Dernier film visionné
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Re: Dernier film visionné
Moi aussi j'ai tout canal , donc j'ai bien vu le film dans la liste des programmes
Mais il n'était pas possible de l'enregistrer et moi à 1h50 , je dors
Mais il n'était pas possible de l'enregistrer et moi à 1h50 , je dors
HERVE PAUL- Messages : 190
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Re: Dernier film visionné
Pris au piège / Caught de Max Ophuls (1949) - 8/10
Synopsis : Léonara n’a qu’un seul objectif : épouser un homme riche. Malheureusement, une fois mariée, elle se sent enfermée dans une cage dorée par un mari plutôt rustre.
Troisième des quatre films réalisés par Max Ophuls pendant son exil sur le sol américain, s'il n'a pas l'aura du précédent, le chef d'œuvre Lettre d'une inconnue, il n'en a pas moins des qualités évidentes et ce malgré les difficultés rencontrées par une production chaotique (malade, Max Ophuls a été suppléé par John Berry pendant une partie du tournage). En raison de la descente aux enfers de l'héroïne et de la photographie du talentueux Lee Garmes on a souvent qualifié ce mélodrame de film noir, mais à mon avis à tort en raison du happy end imposé par la production et de l'absence des caractéristiques expressionnistes propres aux films de ce genre.
C'est avant tout l'interprétation qui met en valeur ce métrage. Robert Ryan incarne avec brio un magnat insensible et cruel qui écrase tout ce qui ne favorise pas ses projets. Sans le nommer, c'est Howard Hugues qui est ici évoqué, le réalisateur réglant ses comptes après avoir été viré du tournage de Vendetta par le célèbre mégalomane. Barbara Bel Geddes trouve son plus beau rôle en ingénue romantique qui va finir par se révolter face à ce tyran. Malgré un rôle mineur, James Mason est tout à fait convaincant en docteur intègre et dévoué à ses patients.
Si on ne retrouve pas la virtuosité visuelle qui a fait la réputation de Max Ophuls, la mise en scène est réussie en particulier pour l'utilisation des décors et la direction d'acteurs avec une magnifique séquence dans le cabinet des deux docteurs.
Un film qui annonce les chefs-d'œuvre à venir et qui se voit avec beaucoup de plaisir.
Troisième des quatre films réalisés par Max Ophuls pendant son exil sur le sol américain, s'il n'a pas l'aura du précédent, le chef d'œuvre Lettre d'une inconnue, il n'en a pas moins des qualités évidentes et ce malgré les difficultés rencontrées par une production chaotique (malade, Max Ophuls a été suppléé par John Berry pendant une partie du tournage). En raison de la descente aux enfers de l'héroïne et de la photographie du talentueux Lee Garmes on a souvent qualifié ce mélodrame de film noir, mais à mon avis à tort en raison du happy end imposé par la production et de l'absence des caractéristiques expressionnistes propres aux films de ce genre.
C'est avant tout l'interprétation qui met en valeur ce métrage. Robert Ryan incarne avec brio un magnat insensible et cruel qui écrase tout ce qui ne favorise pas ses projets. Sans le nommer, c'est Howard Hugues qui est ici évoqué, le réalisateur réglant ses comptes après avoir été viré du tournage de Vendetta par le célèbre mégalomane. Barbara Bel Geddes trouve son plus beau rôle en ingénue romantique qui va finir par se révolter face à ce tyran. Malgré un rôle mineur, James Mason est tout à fait convaincant en docteur intègre et dévoué à ses patients.
Si on ne retrouve pas la virtuosité visuelle qui a fait la réputation de Max Ophuls, la mise en scène est réussie en particulier pour l'utilisation des décors et la direction d'acteurs avec une magnifique séquence dans le cabinet des deux docteurs.
Un film qui annonce les chefs-d'œuvre à venir et qui se voit avec beaucoup de plaisir.
zardi- Messages : 1972
Date d'inscription : 07/11/2019
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Re: Dernier film visionné
HERVE PAUL a écrit:Moi aussi j'ai tout canal , donc j'ai bien vu le film dans la liste des programmes
Mais il n'était pas possible de l'enregistrer et moi à 1h50 , je dors
Exact mais on peut le voir avec un décalage de quelques heures (6 je crois) sur MyCanal. C'est ainsi que j'ai pu regarder le matin d'autres films programmés la nuit comme Quasimodo, Tendresse ou L'incident.
PS Je viens de voir que L'incident est programmé pour le vendredi 29 novembre à 20h 50
zardi- Messages : 1972
Date d'inscription : 07/11/2019
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Re: Dernier film visionné
Enregistrement du NAPOLEON d'Abel GANCE réalisè
Il n'y a plus qu'a s'y mettre
Comme prévu les 2 parties sont disponibles en replay sur la plateforme de France Télévisions
La première partie jusqu'au 23/12/2024
et la deuxième partie jusqu'au 22/12/2024 ce qui est un peu étrange
Bon visionnage et bonne découverte en attendant la parution du futur blu ray
Il n'y a plus qu'a s'y mettre
Comme prévu les 2 parties sont disponibles en replay sur la plateforme de France Télévisions
La première partie jusqu'au 23/12/2024
et la deuxième partie jusqu'au 22/12/2024 ce qui est un peu étrange
Bon visionnage et bonne découverte en attendant la parution du futur blu ray
HERVE PAUL- Messages : 190
Date d'inscription : 07/11/2019
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Localisation : Angers
Barbe-Noire, zardi et c2302t aiment ce message
Re: Dernier film visionné
Déjà vu la première partie.
Rien à voir avec ce que j'avais vu d'une ancienne version à partir d'une VHS. C'est impressionnant !
Rien à voir avec ce que j'avais vu d'une ancienne version à partir d'une VHS. C'est impressionnant !
zardi- Messages : 1972
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Re: Dernier film visionné
Du coup comment est la copie?
c2302t- Messages : 892
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Re: Dernier film visionné
HERVE PAUL a écrit:Enregistrement du NAPOLEON d'Abel GANCE réalisè
Il n'y a plus qu'a s'y mettre
Comme prévu les 2 parties sont disponibles en replay sur la plateforme de France Télévisions
La première partie jusqu'au 23/12/2024
et la deuxième partie jusqu'au 22/12/2024 ce qui est un peu étrange
Bon visionnage et bonne découverte en attendant la parution du futur blu ray .
Pas pu le voir ce vendredi, pas dispo
Je vais me diriger vers le replay .
Barbe-Noire- Messages : 3518
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Age : 69
Localisation : Seine et Marne ( et toujours "à la croisée des chemins" )
Re: Dernier film visionné
Du point de vue technique c'est parfait. Image stable et propre. J'analyserai le film après avoir vu la deuxième partie.c2302t a écrit:Du coup comment est la copie?
zardi- Messages : 1972
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Re: Dernier film visionné
La rue chaude / Walk on the wild side d'Edward Dmytryk (1962) - 7/10
Synopsis : En 1930, un paysan du Texas vient à pied jusqu'à la Nouvelle-Orléans pour y rechercher une jeune fille qu'il a follement aimé et qui, après une douzaine de lettres enflammées, ne lui a plus donné signe de vie.
Tout commence par un beau prologue de Saul Bass baigné par la musique jazzy d'Elmer Bernstein ou on voit un(e) chat(te) noir(e) se frayer un chemin le long de palissades avec une démarche souple et assurée. Cette séquence préfigure le thème central du film, cette soif de liberté qu'éprouvent quatre personnages féminins très révélateurs de l'état d'esprit plein de révolte qui va marquer les années 60.
On rencontre d'abord Kitty, une jeune texane qui va chercher la réussite par tous les moyens. Bien qu'elle ait tendance à surjouer, provocante et sensuelle, Jane Fonda va entamer dans ce rôle sa carrière de sex symbol.
Transfigurée, Anne Baxter incarne avec beaucoup de justesse et d'émotion une femme qui s'émancipe par le travail. Elle va permettre à celui dont elle est secrètement amoureuse de trouver le bonheur auprès d'une autre femme.
Incarnée par l'actrice française Capucine pour laquelle le film a été produit, le personnage d'Hallie dénote dans cet univers de maison close avec des robes de haute couture et une photo qui a tendance à enjoliver ses traits. C'est à mon avis le point faible du métrage même si son interprétation est honorable.
Enfin Barbara Stanwyck est à la hauteur de sa réputation en interprétant magistralement un rôle de lesbienne qui dirige avec une main de fer un bordel où travaille sa protégée. Il est curieux que le code Hays encore en vigueur à cette époque ait pu approuver un tel personnage.
Bien que d'origine britannique, Laurence Harvey s'en sort avec honneur dans ce rôle d'hobo texan obnubilé par un amour de jeunesse.
Un film original qui vaut donc pour ses portraits de femme bien loin des réalisations habituelles d'Edward Dmytryk.
Tout commence par un beau prologue de Saul Bass baigné par la musique jazzy d'Elmer Bernstein ou on voit un(e) chat(te) noir(e) se frayer un chemin le long de palissades avec une démarche souple et assurée. Cette séquence préfigure le thème central du film, cette soif de liberté qu'éprouvent quatre personnages féminins très révélateurs de l'état d'esprit plein de révolte qui va marquer les années 60.
On rencontre d'abord Kitty, une jeune texane qui va chercher la réussite par tous les moyens. Bien qu'elle ait tendance à surjouer, provocante et sensuelle, Jane Fonda va entamer dans ce rôle sa carrière de sex symbol.
Transfigurée, Anne Baxter incarne avec beaucoup de justesse et d'émotion une femme qui s'émancipe par le travail. Elle va permettre à celui dont elle est secrètement amoureuse de trouver le bonheur auprès d'une autre femme.
Incarnée par l'actrice française Capucine pour laquelle le film a été produit, le personnage d'Hallie dénote dans cet univers de maison close avec des robes de haute couture et une photo qui a tendance à enjoliver ses traits. C'est à mon avis le point faible du métrage même si son interprétation est honorable.
Enfin Barbara Stanwyck est à la hauteur de sa réputation en interprétant magistralement un rôle de lesbienne qui dirige avec une main de fer un bordel où travaille sa protégée. Il est curieux que le code Hays encore en vigueur à cette époque ait pu approuver un tel personnage.
Bien que d'origine britannique, Laurence Harvey s'en sort avec honneur dans ce rôle d'hobo texan obnubilé par un amour de jeunesse.
Un film original qui vaut donc pour ses portraits de femme bien loin des réalisations habituelles d'Edward Dmytryk.
zardi- Messages : 1972
Date d'inscription : 07/11/2019
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Re: Dernier film visionné
Green border / Zielona granica d'Agnieszka Holland (2023) - 7,5/10
Synopsis : Ayant fui la guerre, une famille syrienne entreprend un éprouvant périple pour rejoindre la Suède. A la frontière entre le Belarus et la Pologne, synonyme d'entrée dans l'Europe, ils se retrouvent embourbés avec des dizaines d'autres familles, dans une zone marécageuse, à la merci de militaires aux méthodes violentes.
Indignée par le sort réservé aux migrants lors de la crise entre la Pologne et la Biélorussie, la réalisatrice de Europa Europa et de L'ombre de Staline délaisse les productions télévisées pour réaliser un film choral qui suit une famille de réfugiés, un garde-frontière et des activistes militants.
Sur le plan formel le métrage est une réussite avec une mise en scène fluide, une photographie en N&B mettant en valeur les paysages et l'aspect dramatique des situations, des cadrages précis malgré l'utilisation de caméras à l'épaule et une direction d'acteurs impeccable. Tout est fait pour que le spectateur se retrouve piégé dans ce no man's land avec ces pauvres gens ballotés d'une frontière à l'autre.
Dans la première partie les scènes de persécution se succèdent presque jusqu'à l'écœurement. Si le scénario s'appuie sur des faits réels, l'accumulation des exactions devient insupportable et la stigmatisation systématique des militaires ou de la population polonaise est à la limite de la caricature. Heureusement la deuxième partie centrée sur l'action des secours portés aux réfugiés par les bénévoles viennent soulager le spectateur et l'empêche de décrocher dans cette vision infernale.
Ce film coup de poing magistralement réalisé porte en lui les défauts de toute œuvre militante qui par ses excès atténue le réalisme des évènements. Célébré à la Mostra de Venise et dans de nombreux festivals, il fut un gros succès dans son pays malgré l'aspect négatif d'une partie de la population polonaise qui y est transmis. La réaction virulente des pouvoirs publics et des milieux d'extrême droite montre que la réalisatrice a atteint son but, à savoir un réveil de la conscience populaire.
Indignée par le sort réservé aux migrants lors de la crise entre la Pologne et la Biélorussie, la réalisatrice de Europa Europa et de L'ombre de Staline délaisse les productions télévisées pour réaliser un film choral qui suit une famille de réfugiés, un garde-frontière et des activistes militants.
Sur le plan formel le métrage est une réussite avec une mise en scène fluide, une photographie en N&B mettant en valeur les paysages et l'aspect dramatique des situations, des cadrages précis malgré l'utilisation de caméras à l'épaule et une direction d'acteurs impeccable. Tout est fait pour que le spectateur se retrouve piégé dans ce no man's land avec ces pauvres gens ballotés d'une frontière à l'autre.
Dans la première partie les scènes de persécution se succèdent presque jusqu'à l'écœurement. Si le scénario s'appuie sur des faits réels, l'accumulation des exactions devient insupportable et la stigmatisation systématique des militaires ou de la population polonaise est à la limite de la caricature. Heureusement la deuxième partie centrée sur l'action des secours portés aux réfugiés par les bénévoles viennent soulager le spectateur et l'empêche de décrocher dans cette vision infernale.
Ce film coup de poing magistralement réalisé porte en lui les défauts de toute œuvre militante qui par ses excès atténue le réalisme des évènements. Célébré à la Mostra de Venise et dans de nombreux festivals, il fut un gros succès dans son pays malgré l'aspect négatif d'une partie de la population polonaise qui y est transmis. La réaction virulente des pouvoirs publics et des milieux d'extrême droite montre que la réalisatrice a atteint son but, à savoir un réveil de la conscience populaire.
zardi- Messages : 1972
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Re: Dernier film visionné
La ronde du crime / The lineup de Don Siegel (1958) - 8/10
Synopsis : Une bande de trafiquants d’héroïne a trouvé un moyen astucieux de faire passerr de la drogue. Ils la cachent dans des objets achetés par des touristes. Lorsque ces derniers reviennent à San Francisco, ils sont pris en filature par plusieurs complices pour récupérer le précieux chargement. Deux de ces hommes, Dancer, un psychopathe extraverti, et Julian, un homme froid et calculateur, doivent reprendre la poudre à trois personnes qui viennent de débarquer, mais la police a découvert la manoeuvre…
Tout commence par une scène d'action où en moins d'une minute on assiste à une successions de plans décrivant le vol d'une valise, un accident et le meurtre d'un policier. Cet art de la concision donne le ton de ce film policier qui ne se limite pourtant pas à la descriptions d'images violentes chères à ce réalisateur. Après une présentation habituelle pour les films de cette époque de l'enquête policière proche du documentaire comme on pouvait le voir dans les films d'Anthony Mann, mais ici sans emphase ni fioritures, l'intérêt se porte sur deux tueurs à gages peu ordinaires.
Eli Wallach incarne avec brio un psychopathe dont la violence peut se déchainer à tout moment. Même quand il joue les charmeurs la menace qui émane de son personnage est omniprésente. Cette composition va asseoir sa réputation en tant qu'acteur de premier plan.
A ses côtés, Don Keith ne dépare pas en mentor aguerri qui tente de canaliser les accès de fureur de son protégé. Sa manie de collectionner les derniers mots des victimes avant leur exécution occasionne quelques réparties savoureuses.
Le scénario de Stirling Silliphant (Dans la chaleur de la nuit - Les flics ne dorment pas la nuit) enchaine sans temps mort les scènes d'action filmées avec précision et parfois virtuosité par Don Siegel qui exploite au mieux les décors de San Francisco qu'il retrouvera quelques années plus tard dans L'inspecteur Harry.
Comme le signale Bertrand Tavernier dans les bonus du DVD, ce film injustement méconnu se révèle comme une œuvre majeure dans la filmographie du réalisateur et a été pour ma part une belle découverte.
Tout commence par une scène d'action où en moins d'une minute on assiste à une successions de plans décrivant le vol d'une valise, un accident et le meurtre d'un policier. Cet art de la concision donne le ton de ce film policier qui ne se limite pourtant pas à la descriptions d'images violentes chères à ce réalisateur. Après une présentation habituelle pour les films de cette époque de l'enquête policière proche du documentaire comme on pouvait le voir dans les films d'Anthony Mann, mais ici sans emphase ni fioritures, l'intérêt se porte sur deux tueurs à gages peu ordinaires.
Eli Wallach incarne avec brio un psychopathe dont la violence peut se déchainer à tout moment. Même quand il joue les charmeurs la menace qui émane de son personnage est omniprésente. Cette composition va asseoir sa réputation en tant qu'acteur de premier plan.
A ses côtés, Don Keith ne dépare pas en mentor aguerri qui tente de canaliser les accès de fureur de son protégé. Sa manie de collectionner les derniers mots des victimes avant leur exécution occasionne quelques réparties savoureuses.
Le scénario de Stirling Silliphant (Dans la chaleur de la nuit - Les flics ne dorment pas la nuit) enchaine sans temps mort les scènes d'action filmées avec précision et parfois virtuosité par Don Siegel qui exploite au mieux les décors de San Francisco qu'il retrouvera quelques années plus tard dans L'inspecteur Harry.
Comme le signale Bertrand Tavernier dans les bonus du DVD, ce film injustement méconnu se révèle comme une œuvre majeure dans la filmographie du réalisateur et a été pour ma part une belle découverte.
zardi- Messages : 1972
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Re: Dernier film visionné
Çà c'est un pitch comme je les aime !
Vais voir à quel prix c'est trouvable !
"La rue chaude" également d'ailleurs
Sujet, et gros casting ( toujours beaucoup apprécié Barbara Stanwyck ) .
Vais voir à quel prix c'est trouvable !
"La rue chaude" également d'ailleurs
Sujet, et gros casting ( toujours beaucoup apprécié Barbara Stanwyck ) .
Barbe-Noire- Messages : 3518
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