son premier rôle.
Ma note : 9/10
La Fille du puisatier

1939, en Provence. Patricia, une jeune fille de 18 ans, fait la connaissance du bel aviateur Jacques Mazel. C'est le coup de foudre, mais leur liaison est éphémère : le jeune homme est envoyé au front alors que Patricia attend un enfant de leur rencontre. Les riches parents du garçon crient au chantage et Patricia et son père, le puisatier, ont seuls la joie d'accueillir l'enfant. Une joie que les Mazel leur envieront bientôt, car Jacques est porté disparu...
Pour son premier film en temps que réalisateur, Daniel Auteuil se lance dans un remake d'un film de Pagnol, 25 ans après avoir brillé en temps qu'acteur dans "Jean de Florette et "Manon des sources". Le film est une réussite, avec une reconstitution minutieuse de l'époque, sous un soleil provençal enchanteur. Le film est à replacer dans les mœurs de l'époque, car la trame scénaristique apparaitrait bien mince dans le monde d'aujourd'hui, mais on s'attache aux personnages, interprétés avec brio par Daniel Auteuil lui-même, Jean-Pierre Darroussin, Sabine Azéma et Kad Merad, et par une toute jeune Astrid Bergès-Frisbey dans le rôle titre.
Ma note : 8.5/10
La Fille du train

Rachel Watson a sombré dans la dépression et l'alcool depuis son divorce de Tom. Son ex-mari s'est depuis remis en ménage dans l'ancienne maison du couple avec sa maîtresse, Anna, et leur fille. Afin d'occuper ses journées et tromper sa colocataire sur la perte de son emploi, Rachel fait quotidiennement l'aller-retour en train vers son ancien lieu de travail, passant près de son ancienne adresse. Elle voit tous les matins depuis sa fenêtre un couple voisin de Tom et Anna, qu'elle imagine comme un couple heureux et sans histoire. Un soir, elle voit la femme avec un autre homme, et apprend quelques jours plus tard sa disparition, et son nom, Megan Hipwell. Persuadée qu'elle a vu quelque chose concernant la disparition de Megan pendant une nuit d'ébriété, Rachel va se rapprocher du mari, Scott Hipwell, et va ainsi croiser à nouveau Tom et Anna...
Adapté assez fidèlement du roman de Paula Hawkins, "La Fille du train" est un thriller assez tortueux, qu'il faut suivre avec attention pour en comprendre tous les ressorts compte tenu des nombreux flash-back. Le suspense est maintenu jusqu'au dernier moment, avec le mystère qui règne autour des trois femmes du film jouées par Emily Blunt, bluffante dans son rôle de femme usée par l'alcool, Haley Bennett et Rebecca Ferguson, les deux rôle masculins principaux étant tenus par Luke Evans et Justin Theroux.
Ma note : 8.5/10
La Fille sur le pont

Un pont de Paris, la nuit, une fille, Adèle, penchée au-dessus des eaux glacées de la Seine avec une grosse envie d'y noyer ses tristesses. Derrière, un homme surgit, Gabor, il est lanceur de couteaux, il a besoin d'une cible...
Cette comédie romantique raconte l'histoire de deux paumés qui découvrent la chance et le bonheur en s'associant, et qui sont proches de tout perdre après s'être séparés. Le duo Daniel Auteuil et Vanessa Paradis fonctionne à merveille et rend ce film passionnant à suivre, sans le moindre temps mort, le film étant de plus assez court. Il a été nominé pour 8 Césars, seul Auteuil obtenant celui du meilleur acteur, et a aussi connu une belle carrière aux Etats-Unis, ce qui est assez rare pour un film étranger. Le film a été tourné en couleur, mais lors du montage Leconte a choisi le N&B, ce qui donne au film une esthétique particulière très réussie pour ce conte poétique dont les personnages se révèlent à la fois sombres et lumineux.
Ma note : 8/10
La Fille du 14 juillet

Hector qui a rencontré Truquette au Louvre le 14 juillet, n'a qu'une préoccupation: séduire cette fille qui l'obsède. Le meilleur moyen c'est encore de foncer l'emmener voir la mer et Pator ne saurait lui donner tort, surtout si elle est accompagnée de sa copine Charlotte... Flanqués de l'inévitable Bertier, les voilà partis, empruntant les petites routes de France dont les caisses sont vides. Car c'est la crise ! Il faut remettre la France au boulot et, en plein été, le gouvernement décide d'avancer la rentrée d'un mois
Comédie légère et presque loufoque par moment, ce film est la première réalisation d'Antonin Peretjatko et révèle le talent fou de Vimala Pons qui se retrouve pour la première fois avec le rôle principal dans un film, où elle utilise à la fois ses talents de comédienne et ceux d'équilibriste, acquis par une formation aux arts du cirque. Sorte de road movie à l'atmosphère décalée et très originale, nous conduisant de Paris jusqu'aux plages du midi en passant par le Lot, le rythme du film est sans temps mort et permet de passer un agréable moment sans prise de tête, alors que la plupart des sujets de société y sont abordés sous l'angle de la dérision.
Ma note : 8/10
La Fille de Monaco

Bertrand, avocat d'assises. Brillant, médiatique, cultivé, cérébral, compliqué. Pas très courageux. Aime les femmes, surtout pour leur parler. Fraîchement arrivé à Monaco pour y assurer la défense d'une meurtrière septuagénaire. Christophe, agent de sécurité chargé de la protection de Bertrand. Franc, direct, taciturne, sportif. Aime les femmes sauf pour leur parler. Admire chez les autres la culture et la maîtrise du langage qui lui font défaut. Audrey, présentatrice météo sur une chaîne câblée à Monaco. Ambitieuse, culottée, sexy, incontrôlable. N'a pas du tout l'intention de réciter le bulletin météo pendant longtemps. Comprend assez mal le sens de certains mots, notamment "limites", "tabou", et "scrupules".
Débuts réussis au cinéma pour Louise Bourgoin, alors connue comme la Miss météo de Canal+, cet qui lui vaut une nomination au César du meilleur espoir féminin, Le film est servi par le contraste entre l'intellectuel coincé joué par un Fabrice Luchini inspiré et la pétillante Audrey, manipulatrice sous l’œil attentif d'un Roschy Zem lui aussi parfait dans son rôle. Les dialogues sont incisifs, et le rythme est enlevé, mais on est surpris quand le ton léger du début fait place au drame, pour finir sur une note très mélancolique.
La Fille de d'Artagnan

Pensionnaire d'un couvent en Périgord où elle fut jadis placée par son père, le fameux d'Artagnan, Eloïse assiste impuissante au meurtre de la mère supérieure, qui protégeait l'évasion d'un des esclaves noirs dont l'odieux duc de Crassac assure le trafic via l'Amérique. Décidée à venger ce crime, à travers lequel elle décèle la trace d'un complot contre le futur roi Louis XIV, elle se rend à Paris pour en alerter son père. Mais celui-ci, vieilli et en disgrâce, n'en a cure. Elle se rend alors directement à la Cour, où Mazarin l'écoute puis la fait poursuivre afin de récupérer le message secret qu'elle disait avoir intercepté.
Le roman d'Alexandre Dumas a été adapté une quarantaine de fois au cinéma entre 1903 (par Méliès) jusqu'à la version de Bourboulon qui va sortir l'année prochaine, et ici Tavernier en propose une variation où le rôle principal est tenue par une fille de d'Artagnan inventée pour la circonstance et permettant à Sophie Marceau de se lancer dans le film de cap et d'épée. Sans être très originale, l'intrigue est bien menée, avec de l'action, un peu de suspense et un zeste d'érotisme et on soulignera le jeu de Philippe Noiret, au top comme souvent pour cet acteur.
Ma note : 7.5/10
La Fille coupée en deux

Une jeune femme, blonde et séduisante présentatrice météo dans une chaîne de télévision locale, séduit un romancier à succès cultivant l'aphorisme mais qui ne peut se résoudre à quitter son épouse. Lassée, pervertie sexuellement, malheureuse, abandonnée, elle se tourne vers un jeune milliardaire issu d'une bonne famille, mais dérangé. Prise dans un tourbillon familial et la tempête de ses sentiments, elle sombre...
Si le titre fait allusion au numéro de prestidigitation qui apparait en fin de film, il évoque également la descente aux enfers d'une jeune femme "coupée en deux" dans sa vie sentimentale, car elle est amoureuse d'un pervers bien plus âgé qu'elle, qui souhaite seulement "se taper une jeunette", et elle est aimé d'un jeune homme friqué imbu de lui-même, qui ne peut supporter qu'on lui résiste et qui fait preuve d'une jalousie maladive. Chabrol brosse un tableau féroce de la bourgeoisie très aisée qui n'agit que dans son intérêt propre, un thème assez récurrent chez lui, le film étant bien servi par une Ludivine Sagnier plutôt attachante face à deux prédateurs incarnés par François Berléand et Benoît Magimel.
Ma note : 7.5/10
La Fille inconnue

Jenny, jeune médecin généraliste, se sent coupable de ne pas avoir ouvert la porte de son cabinet à une jeune fille retrouvée morte peu de temps après. Apprenant par la police que rien ne permet de l'identifier, Jenny n'a plus qu'un seul but : trouver le nom de la jeune fille pour qu'elle ne soit pas enterrée anonymement, qu'elle ne disparaisse pas comme si elle n'avait jamais existé.
Si le cœur de l'intrigue s'apparente à un polar cherchant à résoudre l'énigme du meurtre d'une jeune inconnue, l'intérêt repose aussi dans le quotidien d'une jeune femme médecin confrontée à des patients pas toujours faciles dans une banlieue plutôt défavorisée de Liège. Filmée par les frères Dardenne, Adèle Haenel est présente à l'écran dans la quasi totalité du métrage et porte tout le film, incarnant une jeune femme aussi dévouée que volontaire et accrocheuse.
Ma note : 7/10
La Fille de Brest

Dans son hôpital de Brest, une pneumologue découvre un lien direct entre des morts suspectes et la prise d'un médicament commercialisé depuis 30 ans : le Mediator. De l'isolement des débuts à l'explosion médiatique de l'affaire, l'histoire est une bataille de David contre Goliath pour voir enfin triompher la vérité !
Ce film est l'adaptation du livre de la pneumologue Irène Frachon, "Mediator 150 mg : combien de morts ?", qui raconte son combat de plusieurs années contre les laboratoires Servier pour démontrer la nocivité du Mediator. La réalisatrice Emmanuelle Bercot filme l'affaire de manière assez exhaustive, même si des raccourcis étaient indispensables pour raconter en 2h des péripéties qui ont duré plusieurs années. C'est Sidse Babett Knudsen qui joue le rôle titre, Benoît Magimel incarnant le Professeur Le Bihan, personnage fictif inspiré du Professeur Le Gal qui a aidé la pneumologue dans son combat, et dont le rôle réel a été un peu modifié pour les besoins du scénario.
Ma note : 7/10
La Fille de nulle part

Michel, professeur de mathématiques à la retraite, vit seul depuis la mort de sa femme et occupe ses journées à l'écriture d'un essai sur les croyances qui façonnent la vie quotidienne. Un jour, il recueille Dora, une jeune femme sans domicile fixe, qu'il trouve blessée sur le pas de sa porte et l'héberge le temps de son rétablissement. Sa présence ramène un peu de fraîcheur dans la vie de Michel, mais peu à peu, l'appartement devient le théâtre de phénomènes mystérieux.
Avant dernier film de jean-Claude Brisseau, il a été tourné avec des moyens dérisoires dans l'appartement même du réalisateur, qui joue lui-même un des deux personnages principaux. La charmante Virginie Legeay déjà vue dans "Les Anges exterminateurs" lui donne la réplique, les rares autres acteurs ne faisant pratiquement que de la figuration. Mais cette économie de moyens permet de se concentrer sur des dialogues sophistiqués à portée philosophique et sur une réalisation rigoureuse rendant le film captivant bien qu'il y ait très peu d'action. Comme dans ses trois films précédents, Brisseau introduit des éléments surnaturels qui passent très bien et ajoutent une touche poétique à un ensemble assez réussi.
Ma note : 7/10
La Fille de Ryan

La belle et obstinée Rosy ne peut oublier sa romance passionnée avec un bel officier anglais. Pourtant, l'amour que lui porte son mari se révèlera plus grand encore : il la soutiendra lorsque son histoire d'adultère éclatera au grand jour.
Auréolé des succès de "Le Pont de la rivière Kwaï", "Lawrence d'Arabie" et "Le Docteur Jivago", David Lean décide de tourner une adaptation libre du roman de Flaubert "Madame Bovary", replaçant l'histoire en Irlande au temps de la première guerre mondiale. C'est Sarah Miles qui joue le rôle de Rosy, la femme, Robert Mitchum celui de Charles, le mari, et Christopher Jones le major Doryan, l'amant. Le film, trop long, sera un semi-échec en salles ; néanmoins il recevra 4 nominations aux Oscars, pour deux récompenses effectives, mais restera en terme de réussite très en deçà de ses trois prédécesseurs.
Ma note : 6.5/10
La Fille de Trieste

Créateur célèbre de bandes dessinées polissonnes, Dino Romani tombe immédiatement sous le charme félin de Nicole, une jeune femme dont il assiste au sauvetage sur une plage. Si la belle rescapée le comble de ses charmes, c'est pour ensuite mieux le tourmenter en lui annonçant son mariage avec un autre homme. Curieux, Dino enquête sur l'insaisissable et mystérieuse Nicole dont il apprend tant le goût pour le mensonge et la manipulation que la maladie qui la ronge. Nicole qu'il doit désormais sauver d'elle-même...
Directement inspiré d'un roman écrit par le réalisateur lui-même, ce drame à la connotation érotique assez marquée, est certainement un des plus beaux rôles d'Ornella Muti, qui retrouve Ben Gazzara un an après avoir tourné avec lui "Conte de la folie ordinaire" de Marco Ferreri. Là aussi, la folie de la jeune femme est au coeur du scénario, Nicole étant soignée dans un hôpital psychiatrique par un médecin joué par Jean-Claude Brialy. A noter une fin un peu énigmatique, le sourire esquissé par Dino qui vient de voir Nicole s'enfoncer dans l'eau pouvant marquer le soulagement de la voir réapparaitre, ou au contraire de se dire que sa noyade est aussi la fin de ses maux... chacun pouvant choisir la fin qui lui convient...
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Re: La Fille...
J'en ai 4 : le "Millenium" ( au cœur de la trilogie bien sûr ) auquel je mettrais 9/10, "La fille de Ryan", que je considère comme plutôt mineur
dans la filmo de David Lean ( juste 6/10, quoique quand même devant "La route des Indes" que je trouve le moins bon du cinéaste ), comparé bien sûr à ses plus grands succès, "La fille du train" & "La fille du puisatier" qui sont encore blistés .
Par contre, j'ai bien sûr aussi l'original de Pagnol ( 7/10 ) avec Raimu, Josette Day et Fernandel, à mon sens un poil inférieur à sa trilogie "Marius-Fanny-César" et surtout à "La femme du boulanger" .
J'ai aussi "La fille qui en savait trop", de Mario Bava, considéré comme le film qui a donné naissance au Giallo, mais dont je n'apprécie pas trop la fin ( ouverte
: "C'est-y vrai , c'est-y pas vrai ? , dont on sait que tu n'aimes pas trop le principe non plus
) . Pour moi, ça vaut un 5,5/10, Bava et mais aussi Dario Argento ayant fait nettement mieux ensuite !
Enfin j'ai "La fille du désert" , western de Raoul Walsh, que je me souviens vaguement avoir vu à la télé il y a assez longtemps, mais trop loin pour que je me souvienne suffisamment du scénario, et que donc je ne vais pas noter .
Et, refrain connu
chez moi, il est sous cello !

Par contre, j'ai bien sûr aussi l'original de Pagnol ( 7/10 ) avec Raimu, Josette Day et Fernandel, à mon sens un poil inférieur à sa trilogie "Marius-Fanny-César" et surtout à "La femme du boulanger" .
J'ai aussi "La fille qui en savait trop", de Mario Bava, considéré comme le film qui a donné naissance au Giallo, mais dont je n'apprécie pas trop la fin ( ouverte


Enfin j'ai "La fille du désert" , western de Raoul Walsh, que je me souviens vaguement avoir vu à la télé il y a assez longtemps, mais trop loin pour que je me souvienne suffisamment du scénario, et que donc je ne vais pas noter .
Et, refrain connu

Barbe-Noire- Messages : 3039
Date d'inscription : 07/11/2019
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Localisation : Seine et Marne ( et toujours "à la croisée des chemins" )
Re: La Fille...
Une liste rapide des films que j'ai vus dont le titre commence par La fille.
La fille de Ryan / Ryan's Daughter (1970) de David Lean - 8,5/10
La fille à la valise / La ragazza con la valigia (1961) de Valerio Zurlini - 8,5/10
La fille en noir / To koritsi me ta mavra (1956) de Michael Cacoyannis - 8/10
La fille du puisatier (1940) de Marcel Pagnol - 8/10
La fille du désert / Colorado Territory (1949) de Raoul Walsh - 8/10
La fille aux allumettes / Tulitikkutehtaan tyttö (1990) d'Aki Kaurismäki - 7,5/10
La fille sur le pont (1999) de Patrice Leconte - 7,5/10
La fille du bois maudit / The trail of the Lonesome Pine (1936) d'Henry Hathaway - 7,5/10
La fille dans la vitrine / La ragazza in vetrina (1961) de Luciano Emmer - 7,5/10
La fille de la cinquième avenue / Fifth avenue girl (1939) de Gregory La Cava - 7/10
La fille au bracelet (2020) de Stéphane Demoustier - 7/10
La fille de l'eau (1925) de Jean Renoir - 7/10
La fille sur la balançoire / The girl in the red velvet swing (1955) de Richard Fleischer - 7/10
La fille du juge (2006) de William Karel - 6,5/10
La fille du puisatier (2011) de Daniel Auteuil - 6,5/10
La fille inconnue (2016) de Jean-Pierre et Luc Dardenne - 6,5/10
Je les ai en DVD mais je ne les ai pas encore vus :
La fille du docteur Jekyll / Daughter of Dr. Jekyll(1957) de Edgar G. Ulmer
La fille des marais / Das Mädchen vom Moorhof (1935) de Douglas Sirk
La fille de Ryan / Ryan's Daughter (1970) de David Lean - 8,5/10
La fille à la valise / La ragazza con la valigia (1961) de Valerio Zurlini - 8,5/10
La fille en noir / To koritsi me ta mavra (1956) de Michael Cacoyannis - 8/10
La fille du puisatier (1940) de Marcel Pagnol - 8/10
La fille du désert / Colorado Territory (1949) de Raoul Walsh - 8/10
La fille aux allumettes / Tulitikkutehtaan tyttö (1990) d'Aki Kaurismäki - 7,5/10
La fille sur le pont (1999) de Patrice Leconte - 7,5/10
La fille du bois maudit / The trail of the Lonesome Pine (1936) d'Henry Hathaway - 7,5/10
La fille dans la vitrine / La ragazza in vetrina (1961) de Luciano Emmer - 7,5/10
La fille de la cinquième avenue / Fifth avenue girl (1939) de Gregory La Cava - 7/10
La fille au bracelet (2020) de Stéphane Demoustier - 7/10
La fille de l'eau (1925) de Jean Renoir - 7/10
La fille sur la balançoire / The girl in the red velvet swing (1955) de Richard Fleischer - 7/10
La fille du juge (2006) de William Karel - 6,5/10
La fille du puisatier (2011) de Daniel Auteuil - 6,5/10
La fille inconnue (2016) de Jean-Pierre et Luc Dardenne - 6,5/10
Je les ai en DVD mais je ne les ai pas encore vus :
La fille du docteur Jekyll / Daughter of Dr. Jekyll(1957) de Edgar G. Ulmer
La fille des marais / Das Mädchen vom Moorhof (1935) de Douglas Sirk
zardi- Messages : 1670
Date d'inscription : 07/11/2019
Localisation : 06
surfeur51 et reno11 aiment ce message
Re: La Fille...
Beau travail Surfeur.
Je n'en ai vu que 3 dont La fille à la valise qui m'avait enchanté , La fille sur le pont et La fille de l'eau qui m'ont moins marqué.
Me reste en stock à découvrir : La fille de Ryan et La fille du puisatier (Pagnol)
Je n'en ai vu que 3 dont La fille à la valise qui m'avait enchanté , La fille sur le pont et La fille de l'eau qui m'ont moins marqué.
Me reste en stock à découvrir : La fille de Ryan et La fille du puisatier (Pagnol)
reno11- Messages : 88
Date d'inscription : 06/06/2022
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