Dernier film visionné

Logiquement, il devrait avoir une suite, mais toujours peur d'être déçu.
À suivre si cela ce fait.

Le seul film que j'ai regardé 5 fois en un mois(dont 3 fois avec ma fille). Gros fan de la B.O

A propos de Judy Garland, ceux qui ont les chaines du bouquet OCS/cine+, peuvent "re-" découvrir : Andy Hardy. Ces "petits" films avec Judy Garland et Mickey Rooney, doivent se voir au second degré et, pour ma part, avec nostalgie, ces comédies musicales ont bercé mon enfance à l'époque où elles passaient à la télévision !!!

alamo a écrit:A propos de Judy Garland, ceux qui ont les chaines du bouquet OCS/cine+, peuvent "re-" découvrir : Andy Hardy. Ces "petits" films avec Judy Garland et Mickey Rooney, doivent se voir au second degré et, pour ma part, avec nostalgie, ces comédies musicales ont bercé mon enfance à l'époque où elles passaient à la télévision !!!

Je n'ai pas OCS, tout comme je n'ai pas souscrit à Netflix, ni à Prime ni à Disney . Je ne suis abonné qu'à Canal + ( pour la champion's league   , très prioritairement ! ) bouquet sports !
Pas trop envie non plus de multiplier les abonnements ( budget et temps disponible obligent ) !
Ceci dit, je me souviens avoir vu il y a très longtemps plusieurs petits films gentillets avec Judy Garland et Mickey Rooney, qui ne sont quasiment plus diffusés de nos jours sur les chaînes en clair   .
Ça n'ira pas pour autant jusqu'à m'abonner pour çà, ni même à les chercher en DVD . Au bout d'un certain nombre de galettes   et d'étagères pleines jusqu'à plus soif , on ne peut que devenir de plus en plus sélectif   !

Vu hier Bliss. Petite comédie de Drew Barrymore sur une adolescente qui se découvre une passion pour un sport qui consiste à se battre avec d'autre filles en patinant !
Rollerball en plus soft (quoique...). Gentillet sans plus, les scènes de "sport" ne sont pas toujours très lisibles 6.5/10

Comme toujours, après je vais sur l'IMDB pour voir les caractéristiques du film, les acteurs, etc. Je tente ellen Page... inconnue ! Je cherche par le titre : Ellen page s'appelle maintenant Elliot Page ! Flipant !!!!

alamo a écrit:Vu hier Bliss. Petite comédie de Drew Barrymore sur une adolescente qui se découvre une passion pour un sport qui consiste à se battre avec d'autre filles en patinant !
Rollerball en plus soft (quoique...). Gentillet sans plus, les scènes de "sport" ne sont pas toujours très lisibles 6.5/10

Comme toujours, après je vais sur l'IMDB pour voir les caractéristiques du film, les acteurs, etc. Je tente ellen Page... inconnue ! Je cherche par le titre : Ellen page s'appelle maintenant Elliot Page ! Flipant !!!!

Ah mais quelqu'un de très bien en avait parlé ici avec un succès fou en Mai... 2021  

J'avais raté l'info

alamo a écrit:Vu hier Bliss. Petite comédie de Drew Barrymore sur une adolescente qui se découvre une passion pour un sport qui consiste à se battre avec d'autre filles en patinant !
Rollerball en plus soft (quoique...). Gentillet sans plus, les scènes de "sport" ne sont pas toujours très lisibles 6.5/10

Comme toujours, après je vais sur l'IMDB pour voir les caractéristiques du film, les acteurs, etc. Je tente ellen Page... inconnue ! Je cherche par le titre : Ellen page s'appelle maintenant Elliot Page ! Flipant !!!!

Je crois que maintenant je ne m'étonne plus de rien  !
Dans l'autre sens, il y a bien eu les frères Wachowski, qui s'appellent aujourd'hui Lana et Lilly ...............

alamo a écrit:J'avais raté l'info

Moi aussi   ! Ou alors, vu mon "grand âge" , j'ai simplement oublié !
Je réalise seulement maintenant que c'est elle ( enfin lui ) qui joue le rôle de Vanya dans la série Netflix "The Umbrella Academy"  ............ à priori rôle féminin !
Pourra t'il reprendre le rôle ( après l'interruption covid ) ?

          
                                                                                       Elissa Landi et Fredric March, juste avant le sacrifice suprême !

Film de 1932 , réalisé par Cecil B. DeMille , metteur en scène considéré sans doute comme le plus grand spécialiste ( à minima un des plus grands ) des péplums et films bibliques ( "Les dix commandements", version muette de 1923 et remake démesuré  de 1956, son dernier film d'ailleurs, "Cléopâtre" avec aussi Claudette Colbert comme dans ce "Signe de la croix", "Les croisades", "Le roi des rois" - muet - sur la vie du Christ, dont Nicholas Ray fera un remake en 1961 ,  puis "Samson et Dalila" ), même si il est loin de s'être cantonné dans ce genre, avec par exemple "Les tuniques écarlates", "L'odyssée du Dr Wassell", "Les conquérants du nouveau monde" ( les 3 avec Gary Cooper ) ou le magnifique "Sous le plus grand chapiteau du monde"  ( sur le cirque Barnum & Bailey, que j'évoque dans la chronique de "The greatest Showman" ) .
Ce "Signe de la croix" fera lui aussi l'objet d'autres versions ( 5 en tout dont une télé, la plus célèbre étant signée Mervyn LeRoy, en 1951, avec Robert Taylor, Deborah Kerr, Peter Ustinov et Patricia Laffan en lieu et place respectivement de Fredric March , Elissa Landi, Charles Laughton et Claudette Colbert, sous le titre de "Quo Vadis" ) !

Dans l'antiquité, sous le règne de Néron, le film débute quand Rome est en flamme . Tant dans cette version que dans "Quo Vadis", il est dit que l'incendie a été déclenché sur ordre de Néron dans le but de reconstruire la ville à son image, pour l'appeler Néropolis ! Cette thèse est de nos jours largement battue en brèche par bon nombre d'Historiens qui pensent beaucoup plus à un simple incendie accidentel dû à une négligence humaine par forte canicule ( mais comme le disent les journalistes dans "L"homme qui tua Liberty Valance", quand la légende est plus belle que la réalité, on imprime la légende    ) !
Avec une foule ivre de colère, Néron décide alors de faire accuser les chrétiens, cible facile vu la haine que leur vouait alors la population romaine . La fourberie va tellement bien prendre que ceux-ci vont être condamnés à être livrés aux fauves dans l'arène, après les combats de gladiateurs .
Un préfet romain, Marcus Superbus, interprété par Fredric March ( "Marcus Vinicius" - Robert taylor - dans la version de M. LeRoy, nom sans doute un peu plus "romain"  ), va tomber amoureux d'une jeune chrétienne nommée Mercia ( Elissa Landi, alors que Deborah Kerr se nomme Lygie dans "Quo Vadis" ) et tenter de la sauver des lions . Mais Poppée, la maîtresse de Néron ( Claudette Colbert ), jalouse de la jeune fille de par l'intérêt sentimental qu'elle porte à Marcus, va intriguer auprès de son empereur pour refuser sa grâce :


Néron ( Charles Laughton ), ne pouvant rien refuser au charme de Poppée, péripathéticienne  devenue Impératrice !

Comme dans "Quo Vadis", tous les chrétiens vont mourir dans le cirque ( les attaques des fauves resteront toutefois suggérées et très sobres, époque oblige ! ),  Marcus décidant alors de partager le sort de sa bien-aimée !

En cette année 1932, soit trois ans après l'apparition du parlant, le jeu des comédiens - comme dans quasiment tous les films en ce début de décennie - reste encore très marqué par la récente disparition du muet, où il fallait outrer les expressions faciales et la gestuelle pour compenser l'absence des dialogues .
Fredric March et Charles Laughton, à mon sens, sont de ce fait un peu trop démonstratifs dans leur performance d'acteur . La plus moderne est incontestablement Claudette Colbert, dont le jeu fait bien plus naturel que celui d' Elissa Landi, la jeune chrétienne . Cette présence, ce charisme et cette beauté naturelle de la star d'origine Française la feront choisir par le même B. DeMille pour incarner Cléopâtre deux ans plus tard, en 1934, juste après le mythique "New-York - Miami" de Frank Capra , avec Clark Gable .

Il est amusant de constater à quel point, dans ce métrage, Cecil B. DeMille s'est lancé le défi de transgresser jusqu'à la limite du possible les principes du très puritain code Hays, qui avait poussé très loin la censure.
En témoignent ces deux photos où tout a été fait pour montrer ce qu'il était possible de dévoiler sans risquer les foudres des censeurs :

   
Claudette Colbert à la limite de ce qu'il fallait cacher dans son bain au lait de brebis  ....................... et une chrétienne savamment  enchaînée devant le ........ "gorille" ( ou l'Orang-Outan  ) le plus menaçant qui soit  !!

Ce film n'ayant pas été post-synchronisé, il n'est disponible sur le disque qu'en V.O.S.T. , complété de quelques bonus dont une intervention quelque peu didactique de J. P. Dionnet sur la genèse et l'Historique du film .
L'image a été restaurée au maximum possible de ce qu'a permis le matériau d'origine, même si elle fait bien ses 90 ans .
Les tenants de la modernité n'y trouveront peut-être pas leur compte, mais les amoureux des témoignages de grands classiques seront aux anges ( quoiqu'il n'est pas interdit de faire partie des deux    ) !

Ma note : 6,5/10 ( alors que je donnerais un 9/10 aux "Dix commandements", juste pour comparer deux Cecil B. DeMille,  et un 8/10 au "Quo Vadis" de M. Leroy ) .

PS : Grand Merci à Reno11, qui m'a revendu ce Blu-Ray pour vil prix  sur Rakuten, édition qui, à l'heure où je rédige ces lignes, n'a toujours pas diminuée d'un centime sur les sites de vente habituels !

Barbe-Noire a écrit:Les tenants de la modernité n'y trouveront sans doute pas leur compte, mais les amoureux des témoignages de grands classiques seront aux anges !

Je ne sais pas pour qui le problème se pose en ces termes... en fait, un chef d’œuvre du passé sera toujours plus apprécié qu'une bouse d'aujourd'hui, et un très grand film d'aujourd'hui (curieusement, on ne parle quasiment pas de chef d’œuvre pour un film récent, probablement par manque de recul) sera plus apprécié qu'un film moyen du passé (les bouses, nombreuses également, ayant disparu de la mémoire collective...). Le vrai problème est le choix considérable qui s'offre à nous, et qu'au moment de mettre une galette dans le lecteur, chacun tiendra compte de ses affinités propres.
Ayant vu (et apprécié...) "Quo Vadis", je ne pense pas me précipiter sur ce film, surtout que ta note est moyenne, bien qu'il m'arrive assez souvent de visionner des films tournés il y a de plus de 70 ans ("Pandora", par exemple, assez récemment ) et d'en apprécier certains, y compris du temps du muet, comme '"Le Kid". Mais c'est vrai que statistiquement, je me passe plutôt des films récents, surtout s'ils sont excellents. En aparté, je suis vraiment étonné qu'un film comme "Le Dernier Duel" de Ridley Scott soit quasi absent des tops en cours, ce qui tendrait à démontrer que les "tenants de la modernité" ne sont pas si nombreux que cela parmi notre petit groupe...

surfeur51 a écrit:

Barbe-Noire a écrit:Les tenants de la modernité n'y trouveront sans doute pas leur compte, mais les amoureux des témoignages de grands classiques seront aux anges !

Je ne sais pas pour qui le problème se pose en ces termes... en fait, un chef d’œuvre du passé sera toujours plus apprécié qu'une bouse d'aujourd'hui, et un très grand film d'aujourd'hui (curieusement, on ne parle quasiment pas de chef d’œuvre pour un film récent, probablement par manque de recul) sera plus apprécié qu'un film moyen du passé (les bouses, nombreuses également, ayant disparu de la mémoire collective...). Le vrai problème est le choix considérable qui s'offre à nous, et qu'au moment de mettre une galette dans le lecteur, chacun tiendra compte de ses affinités propres.
Ayant vu (et apprécié...) "Quo Vadis", je ne pense pas me précipiter sur ce film, surtout que ta note est moyenne, bien qu'il m'arrive assez souvent de visionner des films tournés il y a de plus de 70 ans ("Pandora", par exemple, assez récemment ) et d'en apprécier certains, y compris du temps du muet, comme '"Le Kid". Mais c'est vrai que statistiquement, je me passe plutôt des films récents, surtout s'ils sont excellents. En aparté, je suis vraiment étonné qu'un film comme "Le Dernier Duel" de Ridley Scott soit quasi absent des tops en cours, ce qui tendrait à démontrer que les "tenants de la modernité" ne sont pas si nombreux que cela parmi notre petit groupe...

Ne te sens particulièrement visé   ! Personnellement, quand ma prose ( sur ce forum ou ailleurs ) s'adresse plus précisément à quelqu'un, je cite le nom sans équivoque ( et d'ailleurs jamais méchamment : s'il y a vraiment conflit, ce qui est rarissime, je préfère de loin l'humour ou l'ironie )  .
De la même façon que dans un de mes post récents en réponse à Zardi,  qui s'était senti visé - je crois à tort - sur un message pour moi anodin d' Alamo, quand j'utilise les termes de "certains" ou "d'aucuns", ou ici "les tenants de la modernité" ( différent sur la forme, identique sur le fond ), je ne m'adresse réellement à personne en particulier - ce qui serait hypocrite sans le nommer - mais bien AUX TENANTS de la modernité en général ( ce qui, soyons clairs, n'est absolument pas un défaut ) .
Certes, tout le monde sait ici que cela va vers tes préférences, mais j'en connais - ou j'en ai connu, ne serait-ce qu'à mon boulot pendant 40 ans - bien d'autres hors de ce forum ( mes filles par exemple   ) .
Bref, il s'agit juste d'un argumentaire, et surtout pas d'un réquisitoire !

Pour ce qui est de la notion de "chef-d'œuvre", tout aussi bien que pour les films cultes, il me semble évident qu'effectivement la patine du temps soit nécessaire pour mériter de tels qualificatifs ( alors qu'à contrario, pour une grosse bouse, ça peut être beaucoup plus immédiat ) .
Enfin, en ce qui concerne "Le dernier duel", ce manque de visibilité provient du fait que ce film est très récent, qu'il est sorti en pleine crise covid ( cinémas fermés ), que donc quasiment personne ne l'a vu en salle, et que sa carrière en Blu-Ray est vraiment trop récente pour la grande majorité des vidéophiles qui, comme moi, n'achètent leurs disques qu'en promo .
Je pense qu'il faudra encore plusieurs mois ( voire même un peu plus ) pour que quasiment tout le monde ( parmi les barges du support numérique ou les abonnés aux plate-formes qui le diffuseront ) l'ait vu .


PS : désolé pour les "édits" que j'ai fait sur la chronique du "Signe de la croix", mais mon post était truffé de fautes de frappe et d'orthographe , sans compter les mauvaises tournures de phrase
  ou de syntaxe ! Toujours gros risques de rédiger autour des 4H de la nuit  , quand le mental commence à mais qu'on veut quand même aller au bout  !!!