Derniers achats en DVD/Blu-ray
+14
phiphi931
Loom
c2302t
yannickv
infrared
alamo
HERVE PAUL
zardi
surfeur51
snaky930
l'andalous
Barbe-Noire
Ivenpast!
alm93
18 participants
Page 44 sur 83
Page 44 sur 83 • 1 ... 23 ... 43, 44, 45 ... 63 ... 83
Re: Derniers achats en DVD/Blu-ray
Si elle est sans ambiguïté, est-ce que Deckart tue Rachel, ou pas? Quels sont tes arguments pour affirmer une des deux solutions, dans la mesure où tu considères qu'il n'y a pas ambiguïté.zardi a écrit:... alors que celle choisie par le réalisateur me parait sans ambiguité, même si elle est ouverte dans le sens où on ne connaît pas la conclusion qui semble pourtant inéluctable.
surfeur51- Messages : 1953
Date d'inscription : 06/11/2019
Age : 73
Localisation : Indre et Loire
Re: Derniers achats en DVD/Blu-ray
La director's cut n'appelle rien du tout elle annonce seulement un avenir très sombre et par ailleurs elle n'a rien d'une director's cut puisque c'est le studio suite au succès surprise du film en vidéo (le film a été un échec en salle) qui a décidé de réhabiliter le travail du réalisateur et de supprimer le happy end et le commentaire en voix off ajouté suite aux réactions négatives du public lors des projections test et réinsérer partiellement la scène du rêve avec le licorne.surfeur51 a écrit:J'aime bien Blade Runner 2049, au moins autant que la version ciné de Blade Runner, et plus que la Director's cut...alm93 a écrit:... autant oublier tout de suite Blade Runner 2049 qui de toute façon est très décevant.Ben non, justement. La version ciné avait une fin, la version Director's cut appelle une suite, c'est son gros défaut...alm93 a écrit:le film de Ridley Scott n'appelle a aucune suite et se suffit a lui-même
La vraie director's cut est la final cut mais il y a très peu de différences elle est plus longue de moins d'une minute.
La suite Blade Runner 2049 est évidement une suite commerciale qui n'a jamais été voulue au départ parle réalisateur.
alm93- Messages : 862
Date d'inscription : 23/08/2020
Age : 57
Localisation : Indre
Re: Derniers achats en DVD/Blu-ray
Je suis totalement d'accord avec toi.zardi a écrit:J'ai essayé jusque là de ne pas me mêler de votre discussion mais finalement je ne peux pas résister car Blade runner figure dans mon panthéon des films.
Je ne pense pas que Ridley Scott avait prévu une suite pour son film et la fin de la version cinéma imposée par la production me semble ouverte justement pour permettre une suite éventuelle alors que celle choisie par le réalisateur me parait sans ambiguité, même si elle est ouverte dans le sens où on ne connaît pas la conclusion qui semble pourtant inéluctable. J'ajoute que la fuite dans la version cinéma est incongrue par rapport à l'esthétisme du reste du film (certaines images étant empruntées à Shining si mes souvenirs sont exacts), apparaissant comme une pièce rapportée.
La suite proposée par Villeneuve ne peut à mon avis être comparée à l'original tant elle diffère sur le plan artistique et émotionnel.
Effectivement les images du "Happy-end" sont bien tirées de rush de The Shinning elle détonnent avec le reste de l’esthétique du film on se rends immédiatement compte qu'il s'agit d'une pièce rapportée.
alm93- Messages : 862
Date d'inscription : 23/08/2020
Age : 57
Localisation : Indre
Re: Derniers achats en DVD/Blu-ray
Oui, mais ça n'en fait pas un mauvais film.alm93 a écrit:La suite Blade Runner 2049 est évidement une suite commerciale qui n'a jamais été voulue au départ par le réalisateur.
PS. Le terme commercial, qui se veut péjoratif, s'applique de fait à tous les films qui ont pour destination d'être projeté en salles où l'on paye sa place. Les films destiné à être projetés gratuitement sont très rares...
surfeur51- Messages : 1953
Date d'inscription : 06/11/2019
Age : 73
Localisation : Indre et Loire
Re: Derniers achats en DVD/Blu-ray
alm93 a écrit:La vraie director's cut est la final cut mais il y a très peu de différences elle est plus longue de moins d'une minute.
Je sais tout cela. J'avais d'ailleurs rédigé un DVD à la loupe sur les différentes version de Blade Runner:
Résumé : Los Angeles, 2019. Dans les dernières années du 20ème siècle, des milliers d'hommes et de femmes partent à la conquête de l'espace, fuyant les mégalopoles devenues insalubres. Sur des colonies, une nouvelle race d'esclaves voit le jour: les "répliquants", des androïdes que rien ne peut distinguer de l'être humain. Mais suite à une révolte, ces derniers sont peu à peu "retirés". Quatre d'entre eux parviennent cependant à s'échapper et à s'introduire à Los Angeles. Chargé de les exécuter, le détective privé Rick Deckard se lance à leur recherche...
Avis : "Blade Runner" sortit en salles en 1982, dans une version retouchée à la demande des studios suite à une projection-test considérée comme désastreuse. Le réalisateur Ridley Scott, peu satisfait de cette version cinéma, remonta en 1992 une version plus proche de son idée initiale, mais pas encore totalement aboutie, et qui sortit en vidéo. De sombres affaires de droits ayant retardé la finalisation de son projet, ce n'est qu'aujourd'hui que l'on peut découvrir la version définitive de ce film. La présente édition DVD, ultra-complète, permet de réunir les versions principales de ce thriller futuriste, et, après une analyse générale du film, on détaillera leurs spécificités.
Le scénario de "Blade Runner", écrit par Hampton Fancher et remanié par David Webb Peoples, est inspiré d'un roman de Philip K. Dick, "Les Androïdes rêvent-ils de moutons électriques ?". Il décrit un univers extrêmement noir, situé dans un futur proche, où quatre robots à apparence humaine, des "répliquants" de type Nexus 6, sont pourchassés par un chasseur de prime chargé de les exterminer, Rick Deckard (Harrison Ford), un "blade runner" (un "faucheur"). Celui-ci est accompagné d'un policier, Gaff (Edward James Olmos), les quatre fugitifs étant deux robots-homme, Roy Batty (Rutger Hauer) et Leon Kowalski (Brion James), et deux robots-femme, Pris (Daryl Hannah) et Zhora (Joanna Cassidy). Comme tous les autres répliquants, ils ont été fabriqués par la puissante société Tyrell Corporation, et ont une durée de vie limitée à quatre années. En plus d'échapper au blade runner, leur objectif est de retrouver Eldon Tyrell (Joe Turkel) et J.F. Sebastian (William Sanderson), leurs créateurs, pour obtenir d'eux une rectification génétique leur autorisant une prolongation de vie. Par ailleurs ils ne sont pas faciles à repérer, tant ils sont semblables aux humains, et il n'y a guère que le test d'empathie, dit "test Voight-Kampff", qui permet de les confondre à partir de leur absence de réactions affectives involontaires. Tyrell, quant à lui, s'est fabriqué pour son usage personnel une répliquante particulièrement jolie, Rachel (Sean Young), dont la vie n'est pas limitée, qui ignore sa condition de répliquante parce qu'on lui a implanté des souvenirs, et dont Deckard va tomber amoureux…
Le film se distingue par ses décors futuristes marqués par la présence de véhicules volants, et par son atmosphère très sombre. Los Angeles est devenue une mégalopole de béton d'où la vie végétale et animale a pratiquement disparu, sauf bien sûr les hordes humaines qui vivent tristement entassées dans la saleté. Le progrès n'a apporté à la plupart qu'une vie misérable, et le seul avenir qui laisse un peu d'espoir semble être d'aller coloniser d'autres planètes. La lumière du jour n'arrive plus à percer les nuages épais dus à la pollution, qui déversent en permanence leur pluie sur la ville, et seuls les néons publicitaires éclairent ce monde claustrophobique, plongé dans la nuit et représentatif d'un futur peu enviable. Si le scénario, essentiellement une quête policière, s'attache à la traque des répliquants par Deckard, il se veut aussi la description de ce qui attend l'humanité si elle n'apprend pas à gérer son devenir, un message qui a maintenant vingt cinq ans mais qui reste plus que jamais d'actualité. Ridley Scott, en perfectionniste de l'image, réussit ici à peindre un monde noir et pessimiste, à tel point que c'est justement ce côté sombre qui lors des tests a déçu les spectateurs et effrayé les producteurs, lesquels ont exigé un happy end pour la sortie en salles. L'esthétique particulière de la photographie, tout en ombre et lumière, est aussi marquée par le contraste entre une technologie avancée et des costumes et modes de vie qui font plutôt penser aux années d'après guerre. Certaines séquences sont particulièrement violentes, et les différentes versions du film en montreront un peu plus ou un peu moins suivant le côté de l'Atlantique où l'on se trouve. Enfin, en jouant sur les ambiguïtés du personnage de Deckard, une sorte d'anti-héros désabusé et un peu porté sur l'alcool, on peut se demander s'il n'est pas lui-même un répliquant, aucune réponse définitive n'étant fournie mais les indices pour l'une ou l'autre hypothèse étant plus ou moins marqués selon les différentes versions du film. Le jeu des acteurs est excellent, Harrison Ford et Rudger Hauer dominant le casting, et Sean Young, une actrice plus connue pour sa beauté que pour la variété de son jeu, trouve là son meilleur rôle en femme fatale qui va passer du rêve à la réalité. Sur le plan technique, il faut souligner que tous les effets spéciaux ont été réalisés de manière classique par l'équipe de Douglas Trumbull, avec l'avantage d'un réel parfum d'authenticité. Le rythme assez lent, il y a peu de scènes très spectaculaires, le spectateur étant surtout fasciné par l'esthétisme de la photo, souligné par une musique envoûtante…
Tous ces éléments, l'ambiance, l'originalité de l'histoire, son mystère et les interrogations qu'elle suscite ont petit à petit fait de "Blade Runner" un film-culte, incontournable pour les fans de science-fiction. Il apparaît aujourd'hui comme une fable futuriste cruelle avec une portée philosophique assez marquée, la perte d'humanité chez les hommes s'opposant à la découverte de sentiments humains chez les robots. Le débat est vain de savoir quelle est la meilleure version, chacun pesant différemment les différents critères, mais l'histoire du film lui-même avec les vingt cinq ans passés entre son tournage et sa version définitive fait aussi partie du mythe.
La version de travail ("workprint") - Disque 5
C'est la version qui fut montrée au public-test lors des avant-premières de Denver et de Dallas. Très noire, elle est mal reçue parce que le scénario est difficile à suivre, la fin ambiguë et triste, et à cause de nombreuses scènes violentes. Le public, qui rêve d'un avenir radieux et dont la référence fantastique à l'époque est "La guerre des étoiles" est décontenancé par ce film dur, et les producteurs craignent un rejet au niveau du grand public, malgré la notoriété acquise par Ridley Scott avec "Alien", trois ans plus tôt.
La version cinéma américaine - Disque 3
Les producteurs ont exigé un certain nombre de modifications par rapport à la version de travail, lesquelles s'avèrent assez fondamentales. En voix off, le personnage de Deckard explique le contexte de quelques scènes, permettant de mieux suivre et mieux comprendre un scénario complexe et qui utilise un vocabulaire spécifique. Une nouvelle fin très "happy end" est ajoutée, et l'on voit enfin des rayons de soleil et de la verdure apparaître, tranchant avec l'esthétique noire et bétonnée du reste du film. Enfin, certains passages particulièrement violents sont édulcorés. A noter que le montage des scènes et plusieurs morceaux de musique sont également différents de la "workprint". Malgré ces changements, le film est un échec aux Etats-Unis.
La version cinéma européenne - Disque 3
Très proche de la version américaine, elle a été moins censurée concernant les scènes violentes (Batty enfonce ses pouces dans les yeux de Tyrell, Priss soulève Deckard par les narines, et Batty se plante un clou dans la main...). En France, le film a plus de succès qu'aux Etats-Unis et reçoit un accueil assez favorable du public, avec deux millions d'entrées.
La version Director's cut de 1992 - Disque 3
Ridley Scott n'ayant jamais vraiment accepté les changements effectués pour les sorties en salles a remonté une version qui sortit en vidéo, laserdisc, puis en DVD et qui jusqu'à aujourd'hui était devenue la seule version disponible. La voix off est supprimée, ainsi que le "happy end", mais les scènes violentes qui distinguaient la version salle américaine de la version salles européenne n'y apparaissent pas. On a donc une version plus proche de la "workprint", aseptisée au niveau de la violence, avec montage et musique différents. De plus une courte scène montrant une licorne dans un rêve de Deckard apporte un peu de mystère à son personnage, semant le doute sur le fait qu'il est ou non lui-même un répliquant.
La version définitive de 2007 - Disque 1
Alors que beaucoup attendaient une vraie nouvelle version, Ridley Scott se contente de retoucher sa director's cut en rajoutant quelques unes des scènes violentes déjà vues dans la version salles européennes, en modifiant certaines images grâce aux techniques digitales qui permettent de corriger quelques défauts pas très heureux (le visage de Zhora lors de sa mort, et l'envol de la colombe lors de la mort de Batty), et en remasterisant le son en 5.1. Il s'agit plus d'un lifting pour peaufiner un film qui reste pratiquement le même qu'une vraie évolution, ce qui peut paraître décevant compte tenu du tapage médiatique fait depuis plusieurs années sur cette version ultime que beaucoup voyaient comme une réécriture du film.
Le grand mérite de la présente édition DVD est qu'elle permet à chacun de vivre l'histoire à rallonge de ce film, exceptionnel à de nombreux points de vue. Mais au final, on pourra se contenter de comparer les deux versions les plus extrêmes, la version salles américaines, la plus "douce", et la version définitive, la plus "dure" et la meilleure sur le plan technique (la "workprint" reste plutôt un objet de curiosité, avec une qualité technique moyenne).
surfeur51- Messages : 1953
Date d'inscription : 06/11/2019
Age : 73
Localisation : Indre et Loire
snaky930, zardi et Old_School aiment ce message
Re: Derniers achats en DVD/Blu-ray
Il est évident que dans la fin choisie par le réalisateur, Deckart est un répliquant et qu'étant amoureux de Rachel, il ne va pas la tuer. L'incertitude est sur le sort qui les attend alors qu'ils sont pris en chasse et que leurs jours sont comptés (du moins pour Deckart qui est une version plus ancienne alors que pour Rachel le doute sur sa durée de vie demeure). C'est cet aspect très pessimiste qui colle parfaitement mieux avec le traitement du film. Ridley Scott a toujours voulu faire un film noir qui se déroule dans le futur et montrer la fuite dans un vaisseau qui va je ne sais où laisse un espoir qui est une déviance par rapport au reste de l'œuvre.surfeur51 a écrit:Si elle est sans ambiguïté, est-ce que Deckart tue Rachel, ou pas? Quels sont tes arguments pour affirmer une des deux solutions, dans la mesure où tu considères qu'il n'y a pas ambiguïté.zardi a écrit:... alors que celle choisie par le réalisateur me parait sans ambiguité, même si elle est ouverte dans le sens où on ne connaît pas la conclusion qui semble pourtant inéluctable.
zardi- Messages : 1939
Date d'inscription : 07/11/2019
Localisation : 06
snaky930 et Old_School aiment ce message
Re: Derniers achats en DVD/Blu-ray
Essayons de perdre de vue les intentions du réalisateur, qui me sont d'ailleurs inconnues dans 99% des films que je regarde, et de se concentrer sur ce qu'on voit dans le film. Non, pour moi, il n'est pas évident, simplement en regardant le film, que Deckart est un répliquant, tout comme ce n'était pas évident pour Harrison Ford qui pourtant a joué le personnage en question, Scott n'ayant explicité son point de vue que longtemps après avoir tourné le film. C'est l'avantage de la version ciné, malgré le problème de raccord artistique, de ne pas laisser d’ambigüité sur ce point. Moi, à la première vision du director's cut (bien avant la lecture de nombreuses analyses d'ailleurs contradictoires), il me semblait évident que Deckart allait tuer Rachel et que c'était d'ailleurs la raison de ce changement de fin... comme quoi...zardi a écrit:Il est évident que dans la fin choisie par le réalisateur, Deckart est un répliquant et qu'étant amoureux de Rachel, il ne va pas la tuer.
surfeur51- Messages : 1953
Date d'inscription : 06/11/2019
Age : 73
Localisation : Indre et Loire
Re: Derniers achats en DVD/Blu-ray
Libre à toi de voir ce que tu veux voir. Chacun a son libre arbitre.
zardi- Messages : 1939
Date d'inscription : 07/11/2019
Localisation : 06
Re: Derniers achats en DVD/Blu-ray
El Chuncho (Damiani-1967) sur Rakuten.
Jamais vu , Gian Maria Volonte et Klaus Kinski à l'affiche + quelques bonnes critiques m'ont convaincu de le découvrir
Jamais vu , Gian Maria Volonte et Klaus Kinski à l'affiche + quelques bonnes critiques m'ont convaincu de le découvrir
reno11- Messages : 88
Date d'inscription : 06/06/2022
Re: Derniers achats en DVD/Blu-ray
Réception du jour (ESC Distribution)
alm93- Messages : 862
Date d'inscription : 23/08/2020
Age : 57
Localisation : Indre
Re: Derniers achats en DVD/Blu-ray
Passé à la FNAC Val d'Europe incidemment ( c'était pas prévu ), et donc obligatoirement au rayon Blu-Rays en promo .
Je venais juste d'en parler sur les films vus en juillet, j'attendais que le "West Side story" de Spielberg passe en promo, ce qui était le cas, à 10 € pièce si on en prend 3 .
Donc, avec ( le même look, mais en BR au lieu de DVD) , j'ai pris aussi sur le quizz de Surfeur .
Enfin, sur la base vos échanges lors de sa sortie, en 3ème titre, j'ai choisi
Il y avait aussi une promo sur les BR Disney-Pixar, avec le même ratio en 2 / 20 € . Il ne me manquait que "Luca" , mais l'agent FNAC ne pouvait pas mêler "Luca", bien qu'avec le même prix promo à la place d'un des 3 autres films . Ce sera pour une autre fois !
Autrement, pour avoir tout récemment évoqué "Le diable et les dix commandements" dans le topic sur Micheline Presle des plus de 90 ans, ca m'a donné envie de le commander sur amazon ( chez Coin de Mire, mais pas le digibook collector à 32 € . J'ai commandé le BR édition "simple" à 18 € ) . Et pour les FdP gratos, j'ai rajouté le DVD "les chiffoniers d'Emmaüs ( éditions rené Chateau ) . Mais ceux-là arriveront plus tard .
Je venais juste d'en parler sur les films vus en juillet, j'attendais que le "West Side story" de Spielberg passe en promo, ce qui était le cas, à 10 € pièce si on en prend 3 .
Donc, avec ( le même look, mais en BR au lieu de DVD) , j'ai pris aussi sur le quizz de Surfeur .
Enfin, sur la base vos échanges lors de sa sortie, en 3ème titre, j'ai choisi
Il y avait aussi une promo sur les BR Disney-Pixar, avec le même ratio en 2 / 20 € . Il ne me manquait que "Luca" , mais l'agent FNAC ne pouvait pas mêler "Luca", bien qu'avec le même prix promo à la place d'un des 3 autres films . Ce sera pour une autre fois !
Autrement, pour avoir tout récemment évoqué "Le diable et les dix commandements" dans le topic sur Micheline Presle des plus de 90 ans, ca m'a donné envie de le commander sur amazon ( chez Coin de Mire, mais pas le digibook collector à 32 € . J'ai commandé le BR édition "simple" à 18 € ) . Et pour les FdP gratos, j'ai rajouté le DVD "les chiffoniers d'Emmaüs ( éditions rené Chateau ) . Mais ceux-là arriveront plus tard .
Barbe-Noire- Messages : 3462
Date d'inscription : 07/11/2019
Age : 68
Localisation : Seine et Marne ( et toujours "à la croisée des chemins" )
Re: Derniers achats en DVD/Blu-ray
réception du jour
alm93- Messages : 862
Date d'inscription : 23/08/2020
Age : 57
Localisation : Indre
c2302t aime ce message
Page 44 sur 83 • 1 ... 23 ... 43, 44, 45 ... 63 ... 83
Sujets similaires
» Derniers achats en DVD/Blu-ray
» Derniers achats en DVD/Blu-ray
» Vos derniers livres achetés
» Vos Commandes et Achats autres que [DVD/BR]
» Derniers achats en DVD/Blu-ray
» Vos derniers livres achetés
» Vos Commandes et Achats autres que [DVD/BR]
Page 44 sur 83
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum