Quizz cinéma
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Re: Quizz cinéma
SYNTHÈSE du quiz N° 5 :
Chef d'œuvre pour les uns, pensum pour les autres ( vous vous doutez que je fais partie de la seconde catégorie ) . C'est un film d' Alain Resnais, sorti en 1961 .
Sur chacune de mes séries, je quizze un film très nettement hors de mes radars ( "8 et demi" de Fellini, "Le 7ème sceau" de Bergman, "Contes de la lune vague après la pluie" de Mizoguchi, "L'enfant sauvage" de Truffaut ......... etc ) . J'ai souvent cité ce titre lors de mes diverses proses ( déjà dans DVDPC ) comme un des plus ennuyeux que j'ai pu voir dans ma vie . Avec mon message sibyllin de la photo 2, je comptais peut-être justement vous y faire penser ( vous devez commencer à me connaître ) pour que vous le trouviez un peu plus tôt, en allant ( sur intuition ou par raisonnement ) visionner la B.A. ou une galerie de photos . Vous y auriez trouvé toutes celles du quiz, car bien évidemment je n'ai pas ce film en DVD-BR, et je suis allé chercher des images sur le web ( d'où une certaine irrégularité des formats sur les diverses captures : je prends ce que je trouve ! )
Ceci étant, apparemment, personne ne semble l'avoir vu ( Zardi peut-être ? ) !
Ne l'ayant pas revu depuis plusieurs dizaines d'années ( et il y a fort peu de chances que ça se reproduise ), je ne peux franchement pas détailler le scénario avec précision ( de mémoire, je n'aurais d'ailleurs pas pu non plus quand je l'avais vu en diffusion télé ), et ma synthèse ( si l'on peut dire que c'en soit une ) va surtout se composer d'éléments piochés sur la toile !
Si vous vous y retrouvez ..................... ???????
Synopsis de base : dans un hôtel de luxe ( photo ci-dessous ), un homme tente de faire croire à une femme qu'ils se sont aimés un an auparavant, à Fredrikstad ? à Marienbad ?........... ou ailleurs !
1er avis ( sans ordre préférentiel ) , sur allociné :
Un objet cinématographique à nul autre pareil, que je serais bien incapable d'expliquer totalement, mais qui produit un effet hypnotique.
D'abord une longue incantation, un texte répété en boucle par une voix inconnue tandis que la caméra erre parmi les couloirs, les ors et les stucs d'un palais. Une femme, Delphine Seyrig. Un homme ( Giorgio Albertazzi ) qui l'a aimée l'année précédente dans un endroit inconnu, Marienbad ( peut-être ? ). Des bouts de conversations mondaines, vides, désespérément vides. Un jardin aux lignes géométriques.
Des statues. Des allées. Des couloirs, des salles de réception. Les mêmes lieux, les mêmes situations, les mêmes paroles, à l'infini. Un jeu éternellement recommencé, avec toujours la même issue.
Un labyrinthe d'images, de sons, de souvenirs auxquels se heurte notre homme. Une errance, une quête. Une bataille pour la mémoire. Pour que cet amour éperdu de l'année précédente ne se perde pas dans les couloirs sans fin de cet hôtel.
La force d'une volonté qui convoque les souvenirs de cet amour et tente de le ressusciter pour briser les chaînes de cet univers factice. Et au final, la victoire, l'échappée à deux vers l'extérieur. Avec pourtant la vague impression que tout était joué d'avance, que même cette reconquête de la femme aimée était dans l'ordre des choses, qu'elle n'échappe pas à l'implacable roue du destin.
L'amoureux victorieux d'aujourd'hui sera-t-il le mari délaissé de demain ? Peut-on vraiment sortir de cet hôtel à l'intérieur duquel chacun erre à la recherche de ses souvenirs ? La caméra d'Alain Resnais, d'une maîtrise souveraine, nous enferme par des images d'une beauté envoûtante dans cet étrange dédale de couloirs, où des pantins humains s'agitent et tentent d'exister. Elle épouse totalement le merveilleux texte d'Alain Robbe-Grillet ( formidablement dit par les voix de Giorgio Albertazzi et Sacha Pitoëff) et compose avec lui un poème entêtant, d'une brûlante intensité.
2ème avis , toujours sur Allociné :
"L'année dernière à Marienbad" est typiquement le genre de cinéma que j'exècre, à savoir celui de la "Nouvelle vague" et plus précisément d'Alain Resnais, cinéaste hautement surestimé. Le style de ce dernier est prétentieux et pédant et ce long métrage en est une excellente illustration !
Ce caractère prétentieux se remarque tant dans le propos que dans la technique. Certes, "L'année dernière à Marienbad" est une œuvre originale, mais originalité, bien que rimant avec qualité, n'en est pas un synonyme.
Le film se compose d'un montage alambiqué et supporté par une voix narrative monotone débitant un texte creux et soporifique. Il faut s'accrocher pour suivre ce monologue avec un minimum d'attention, d'autant plus que la voix est recouverte par une musique d'orgue insupportable.
Selon moi, Alain Resnais est un imposteur et "L'année dernière à Marienbad" constitue sûrement sa plus belle escroquerie.
( NB de votre serviteur : je jure que ce n'est pas moi qui ait écrit cette critique ) .
Voilà-Voilà ! Je pense qu'il est inutile d'en "copier-coller" plus, les écarts de perceptions des différentes proses sur ce film étant aussi énormes que le gouffre de Padirac . Soit les rédacteurs donnent 5 étoiles, soit 0 ou 1 ( juste parce que le film existe ) ! Si je voulais caricaturer ( j'aime bien caricaturer ), je dirais que nous avons d'un côté des intellos au Q.I. de 170, du genre mutants capables de décrypter autant un manuel de physique quantique qu'un film d' Alain Robbe-Grillet ( tiens, c'est bizarrement le scénariste et dialoguiste du film ), et de l'autre des béotiens basiques ( catégorie à laquelle j'appartiens probablement ) au Q.I. d'escargots de Bourgogne, infiniment trop cartésiens pour entrer si peu que ce soit dans les vertiges métaphysiques d'Alain Resnais ! A l'impossible nul n'est tenu dit-on !
Après mon visionnage télé ( dans les années 80 je crois ), j'avais en tête un qualificatif qui dominait les autres : un film SNOB ( les autres étant "abscons", "hermétique", "vain", "prétentieux" ..... ) mais pas forcément incompréhensible, puisque justement il n'y a pas grand chose à comprendre .
Et j'ai retrouvé ce mot ( avec toutefois un ressenti très différent ), dans la rubrique "Accueil critique" de wikipedia :
S'il est largement considéré comme un chef-d’œuvre, L'Année dernière à Marienbad suscite également des réactions négatives extrêmement fortes.
Le critique Michel Mourlet, par exemple, a vivement critiqué le film et plus généralement l'œuvre d' Alain Robbe-Grillet. Il dénonce le fait que « l'objet le plus anecdotique se trouve sur le même plan que le plus important ».
Il y voit un « esthétisme académique et vide ». À propos de L'Année dernière à Marienbad et d'Hiroshima mon amour, il écrit : « Aucune connaissance de l'acteur, aucun empire sur le décor, les éléments, aucun sens du récit, rien que de pauvres petits essais d'intellectuels qui jouent gravement à faire du cinéma. » Mourlet précise encore « que, pour s'ennuyer une heure trente d'un ennui noir, dense et irrémédiable, des foules puissent piétiner devant la porte et payer .......... C'est par des considérations de cet ordre que l'intérêt de L'Année dernière à Marienbad apparaît considérable ».
Son confrère mac-mahonien Jacques Lourcelles, dans son célèbre Dictionnaire des films, considère le film de Resnais comme « l'un des plus insanes ( contraire à la raison et au bon sens ) que le cinéma ait produit ».
À l'opposé, pour Michel Grisolia de L'Express : « Seule compte la beauté baroque de l'œuvre, délibérément répétitive, sans équivalent dans le cinéma. Succès de snobisme typiquement sixties ? Le snobisme, parfois, a du bon. »
Les personnages n'ont pas de nom : la femme, l'homme, le mari ( pas sûr ?? ) qui adore jouer aux allumettes ( jeu que l'on retrouve dans les défis de l'émission Fort Boyard ) et qui gagne toujours !
Les autres sont juste des "personnages de l'hôtel" ! Mais visiblement les identités n'ont strictement aucun intérêt dans cet OFNI, qui est une sorte d'auberge espagnole : Resnais et Robbe-Grillet proposent quelque chose, vous y mettez ce que vous voulez !
Le film a obtenu le lion d'Or à la Mostra de Venise en 1961 ! Mais malgré la proposition du comité français de sélection pour les films étrangers aux Oscars, il n'a pas été retenu par l' Academy !
Photo 1 : 3 "personnages de l'hôtel" . La femme brune à droite est Luce Garcia-Ville, l'épouse de Sacha Pitoëff . Aucune idée de qui sont les deux autres .
Photo 2 : les longs couloirs de l'hôtel, qui figurent dans la bande annonce du film .
Photo 3 : Giorgio Albertazzi . Bien que rôle masculin principal du film, je le crois moins connu que Sacha Pitoëff : c'est pourquoi je l'ai placé en 3, et non seul en 4 .
.............. 14 films en 48 ans de carrière ( de 1951 à 1999 ), dont 2 avec Joseph Losey ( "Eva" et "L'assassinat de Trotsky" ) pour des petits rôles . "L'homme" de ce Resnais est le seul film où il a eu le 1er rôle masculin .
Photo 4 : le même avec Sacha Pitoëff, à une table de jeu . Pitoëff présente une carrière de seconds rôles plus marquante, surtout de par son physique très mémorable ( grand, visage émacié, diction reconnaissable entre tous ) .
............. On l'a vu entre autres dans "Les 3 mousquetaires" de B. Borderie, "Anastasia" et "La nuit des généraux" d'A. Litvak , "Paris brûle t'il ?" de R. Clément, "Le dossier 51" de M. Deville .......... et dans un caméo du "Inferno" de Dario Argento ( suite de "Suspiria" ) , en boucher fugace qui se précipite - crois t'on - pour aider une dame en détresse , ........ mais qui l'égorge en arrivant ( on ne sait pas vraiment pourquoi ) !
Photo 5 : la femme, Delphine Seyrig , actrice récurrente de la nouvelle vague, avec quelques rares incursions quand même dans le "grand public" ( "Chacal" de Fred Zinnemann, "Contre une poignée de diamants" de Don Siegel ).
4 points pour Surfeur, Snaky, Hervé Paul et Alamo .
2 points pour Infrared et c2302t .
Classement général à l'issue de 5 films :
1er : Snaky, avec 27 points .
2èmes : c2302t et Surfeur, avec 20 points .
4èmes : Alamo et Infrared , avec 18 points .
6ème : Hervé Paul, avec 14 points .
7ème : Zardi, avec 11 points .
Chef d'œuvre pour les uns, pensum pour les autres ( vous vous doutez que je fais partie de la seconde catégorie ) . C'est un film d' Alain Resnais, sorti en 1961 .
Sur chacune de mes séries, je quizze un film très nettement hors de mes radars ( "8 et demi" de Fellini, "Le 7ème sceau" de Bergman, "Contes de la lune vague après la pluie" de Mizoguchi, "L'enfant sauvage" de Truffaut ......... etc ) . J'ai souvent cité ce titre lors de mes diverses proses ( déjà dans DVDPC ) comme un des plus ennuyeux que j'ai pu voir dans ma vie . Avec mon message sibyllin de la photo 2, je comptais peut-être justement vous y faire penser ( vous devez commencer à me connaître ) pour que vous le trouviez un peu plus tôt, en allant ( sur intuition ou par raisonnement ) visionner la B.A. ou une galerie de photos . Vous y auriez trouvé toutes celles du quiz, car bien évidemment je n'ai pas ce film en DVD-BR, et je suis allé chercher des images sur le web ( d'où une certaine irrégularité des formats sur les diverses captures : je prends ce que je trouve ! )
Ceci étant, apparemment, personne ne semble l'avoir vu ( Zardi peut-être ? ) !
Ne l'ayant pas revu depuis plusieurs dizaines d'années ( et il y a fort peu de chances que ça se reproduise ), je ne peux franchement pas détailler le scénario avec précision ( de mémoire, je n'aurais d'ailleurs pas pu non plus quand je l'avais vu en diffusion télé ), et ma synthèse ( si l'on peut dire que c'en soit une ) va surtout se composer d'éléments piochés sur la toile !
Si vous vous y retrouvez ..................... ???????
Synopsis de base : dans un hôtel de luxe ( photo ci-dessous ), un homme tente de faire croire à une femme qu'ils se sont aimés un an auparavant, à Fredrikstad ? à Marienbad ?........... ou ailleurs !
1er avis ( sans ordre préférentiel ) , sur allociné :
Un objet cinématographique à nul autre pareil, que je serais bien incapable d'expliquer totalement, mais qui produit un effet hypnotique.
D'abord une longue incantation, un texte répété en boucle par une voix inconnue tandis que la caméra erre parmi les couloirs, les ors et les stucs d'un palais. Une femme, Delphine Seyrig. Un homme ( Giorgio Albertazzi ) qui l'a aimée l'année précédente dans un endroit inconnu, Marienbad ( peut-être ? ). Des bouts de conversations mondaines, vides, désespérément vides. Un jardin aux lignes géométriques.
Des statues. Des allées. Des couloirs, des salles de réception. Les mêmes lieux, les mêmes situations, les mêmes paroles, à l'infini. Un jeu éternellement recommencé, avec toujours la même issue.
Un labyrinthe d'images, de sons, de souvenirs auxquels se heurte notre homme. Une errance, une quête. Une bataille pour la mémoire. Pour que cet amour éperdu de l'année précédente ne se perde pas dans les couloirs sans fin de cet hôtel.
La force d'une volonté qui convoque les souvenirs de cet amour et tente de le ressusciter pour briser les chaînes de cet univers factice. Et au final, la victoire, l'échappée à deux vers l'extérieur. Avec pourtant la vague impression que tout était joué d'avance, que même cette reconquête de la femme aimée était dans l'ordre des choses, qu'elle n'échappe pas à l'implacable roue du destin.
L'amoureux victorieux d'aujourd'hui sera-t-il le mari délaissé de demain ? Peut-on vraiment sortir de cet hôtel à l'intérieur duquel chacun erre à la recherche de ses souvenirs ? La caméra d'Alain Resnais, d'une maîtrise souveraine, nous enferme par des images d'une beauté envoûtante dans cet étrange dédale de couloirs, où des pantins humains s'agitent et tentent d'exister. Elle épouse totalement le merveilleux texte d'Alain Robbe-Grillet ( formidablement dit par les voix de Giorgio Albertazzi et Sacha Pitoëff) et compose avec lui un poème entêtant, d'une brûlante intensité.
2ème avis , toujours sur Allociné :
"L'année dernière à Marienbad" est typiquement le genre de cinéma que j'exècre, à savoir celui de la "Nouvelle vague" et plus précisément d'Alain Resnais, cinéaste hautement surestimé. Le style de ce dernier est prétentieux et pédant et ce long métrage en est une excellente illustration !
Ce caractère prétentieux se remarque tant dans le propos que dans la technique. Certes, "L'année dernière à Marienbad" est une œuvre originale, mais originalité, bien que rimant avec qualité, n'en est pas un synonyme.
Le film se compose d'un montage alambiqué et supporté par une voix narrative monotone débitant un texte creux et soporifique. Il faut s'accrocher pour suivre ce monologue avec un minimum d'attention, d'autant plus que la voix est recouverte par une musique d'orgue insupportable.
Selon moi, Alain Resnais est un imposteur et "L'année dernière à Marienbad" constitue sûrement sa plus belle escroquerie.
( NB de votre serviteur : je jure que ce n'est pas moi qui ait écrit cette critique ) .
Voilà-Voilà ! Je pense qu'il est inutile d'en "copier-coller" plus, les écarts de perceptions des différentes proses sur ce film étant aussi énormes que le gouffre de Padirac . Soit les rédacteurs donnent 5 étoiles, soit 0 ou 1 ( juste parce que le film existe ) ! Si je voulais caricaturer ( j'aime bien caricaturer ), je dirais que nous avons d'un côté des intellos au Q.I. de 170, du genre mutants capables de décrypter autant un manuel de physique quantique qu'un film d' Alain Robbe-Grillet ( tiens, c'est bizarrement le scénariste et dialoguiste du film ), et de l'autre des béotiens basiques ( catégorie à laquelle j'appartiens probablement ) au Q.I. d'escargots de Bourgogne, infiniment trop cartésiens pour entrer si peu que ce soit dans les vertiges métaphysiques d'Alain Resnais ! A l'impossible nul n'est tenu dit-on !
Après mon visionnage télé ( dans les années 80 je crois ), j'avais en tête un qualificatif qui dominait les autres : un film SNOB ( les autres étant "abscons", "hermétique", "vain", "prétentieux" ..... ) mais pas forcément incompréhensible, puisque justement il n'y a pas grand chose à comprendre .
Et j'ai retrouvé ce mot ( avec toutefois un ressenti très différent ), dans la rubrique "Accueil critique" de wikipedia :
S'il est largement considéré comme un chef-d’œuvre, L'Année dernière à Marienbad suscite également des réactions négatives extrêmement fortes.
Le critique Michel Mourlet, par exemple, a vivement critiqué le film et plus généralement l'œuvre d' Alain Robbe-Grillet. Il dénonce le fait que « l'objet le plus anecdotique se trouve sur le même plan que le plus important ».
Il y voit un « esthétisme académique et vide ». À propos de L'Année dernière à Marienbad et d'Hiroshima mon amour, il écrit : « Aucune connaissance de l'acteur, aucun empire sur le décor, les éléments, aucun sens du récit, rien que de pauvres petits essais d'intellectuels qui jouent gravement à faire du cinéma. » Mourlet précise encore « que, pour s'ennuyer une heure trente d'un ennui noir, dense et irrémédiable, des foules puissent piétiner devant la porte et payer .......... C'est par des considérations de cet ordre que l'intérêt de L'Année dernière à Marienbad apparaît considérable ».
Son confrère mac-mahonien Jacques Lourcelles, dans son célèbre Dictionnaire des films, considère le film de Resnais comme « l'un des plus insanes ( contraire à la raison et au bon sens ) que le cinéma ait produit ».
À l'opposé, pour Michel Grisolia de L'Express : « Seule compte la beauté baroque de l'œuvre, délibérément répétitive, sans équivalent dans le cinéma. Succès de snobisme typiquement sixties ? Le snobisme, parfois, a du bon. »
Les personnages n'ont pas de nom : la femme, l'homme, le mari ( pas sûr ?? ) qui adore jouer aux allumettes ( jeu que l'on retrouve dans les défis de l'émission Fort Boyard ) et qui gagne toujours !
Les autres sont juste des "personnages de l'hôtel" ! Mais visiblement les identités n'ont strictement aucun intérêt dans cet OFNI, qui est une sorte d'auberge espagnole : Resnais et Robbe-Grillet proposent quelque chose, vous y mettez ce que vous voulez !
Le film a obtenu le lion d'Or à la Mostra de Venise en 1961 ! Mais malgré la proposition du comité français de sélection pour les films étrangers aux Oscars, il n'a pas été retenu par l' Academy !
Photo 1 : 3 "personnages de l'hôtel" . La femme brune à droite est Luce Garcia-Ville, l'épouse de Sacha Pitoëff . Aucune idée de qui sont les deux autres .
Photo 2 : les longs couloirs de l'hôtel, qui figurent dans la bande annonce du film .
Photo 3 : Giorgio Albertazzi . Bien que rôle masculin principal du film, je le crois moins connu que Sacha Pitoëff : c'est pourquoi je l'ai placé en 3, et non seul en 4 .
.............. 14 films en 48 ans de carrière ( de 1951 à 1999 ), dont 2 avec Joseph Losey ( "Eva" et "L'assassinat de Trotsky" ) pour des petits rôles . "L'homme" de ce Resnais est le seul film où il a eu le 1er rôle masculin .
Photo 4 : le même avec Sacha Pitoëff, à une table de jeu . Pitoëff présente une carrière de seconds rôles plus marquante, surtout de par son physique très mémorable ( grand, visage émacié, diction reconnaissable entre tous ) .
............. On l'a vu entre autres dans "Les 3 mousquetaires" de B. Borderie, "Anastasia" et "La nuit des généraux" d'A. Litvak , "Paris brûle t'il ?" de R. Clément, "Le dossier 51" de M. Deville .......... et dans un caméo du "Inferno" de Dario Argento ( suite de "Suspiria" ) , en boucher fugace qui se précipite - crois t'on - pour aider une dame en détresse , ........ mais qui l'égorge en arrivant ( on ne sait pas vraiment pourquoi ) !
Photo 5 : la femme, Delphine Seyrig , actrice récurrente de la nouvelle vague, avec quelques rares incursions quand même dans le "grand public" ( "Chacal" de Fred Zinnemann, "Contre une poignée de diamants" de Don Siegel ).
4 points pour Surfeur, Snaky, Hervé Paul et Alamo .
2 points pour Infrared et c2302t .
Classement général à l'issue de 5 films :
1er : Snaky, avec 27 points .
2èmes : c2302t et Surfeur, avec 20 points .
4èmes : Alamo et Infrared , avec 18 points .
6ème : Hervé Paul, avec 14 points .
7ème : Zardi, avec 11 points .
Dernière édition par Barbe-Noire le Sam 29 Juin - 5:13, édité 3 fois
Barbe-Noire- Messages : 3364
Date d'inscription : 07/11/2019
Age : 68
Localisation : Seine et Marne ( et toujours "à la croisée des chemins" )
surfeur51 et snaky930 aiment ce message
Re: Quizz cinéma
Pas pu finaliser le N° 6 pour cette nuit, désolé ! Vous l'aurez ce mardi dans la journée !
Barbe-Noire- Messages : 3364
Date d'inscription : 07/11/2019
Age : 68
Localisation : Seine et Marne ( et toujours "à la croisée des chemins" )
Re: Quizz cinéma
Très belle synthèse , même si je fais partie des spectateurs qui n'ont pas vraiment apprécié ce film (euphémisme...)Barbe-Noire a écrit:SYNTHÈSE DU QUIZ N°4 :...
mais d'autres pas, qui n'ont pas spécialement aimé le film de Marc Forster ( les notes et critiques sur divers sites de cinéma ont d'ailleurs été plutôt moyennes ) .
surfeur51- Messages : 1954
Date d'inscription : 06/11/2019
Age : 73
Localisation : Indre et Loire
Re: Quizz cinéma
Désolé pour le retard ! Je pensais avoir du temps dans la journée, mais un imprévu + un coup de téléphone très long ( 2 heures ) m'ont un peu blindé la journée, sans compter que le match de la France ( je devrais dire la purge ) était à 18H quand je le croyais à 21 H ! Bref, voici la suite, qui, je pense, devrait vous poser moins de problèmes que le Marienbad !
Film 6 , photo 1 :
Bonne chance !
Film 6 , photo 1 :
Bonne chance !
Barbe-Noire- Messages : 3364
Date d'inscription : 07/11/2019
Age : 68
Localisation : Seine et Marne ( et toujours "à la croisée des chemins" )
Re: Quizz cinéma
Réponse à côté de c2302t , seule tentative sur la photo 1 !
Film 6, photo 2 :
Le type même de l'acteur qu'on a déjà vu, sans pour autant pouvoir toujours mettre un nom dessus !
Film 6, photo 2 :
Le type même de l'acteur qu'on a déjà vu, sans pour autant pouvoir toujours mettre un nom dessus !
Barbe-Noire- Messages : 3364
Date d'inscription : 07/11/2019
Age : 68
Localisation : Seine et Marne ( et toujours "à la croisée des chemins" )
Re: Quizz cinéma
Bonne réponse de Surfeur sur la photo 2 !
6 points !
La synthèse de "........Marienbad" en haut de page est complètement terminée !
Edit : bonne réponse également de Snaky .
Surfeur a identifié le film en reconnaissant l'acteur . Snaky a retrouvé le nom de l'acteur sur la fiche technique après avoir reconnu le film !
Pas d'autres réponses !
6 points !
La synthèse de "........Marienbad" en haut de page est complètement terminée !
Edit : bonne réponse également de Snaky .
Surfeur a identifié le film en reconnaissant l'acteur . Snaky a retrouvé le nom de l'acteur sur la fiche technique après avoir reconnu le film !
Pas d'autres réponses !
Barbe-Noire- Messages : 3364
Date d'inscription : 07/11/2019
Age : 68
Localisation : Seine et Marne ( et toujours "à la croisée des chemins" )
Re: Quizz cinéma
Film 6, photo 3 :
Si vous reconnaissez qui tient ce revolver, je crois que vous avez la réponse à ce quiz !
Si vous reconnaissez qui tient ce revolver, je crois que vous avez la réponse à ce quiz !
Barbe-Noire- Messages : 3364
Date d'inscription : 07/11/2019
Age : 68
Localisation : Seine et Marne ( et toujours "à la croisée des chemins" )
Re: Quizz cinéma
Bonne réponse de c2302t sur la photo 3 : 4 points !
Edit : bonne réponse aussi d'Alamo : 4 points .
Re-Edit : bonne réponse également d'Infrared : 4 points ( comme d'habitude, très peu avant la dead-line de la photo ) .
Edit : bonne réponse aussi d'Alamo : 4 points .
Re-Edit : bonne réponse également d'Infrared : 4 points ( comme d'habitude, très peu avant la dead-line de la photo ) .
Barbe-Noire- Messages : 3364
Date d'inscription : 07/11/2019
Age : 68
Localisation : Seine et Marne ( et toujours "à la croisée des chemins" )
Re: Quizz cinéma
Film 6 , photo 4 :
Le paquebot n'avait pas encore coulé !!
Le paquebot n'avait pas encore coulé !!
Barbe-Noire- Messages : 3364
Date d'inscription : 07/11/2019
Age : 68
Localisation : Seine et Marne ( et toujours "à la croisée des chemins" )
Re: Quizz cinéma
Film 6 , photo 5 :
A priori, il ne reste que Zardi, mais je ne sais pas s'il se re-manifestera avant la fin de cette série
Je crois que les visages sont assez connus pour ne pas avoir à rajouter des indices ...............
A priori, il ne reste que Zardi, mais je ne sais pas s'il se re-manifestera avant la fin de cette série
Je crois que les visages sont assez connus pour ne pas avoir à rajouter des indices ...............
Barbe-Noire- Messages : 3364
Date d'inscription : 07/11/2019
Age : 68
Localisation : Seine et Marne ( et toujours "à la croisée des chemins" )
Re: Quizz cinéma
Fin du Quiz N° 6 : synthèse sur la page 61 .
Dernière édition par Barbe-Noire le Dim 7 Juil - 5:37, édité 1 fois
Barbe-Noire- Messages : 3364
Date d'inscription : 07/11/2019
Age : 68
Localisation : Seine et Marne ( et toujours "à la croisée des chemins" )
Re: Quizz cinéma
Film 7 , photo 1 :
Bonne chance !
Bonne chance !
Barbe-Noire- Messages : 3364
Date d'inscription : 07/11/2019
Age : 68
Localisation : Seine et Marne ( et toujours "à la croisée des chemins" )
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