Dernier film visionné
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Re: Dernier film visionné
Les compagnons de la gloire / The glory guys d'Arnold Laven (1965) - 6/10
Synopsis : À l’aube d’une nouvelle guerre contre les Sioux et les Cheyennes, le Général McCabe prend le commandement d’une colonne de soldats fraîchement formés. Autant d’hommes jeunes qu’il n’hésitera pas, comme les précédents, à sacrifier pour vaincre l’ennemi. Pour s’attribuer tout le mérite d’une victoire, il divise ses forces en ordonnant au Capitaine Harrod, un officier lucide de plus en plus hostile à son autorité, de poursuivre un groupe d’Indiens. Une manœuvre de diversion qui l’expose d’autant plus dangereusement qu’il n’attend pas les renforts du Général Hoffmann…
Nombreux sont les films qui reprennent l'histoire du général Custer et du massacre de Little Big Horn. Certains sont hagiographiques comme La charge fantastique de Raoul Walsh, d'autres satyriques comme Little Big Man d'Arthur Penn. Ici le scénario de Sam Peckinpah, adapté d'un roman, s'il modifie le nom et les sites historiques en est une version proche de celle du Massacre de Fort apache de John Ford. Comme ce dernier le film est divisé en deux parties la première réservée à la vie de garnison et la seconde à l'affrontement avec les Sioux. Autant cette dernière est réussie, magnifiée par la photographie de James Wong Howe et des scènes de batailles très bien filmées, autant la première est médiocre avec des marivaudages ne présentant que peu d'intérêt et des bagarres peu réussies. La transition était parfaite dans le film de Ford tandis qu'on a l'impression d'assister ici à deux films différents tant la dichotomie entre les deux parties est totale.
Tom Tryon tire bien son épingle du jeu, Senta Berger est toujours aussi belle et James Caan réussit une belle prestation en soldat rebelle.
Un film dont on ne retiendra que les magnifiques scènes de batailles loin de satisfaire un spectateur amateur de westerns.
Nombreux sont les films qui reprennent l'histoire du général Custer et du massacre de Little Big Horn. Certains sont hagiographiques comme La charge fantastique de Raoul Walsh, d'autres satyriques comme Little Big Man d'Arthur Penn. Ici le scénario de Sam Peckinpah, adapté d'un roman, s'il modifie le nom et les sites historiques en est une version proche de celle du Massacre de Fort apache de John Ford. Comme ce dernier le film est divisé en deux parties la première réservée à la vie de garnison et la seconde à l'affrontement avec les Sioux. Autant cette dernière est réussie, magnifiée par la photographie de James Wong Howe et des scènes de batailles très bien filmées, autant la première est médiocre avec des marivaudages ne présentant que peu d'intérêt et des bagarres peu réussies. La transition était parfaite dans le film de Ford tandis qu'on a l'impression d'assister ici à deux films différents tant la dichotomie entre les deux parties est totale.
Tom Tryon tire bien son épingle du jeu, Senta Berger est toujours aussi belle et James Caan réussit une belle prestation en soldat rebelle.
Un film dont on ne retiendra que les magnifiques scènes de batailles loin de satisfaire un spectateur amateur de westerns.
zardi- Messages : 1972
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Re: Dernier film visionné
Marqué au fer / Branded de Rudolph Maté (1950) - 7/10
Synopsis : Choya, un jeune cow-boy de mauvaise vie, est compromis dans un meurtre. Alors qu'il tente d'échapper à ses poursuivants, il est accosté par deux hors-la-loi, Leffingwell et Tattoo. Ceux-ci lui proposent une affaire qui leur permettra de rafler la récompense offerte par Lavery, un riche éleveur à la recherche de son fils enlevé à l'âge de 5 ans et reconnaissable grâce à une tâche de naissance.
Un film qui m'était totalement inconnu et que j'avais mis dans ma playlist pour deux raisons. D'abord la présence d'Alan Ladd dans un western évoquait de bons souvenirs (L'homme des vallées perdues, Smith le taciturne), ensuite parce que Rudolph Maté, renommé en tant que chef opérateur (c'est lui qui avait immortalisé Falconetti dans Le procès de Jeanne d'Arc ou Rita Hayworth dans Gilda), éveillait ma curiosité sur ses capacités en tant que réalisateur.
La vraie (bonne) surprise vient en fait du scénario qui exploite une situation mélodramatique rarement présente dans un western. Le personnage principal y est d'abord décrit comme un vaurien sans morale qui au contact d'une famille accueillante va être pris de remords et chercher à se racheter. Alan Ladd est convaincant dans ce rôle d'autant plus complexe qu'il est censé être un pistolero et qu'il ne tire pas une seule balle pendant tout le film. A ces côtés Robert Keith en bandit sans scrupules et Charles Bickford en vieux patriarche ne déméritent pas.
Si la mise en scène manque de rythme et laisse trop de place aux dialogues dans la première partie du film, elle est par contre plus intéressante dans tout ce qui se passe de l'autre côté du Rio Grande avec des scènes de poursuite bien filmées dans de magnifiques paysages.
Au final un western qu'on pourrait qualifier de psychologique mais très plaisant à regarder.
Un film qui m'était totalement inconnu et que j'avais mis dans ma playlist pour deux raisons. D'abord la présence d'Alan Ladd dans un western évoquait de bons souvenirs (L'homme des vallées perdues, Smith le taciturne), ensuite parce que Rudolph Maté, renommé en tant que chef opérateur (c'est lui qui avait immortalisé Falconetti dans Le procès de Jeanne d'Arc ou Rita Hayworth dans Gilda), éveillait ma curiosité sur ses capacités en tant que réalisateur.
La vraie (bonne) surprise vient en fait du scénario qui exploite une situation mélodramatique rarement présente dans un western. Le personnage principal y est d'abord décrit comme un vaurien sans morale qui au contact d'une famille accueillante va être pris de remords et chercher à se racheter. Alan Ladd est convaincant dans ce rôle d'autant plus complexe qu'il est censé être un pistolero et qu'il ne tire pas une seule balle pendant tout le film. A ces côtés Robert Keith en bandit sans scrupules et Charles Bickford en vieux patriarche ne déméritent pas.
Si la mise en scène manque de rythme et laisse trop de place aux dialogues dans la première partie du film, elle est par contre plus intéressante dans tout ce qui se passe de l'autre côté du Rio Grande avec des scènes de poursuite bien filmées dans de magnifiques paysages.
Au final un western qu'on pourrait qualifier de psychologique mais très plaisant à regarder.
zardi- Messages : 1972
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Re: Dernier film visionné
Les ailes / Krylya de Larisso Chepitko (1966) - 7,5/10
Synopsis : Le portrait fascinant et humain d'une ancienne pilote de chasse fameuse, et staliniste loyale, nommée Nadezhda Petrovna.
Tout le film est centré sur un personnage féminin qui, malgré son statut d'ancienne héroïne en tant que pilote de chasse et sa position sociale en tant que directrice d'école et de députée au conseil communal, est en total décalage avec les gens qu'elle côtoie et la société où elle vit. Incapable de comprendre les réactions d'un élève face à une punition injuste, se sentant négligée par sa fille adoptive qui ne la comprend pas elle cherche un sens à sa vie en souhaitant un nouveau départ. Ce portrait émouvant est sublimé par l'actrice ukrainienne Mayya Bulgakova qui par un simple regard ou un simple sourire arrive à transmettre les émotions de son personnage malgré un aspect autoritaire. Quelques belles séquences viennent heureusement égayer cette atmosphère nostalgique jusqu'à un magnifique final lyrique et peut-être onirique où se révèle l'évènement qui a marqué la vie de l'héroïne. En rupture avec les dogmes du cinéma soviétique ce film fut fustigé par les critiques et les instances de l'époque.
A travers cette quête existentielle qui n'aurait pas déparé dans la filmographie d'Antonioni, Larissa Chepitko nous transmet un portrait d'autant plus émouvant qu'il est inspiré par celui de sa mère.
Tout le film est centré sur un personnage féminin qui, malgré son statut d'ancienne héroïne en tant que pilote de chasse et sa position sociale en tant que directrice d'école et de députée au conseil communal, est en total décalage avec les gens qu'elle côtoie et la société où elle vit. Incapable de comprendre les réactions d'un élève face à une punition injuste, se sentant négligée par sa fille adoptive qui ne la comprend pas elle cherche un sens à sa vie en souhaitant un nouveau départ. Ce portrait émouvant est sublimé par l'actrice ukrainienne Mayya Bulgakova qui par un simple regard ou un simple sourire arrive à transmettre les émotions de son personnage malgré un aspect autoritaire. Quelques belles séquences viennent heureusement égayer cette atmosphère nostalgique jusqu'à un magnifique final lyrique et peut-être onirique où se révèle l'évènement qui a marqué la vie de l'héroïne. En rupture avec les dogmes du cinéma soviétique ce film fut fustigé par les critiques et les instances de l'époque.
A travers cette quête existentielle qui n'aurait pas déparé dans la filmographie d'Antonioni, Larissa Chepitko nous transmet un portrait d'autant plus émouvant qu'il est inspiré par celui de sa mère.
zardi- Messages : 1972
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Re: Dernier film visionné
Pour information , le GUERRE ET PAIX de Bondartchouk Serguei , édité fin 2023 par POTEMKINE est disponible sur la plateforme ARTE.TV pendant 3 mois ,
soit les 4 parties suivantes :
- Épisode 1 - Andreï Bolkowski (146')
- Épisode 2 - Natacha Rostova (97')
- Épisode 3 - 1812 (81')
- Épisode 4 - Pierre Bezoukhov (96')
HERVE PAUL- Messages : 190
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Re: Dernier film visionné
Yurt de Nehir Tuna (2023) - 7,5/10
Synopsis : Turquie, 1996. Ahmet, 14 ans, est dévasté lorsque sa famille l’envoie dans un pensionnat religieux (Yurt). Pour son père récemment converti, c’est un chemin vers la rédemption et la pureté. Pour lui, c’est un cauchemar. Le jour, il fréquente une école privée laïque et nationaliste ; le soir, il retrouve son dortoir surpeuplé, les longues heures d’études coraniques et les brimades.
Ce récit initiatique et en partie autobiographique suit un adolescent tiraillé entre le désir de satisfaire la volonté de ses parents, en particulier de son père récemment converti qui veut que son fils suive sa trace, et celui de s'épanouir. Il va découvrir un monde douloureux avec ses différences sociales et un éveil à la sexualité ambigu pour finalement s'affranchir du dictat des adultes malgré les brimades et l'effort d'endoctrinement religieux.
La mise en scène de Nehir Tuna basée sur un esthétisme certain exploite une belle photographie en noir et blanc avec une composition des cadres très recherchée, parfois à la limite du maniérisme. Dans le rôle principal Doga Karakas fait preuve d'une belle assurance malgré son jeune âge.
Un réalisateur et un acteur à suivre.
Ce récit initiatique et en partie autobiographique suit un adolescent tiraillé entre le désir de satisfaire la volonté de ses parents, en particulier de son père récemment converti qui veut que son fils suive sa trace, et celui de s'épanouir. Il va découvrir un monde douloureux avec ses différences sociales et un éveil à la sexualité ambigu pour finalement s'affranchir du dictat des adultes malgré les brimades et l'effort d'endoctrinement religieux.
La mise en scène de Nehir Tuna basée sur un esthétisme certain exploite une belle photographie en noir et blanc avec une composition des cadres très recherchée, parfois à la limite du maniérisme. Dans le rôle principal Doga Karakas fait preuve d'une belle assurance malgré son jeune âge.
Un réalisateur et un acteur à suivre.
zardi- Messages : 1972
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Re: Dernier film visionné
[quote="l'andalous"]encore un film de notre ami @zardi que je ne connais pas
[/quote]
Moi aussi, mais c'est plus qu'habituel avec l'ami Zardi !
Chroniquer des blockbusters que quasiment tout le monde connaît doit j'imagine lui sembler tout à fait inutile . Son but est de tenter de faire connaître des œuvres bien plus rares, inconnues ou au mieux méconnues des béotiens dans mon genre .
Mais personnellement, j'adore lire ses critiques, et il m'est même arrivé d'acheter quelques films sur la base de celles-ci , comme récemment "Le capitaine Volgonokov s'est échappé" .
J'aimerais bien acquérir aussi "La ronde du crime", récemment critiqué, mais épuisé partout ( même chez l'éditeur Sidonis Calysta , j'ai cherché ), et du coup uniquement revendu en market-place à des tarifs plutôt élevés !
[/quote]
Moi aussi, mais c'est plus qu'habituel avec l'ami Zardi !
Chroniquer des blockbusters que quasiment tout le monde connaît doit j'imagine lui sembler tout à fait inutile . Son but est de tenter de faire connaître des œuvres bien plus rares, inconnues ou au mieux méconnues des béotiens dans mon genre .
Mais personnellement, j'adore lire ses critiques, et il m'est même arrivé d'acheter quelques films sur la base de celles-ci , comme récemment "Le capitaine Volgonokov s'est échappé" .
J'aimerais bien acquérir aussi "La ronde du crime", récemment critiqué, mais épuisé partout ( même chez l'éditeur Sidonis Calysta , j'ai cherché ), et du coup uniquement revendu en market-place à des tarifs plutôt élevés !
Barbe-Noire- Messages : 3518
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Re: Dernier film visionné
Barbe-Noire a écrit:
J'aimerais bien acquérir aussi "La ronde du crime", récemment critiqué, mais épuisé partout ( même chez l'éditeur Sidonis Calysta , j'ai cherché ), et du coup uniquement revendu en market-place à des tarifs plutôt élevés !
Il est temps que les retraites soient revalorisées ou alors on peut organiser une cagnotte : rakuten
snaky930- Admin
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Localisation : IDF
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Re: Dernier film visionné
Barbe-Noire a écrit:
Chroniquer des blockbusters que quasiment tout le monde connaît doit j'imagine lui sembler tout à fait inutile. Son but est de tenter de faire connaître des œuvres bien plus rares, inconnues ou au mieux méconnues des béotiens dans mon genre .
C'est tout à fait ça bien que je ne crois pas que tu sois un béotien en matière de cinéma.
De plus la plupart des blockbusters actuels m'ennuient car trop balisés. Trop d'images de synthèse et d'effets numériques peu esthétiques. Les scénarios ne sont souvent pas à la hauteur à mon goût. Ce qui m'intéresse le plus ce sont les études de caractères qui mettent en valeur des personnages qui évoluent alors que dans la plupart des blockbusters ils restent les mêmes de la première à la dernière image.
En écrivant ces lignes il me vient l'idée de réaliser un top sur les blockbusters. Qu'en pensez vous ?
zardi- Messages : 1972
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Re: Dernier film visionné
Pourquoi pas !
Mais sur quel critère ? Le plus réaliste, le plus débile, etc ?
Mais sur quel critère ? Le plus réaliste, le plus débile, etc ?
alamo- Messages : 920
Date d'inscription : 07/11/2019
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Localisation : Meudon
Re: Dernier film visionné
alamo a écrit:Pourquoi pas !
Mais sur quel critère ? Le plus réaliste, le plus débile, etc ?
Tout simplement vos préférés. C'est vrai que l'éventail est large même en se limitant aux superproductions.
zardi- Messages : 1972
Date d'inscription : 07/11/2019
Localisation : 06
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Re: Dernier film visionné
snaky930 a écrit:Barbe-Noire a écrit:
J'aimerais bien acquérir aussi "La ronde du crime", récemment critiqué, mais épuisé partout ( même chez l'éditeur Sidonis Calysta , j'ai cherché ), et du coup uniquement revendu en market-place à des tarifs plutôt élevés !
Il est temps que les retraites soient revalorisées ou alors on peut organiser une cagnotte : rakuten
Merci beaucoup pour la recherche, je vais commander !
C'est vrai que dans les market place, j'ai tendance à rester sur amazon ou la FNAC, et beaucoup moins d'aller sur Rakuten ou Vinted ( remember le concert de Tina Turner à Amsterdam, que je cherchais partout, et que tu m'as dégotté sur Vinted ) !
Sur les premiers cités, avec les frais de port, on atteint la tranche 20-25 € à minima . Je veux bien les payer à ce prix de temps en temps, mais pour ce que j'appelle des "indispensables" ( le Tina Turner en était un pour moi ).
Or, même si "La ronde du crime" ( jamais entendu parler avant ) m'intéresse, je ne le classe quand même pas dans cette catégorie !
Dans les "sold out" , je devrais effectivement aller plus souvent aller fouiner sur les sites d'occazes, mais j'ai trop vu des vendeurs demander des prix obscènes sur des produits épuisés, et ça m'a un peu dégoûté et démotivé pour faire des recherches systématiques .
P.S. : commandé ,
Sur ce type de commande, je cherche toujours dans la boutique du vendeur si quelque chose d'autre peut m'intéresser ( ce qui en plus amortit les FdP ) .
Et j'ai trouvé un truc que d'habitude on ne cherche jamais, un triple DVD d'une émission que j'adorais quand j'étais mioche, "Le petit théâtre de la jeunesse", de Claude Santelli . Ici, en l'occurrence "Les misérables", avec les 3 époques du roman ( Cosette, Valjean, Gavroche ) , ici à 10 € contre 29 sur amazon . .
Bien évidemment, c'était réalisé avec de la passion, six sous et trois bouts de ficelle, à des années lumières des versions ciné avec Harry Baur, Jean Gabin ou Lino Ventura, et de toute évidence l'image ne peut pas avoir été restaurée ( éditions de niche avec tout petit potentiel commercial ) , mais comme les feuilletons de l'époque ( Rocambole, Thierry la Fronde, Les habits noirs ........... ), ces productions télévisuelles des sixties où il n'y avait qu'une seule chaîne conservent pour moi un fort parfum de nostalgie qui fait que j'accepte sans problème les inévitables souffles sur le son et les grains de l'image pour me replonger dans mon enfance !
Dernière édition par Barbe-Noire le Ven 20 Déc - 4:51, édité 1 fois (Raison : ai)
Barbe-Noire- Messages : 3518
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